L'éternuement est un réflexe protecteur. En fait, vous éternuez pour empêcher un irritant de passer de votre cavité nasale à vos sinus ou à vos poumons. C'est de cette façon que votre organisme se débarrasse des corps étrangers.
C'est un mécanisme de protection, un réflexe qui permet à ton corps d'expulser les envahisseurs – bactéries, virus, pollen, poils de chat… On ne parle pas ici d'une réaction immunitaire très complexe, mais bien d'un simple éternuement!
Si vous éternuiez une seconde fois, on pourrait vous lancer «À vos amours». Au troisième éternuement, l'on vous dira: «Et que les tiennes durent toujours»! Il n'en fut pas toujours ainsi. Dans l'Antiquité, l'expression d'usage était: «Que Jupiter te conserve» (transformée par les chrétiens en «Que Dieu vous bénisse»).
Mais cette allergie n'est pas le seul phénomène occasionnant des éternuements en série à se manifester avec le retour des beaux jours. Alors, pourquoi est-ce que vous éternuez parfois 10 fois de suite ? Probablement à cause d'un réflexe photo-sternutatoire causé par un afflux massif et soudain de lumière !
Se pincer le nez.
Il vaut mieux ne pas se retenir d'éternuer, mais si vous êtes dans un endroit silencieux, vous pouvez vous pincer le nez pour vous empêcher d'éternuer. Cela permettra également de stopper l'écoulement de mucus.
L'éternuement est un réflexe protecteur. En fait, vous éternuez pour empêcher un irritant de passer de votre cavité nasale à vos sinus ou à vos poumons. C'est de cette façon que votre organisme se débarrasse des corps étrangers.
La rhinite allergique se caractérise par des éternuements à répétition, le « nez qui coule », des chatouillements dans le nez, des larmoiements et une irritation des yeux. Lorsqu'elle est causée par le pollen, on l'appelle rhinite saisonnière ou, plus communément, rhume des foins.
Et pour ceux qui pensent encore que notre cœur s'arrête de battre quand on éternue, c'est une vieille légende, non le cœur ne s'arrête pas heureusement. Les battements sont légèrement ralentis mais c'est tout. En revanche les yeux, eux se ferment bien.
L'écoulement nasal est attribuable à un drainage excessif du mucus par les tissus du nez et du sang par les vaisseaux sanguins du nez. Les causes de ce drainage excessif peuvent être diverses, mais il s'agit dans la plupart des cas d'une infection, comme le rhume ou la grippe.
C'est probablement un record du monde. En plein cours d'Art aux Etats-Unis, une étudiante prénommée Leryn a réussi à éternuer 39 fois d'affilée.
On ne dit pas "A tes souhaits"
Vous ne savez pas si les pensées de la personne sont bonnes ou mauvaises, mieux ne pas lui donner espoir ! Surtout, quand vous dites "A tes souhaits", vous augmentez l'embarras de la personne qui vient d'éternuer et attirez l'attention sur elle.
Chez les Grecs, c'était positif, on pensait que l'éternuement était le signe du passage d'un esprit divin dans le corps de celui qu'il l'avait fait, donc on le saluait avant qu'il ne reparte. C'est pourquoi on ne disait pas encore "À tes souhaits", mais : "Que Jupiter te bénisse", qui sera transformé plus tard en que.
Les autres causes des éternuements répétitifs
le fait d'avoir l'estomac plein ; la consommation de certains aliments ; avoir un orgasme ; l'inhalation d'un parfum trop fort.
A l'origine de ces éternuements face au soleil : la trop grande proximité, chez certaines personnes, des nerfs optiques avec le nerf trijumeau. Très proche des nerfs optiques qui transmettent les signaux visuels de la rétine au cerveau, le nerf trijumeau, innerve lui l'ensemble du visage.
En réalité, la raison principale est simple: le froid provoque transitoirement des symptômes qui ressemblent à s'y méprendre à ceux du rhume, le mal de gorge, le nez qui coule, les éternuements, la toux, parfois aussi l'impression de fièvre. Mais ces symptômes ne sont que passagers.
Jours 5 à 7 : le rhume est à son pic. Le mal de gorge régresse, mais la congestion nasale débute, avec un nez transformé en fontaine, une grande fatigue, et éventuellement des maux de tête.
Pour diminuer l'inconfort du rhume, un seul médicament est préconisé, le paracétamol que l'on appelle également acétaminophène (Doliprane®, Tylenol®, Efferalgan®, Dafalgan®, Panadol®, Dolko®, Geluprane®) Ce médicament diminue les maux de tête, le mal de gorge éventuel et fait baisser la fièvre.
Pour que la muqueuse nasale ne s'assèche pas au contact de l'air, les cellules se mettent à fabriquer davantage de mucus. Par ailleurs, les cellules ciliées sont moins mobiles quand il fait froid. Sans ce tapis roulant, le mucus n'est plus évacué vers le fond de la gorge, mais il s'écoule par nos narines.
Quels sont les risques ? « Le risque principal d'un éternuement est l'infection, nous précise le Dr Jean-Michel Klein, vice-président du Syndicat national des médecins spécialisés en oto-rhino-laryngologie (Snorl).
Les éternuements répétitifs peuvent aussi être dus à une rhinopharyngite. Dans ce cas, la cause est infectieuse, provoquée par un virus, et ils disparaitront spontanément en quelques jours.
Vous avez le nez bouché ou le nez qui coule ? Vous éternuez souvent, vos yeux vous démangent ou coulent à une certaine période de l'année ? Alors, vous souffrez peut-être d'allergie aux pollens, qu'on appelle aussi « rhume des foins » ou rhinite allergique.
Il ne faut pas "bloquer" un éternuement, avertissent des chercheurs. Réprimer un éternuement peut aller jusqu'à endommager des vaisseaux sanguins du cerveau, mettent en garde des chercheurs.
En fermant automatiquement les paupières en éternuant, les particules les plus irritantes seraient potentiellement bloquées et cela empêche d'aggraver l'état des yeux ».
La congestion nasale nocturne pourrait être liée à des changements dans la réponse chimique de l'organisme, comme une inflammation accrue. La position couchée la nuit peut augmenter la production de mucus, ce qui peut aussi entraîner une congestion accrue la nuit.