La cinépathie (ou mal des transports) est due aux informations contradictoires envoyées au cerveau par les yeux (on bouge vite), les muscles (ça tangue un peu) et l'oreille interne (on est immobile, mais subissons des accélérations et des arrêts).
Privilégiez les aliments solides. Toutefois, évitez de manger trop gras et de boire de l'alcool. Pour limiter les nausées, pendant le voyage, gardez la tête droite, en utilisant l'appui-tête, et les jambes surélevées, dans l'idéal. Installez-vous à l'avant du véhicule pour permettre à vos yeux de suivre le déplacement.
Lorsqu'on est malade en voiture, on est en fait victime du mal des transports. Un trouble - aussi appelé cinétose - qui provoque maux de cœur, nausées ou vomissements dans les véhicules en mouvement (voiture, avion, bateau, train).
L'un des meilleurs exemples est ce que les médecins appellent la cinétose , que l'on connaît davantage sous le nom de mal des transports. Une route sinueuse, une conduite sportive ou bien le fait d'être assis à l'arrière du véhicule suffit pour vous donner des nausées.
Scientifiquement parlant, il n'y a aucune explication à ce phénomène mais il semble bien qu'un petit bout de sparadrap posé sur le nombril de la personne sujette au mal des transports soit la solution miracle pour ceux qui avaient déjà tout essayé vainement.
Les antihistaminiques : dimenhydrinate (Mercalm®, Nausicalm®) ou diphénhydramine (Nautamine®) Ces médicaments diminuent les risques de nausées. Ils ne doivent pas être utilisés chez l'enfant de moins de 2 ans, voire même 6 ans pour le dimenhydrinate.
Il s'agit d'un problème de perception de la vitesse par l'œil ou l'oreille interne, qui envoient une mauvaise information au cerveau et engendre, notamment lors d'un virage ou d'un dépassement, une sensation d'aspiration ou de bascule.
Le gingembre est le remède anti-nauséeux par excellence. Il se consomme frais, en infusion ou en gélules au moins une heure avant le départ, puis toutes les trois heures si le trajet est long.
Quelques conseils pour prévenir le mal des transports
Renoncez à l'alcool, au tabac et au café, avant et pendant le voyage. Maintenez la tête droite, sans faire de mouvements brusques pendant le voyage. En voiture, installez-vous à l'avant à côté du conducteur, ou à l'arrière au milieu, et regardez loin devant vous.
La thèse du scientifique est que le nombril développe une pilosité concentrique qui aurait tendance à aspirer les saletés du secteur. Cela expliquerait pourquoi les hommes en produisent davantage, puisqu'ils ont une pilosité plus dense.
le retour à terre après un voyage en bateau, qui avait habitué le corps au mouvement des vagues (on parle alors d'un mal de terre, qui peut durer plusieurs jours).
La nausée se manifeste par une sensation désagréable de mal au cœur. Le vomissement est le rejet du contenu de l'estomac après une contraction violente des muscles de l'abdomen et de l'estomac.
Selon leurs recherches, 70% des risques d'avoir le mal des transports est génétique. En fait, 35 variantes génétiques sont reliées de façon significative au mal des transports. Certaines de ces variantes sont liées au développement. Ceci inclus le développement des yeux et des oreilles.
Le mal des transports commence par une sensation de malaise et un manque d'appétit. Puis surviennent des nausées, souvent accompagnées d'une transpiration abondante, de vertiges et d'une salivation plus ou moins importante. Des vomissements surviennent jusqu'à ce que l'estomac soit vide, et même au-delà.
Éprouver de la peine, de la tristesse, de la consternation, etc. Il a perdu son grand-père, j'ai mal au cœur pour lui.
Votre premier réflexe sera alors d'alerter les secours – soit le SAMU au 15, soit les Pompiers au 18 – ou le médecin traitant du malade. En attendant que la victime soit prise en charge, il faut la placer en position demi-assise. Mieux vaut l'asseoir et l'adosser contre un mur.
Toute douleur au niveau du thorax nécessite un avis médical. Néanmoins, il est important de connaître les douleurs thoraciques qui réclament un traitement urgent. Elles sont le plus souvent dues à des maladies cardiaques ou vasculaires.
Le mal des transports apparaît généralement à partir de l'âge de 2 ans. Les bébés de moins de 2 ans sont rarement touchés.
Le médecin spécialisé dans les problèmes de l »équilibre est l'ORL. En cas de trouble de l'équilibre ou plus spécifiquement de cinétose, une consultation ORL est indiquée. Votre médecin vous proposer différentes solutions possibles.
Mettre un pansement sur le nombril éviterait d'être malade en voiture !
La clé du coach : "Restez flexible, c'est la clé !" selon Stéphanie Bertholon1, spécialisée dans la psychologie du stress. La coach propose d'alterner des temps de centrage sur soi et de connexion avec les autres, pour mieux vous adapter, sans rejeter la situation.
La menthe fait aussi partie des anti-vomitifs naturels. Le malade peut soit mâcher directement les feuilles de menthe fraîches, soit les préparer en thé. Pour cela, il suffit de tremper 2 ou 3 feuilles de menthes séchées dans une tasse d'eau bouillante et de laisser infuser durant une heure avant de boire.
Remèdes de grand-mère contre le mal des transports
Les remèdes de grand-mère que vous pouvez essayer sont les feuilles de menthe à mâcher ou à boire en infusion avant votre voyage. Un peu plus acide, manger un quartier de citron ou diluer le jus pressé dans un peu d'eau avant de le boire.
Plusieurs solutions pour travailler sa phobie de l'autoroute : La technique des TCC, Thérapies Cognitives et Comportementales, permet d'annuler les divers traumatismes vécus par le sujet pour lui permettre de reprendre la conduite.