Manger du porc cru ou mal cuit n'est généralement pas une bonne idée à cause du risque Trichinella Spiralis, un ver parasite qui peut parfois être présent dans la viande de cet animal. Ce parasite peut survivre dans l'organisme humain et être dangereux pour notre santé.
La viande de porc se déguste à peine rosée ou à point, c'est-à-dire ni saignante, ni rosée, ni trop cuite.
La consommation de viande de porc et de foie de porc crus ou mal cuits est la cause la plus fréquente d'infection par l'hépatite E dans l'UE, a déclaré l'EFSA.
La trichine habite également cet animal et provoque une autre maladie se nommant la Trichinose qui peut aller jusqu'à provoquer le décès chez l'humain. C'est donc pour ces raisons, qu'il est important de faire bien cuire cette viande car la chaleur éliminera ces parasites.
Pour s'assurer qu'une viande de porc est bien cuite, vous pouvez soit vérifier qu'elle a cuit entre 65°C et 70°C, soit regarder son jus. S'il est clair ou rosé alors c'est que la viande est cuite ! Sinon, remettez-la à cuire et revérifiez son jus.
Manger du porc cru ou mal cuit n'est généralement pas une bonne idée à cause du risque Trichinella Spiralis, un ver parasite qui peut parfois être présent dans la viande de cet animal. Ce parasite peut survivre dans l'organisme humain et être dangereux pour notre santé.
Pour qu'elle soit bien tendre, il ne faut pas la cuire dès sa sortie du réfrigérateur, mais la laisser quelques minutes à température ambiante. La viande de porc peut être congelée et se garde alors plusieurs mois au congélateur. Elle nécessite quelques heures de décongélation au réfrigérateur, avant la cuisson.
La viande peu cuite, en particulier les viandes de porc, de cheval, de sanglier présentent des risques pour la santé. La viande peu cuite, saignante ou rosée (tout spécialement celle de porc, de cheval, de sanglier), est porteuse de risques sanitaires.
Il n'existe aucun risque à manger une pièce de viande saignante car les bactéries présentes à sa surface sont rapidement détruites par la chaleur. En revanche, lorsqu'il s'agit de viande hachée, les bactéries se retrouvent à l'intérieur, du fait des multiples manipulations subies par la viande.
Dans l'Ancien Testament, le porc est impur, car il se nourrit d'immondices, voire mange ses propres excréments. En conséquence, il est interdit aux juifs par la loi de Moïse, qui rejette tous les usages de sa chair, son cuir, ses entrailles, ses sécrétions.
Quelle viande privilégier ? Les viandes les plus intéressantes nutritionnellement sont la volaille comme la dinde, le poulet, voire la pintade riche en fer. Mais aussi les œufs, bio en priorité. Le label Bleu-Blanc-Cœur garantit une alimentation aux graines de lin, qui enrichissent les œufs en acides gras Omega 3.
Certains légumes sont à éviter le soir, la tomate par exemple. Elle libère de la tyramine, acide aminé qui entraîne la fabrication de noradrénaline. Celle-ci a un impact sur la digestion, augmente l'activité du cerveau et empêche un endormissement facile et rapide.
Il est recommandé d'éviter la consommation de viande crue ou peu cuite (viande hachée de cheval ou de bœuf, steak tartare, barbecue sans cuisson à cœur, viande de volailles pas suffisamment cuite…) en particulier par les personnes sensibles : jeunes enfants, femmes enceintes et personnes âgées ou immunodéprimées.
Faites cuire le filet de porc à 62 °C (145 °F). Pour vérifier la température du filet de porc, utilisez un thermomètre à sonde. Cuite à 62 °C, la viande est tendre, juteuse et légèrement rose.
La viande de porc est généralement considérée comme une viande rouge, mais en raison de sa composition, l'Union européenne l'a finalement classée parmi les viandes blanches.
Pour de nombreux diététistes, la viande cuite mais saignante est un bon compromis pour profiter de tous ses bienfaits (vitamines, fer…). Selon eux, en même temps, les bactéries stagnant à la surface sont détruites et les risques de la cuisson sont minimisés.
La cuisson la plus saine est la cuisson à la vapeur et en papillote. Elle convient très bien aux viandes à la chair blanche ( poulet, dinde…) et certaines recettes à base de viande rouge sont à découvrir, notamment la cuisine exotique.
La viande rouge, si consommée trop souvent
La viande rouge ne fait pas partie des viandes les moins risquées, d'autant plus que beaucoup d'entre nous aiment la manger quasiment crue ou « bleue ». Or, ce genre de cuisson ne permet pas de tuer les bactéries naturellement présentes dans ce type de viandes.
Le cheval. Le cheval fait partie des viandes rouges. Il contient 18,8% de protéines et 10% de lipides dont 3,6% d'acides gras saturés.
Sous nos contrées, les viandes les plus adaptées à un usage cru sont principalement le bœuf, le veau, le cheval et – de façon plus anecdotique – le canard.
Le haricot est une légumineuse qui compte de nombreuses variétés. C'est un légume tout à fait facile à cultiver.
Le filet mignon
Le morceau le plus tendre du cochon. Avec le jambon, c'est un véritable morceau de choix. Partie maigre et étroite située sous les côtes, très peu sollicitée au cours de la vie de l'animal, ce qui explique sa tendreté unique. À cuire au four ou en cocotte pour en mesurer tout le fondant !
PORC: Ail, aneth, cari, coriandre, cumin, gingembre, oignon, romarin, sauge, thym, paprika hongrois (en goulasch, per exemple), piment chili. VOLAILLE: Ail, basilic, cari, ciboulette, coriandre, estragon, gingembre, paprika, sauge, thym, romarin.
C'est le collagène qui est responsable de la « dureté' de la viande. Plus le muscle de l'animal est sollicité et plus il y a de collagène. Ainsi il y en aura davantage dans une partie comme le jarret (le tibia de la bestiole) que dans le rumsteack (la culotte).