Pas de s pourquoi ? Les désinences de l'impératif présent se distinguent de celles de l'indicatif présent par l'absence d'un -s à la deuxième personne du singulier de certains verbes. Cette absence est d'abord due à la forme latine d'origine. — Indicatif présent : cantas, tu chantes.
L'impératif présent se termine généralement par un « s » à la 2e personne du singulier, hormis pour les verbes du 1er groupe (se finissant par -er) qui se terminent par un e : Mange (1er groupe) ! Sors (3e groupe) !
À l'impératif, « va » ne prend un « s » que dans « vas-y ». Il faut donc s'assurer que le verbe est à l'impératif, mode qui se reconnaît au fait que le sujet n'est pas exprimé : par conséquent, s'il n'y a de « tu » ni devant ni derrière le verbe, on écrit « va » : Ne va pas t'imaginer que ce sera facile.
Règle 1 : en général, on forme le pluriel des noms et des adjectifs en ajoutant s ; s'ils sont déjà terminés par -s, -x ou -z , ils ne changent pas au pluriel. Exemples : Un classeur, des classeurs. Un livre, des livres. Un tapis, des tapis.
Il ne faut donc pas mettre de « s » à l'impératif pour les verbes du premier groupe (c'est-à-dire les verbes qui se terminent en « er », comme « manger ») et certains verbes du troisième groupe (comme « offrir » ou « cueillir »), même s'il s'agit de la deuxième personne du singulier !
Cette règle vaut pour tous les verbes sauf : - Ceux du premier groupe (verbes en –er) ; - Le verbe aller. - Les verbes cueillir, ouvrir, offrir et tous leurs dérivés (recueillir, découvrir…)
À la deuxième personne du singulier au présent de l'indicatif, le verbe du 1er groupe flotter se conjugue ainsi : tu flottes. Tous les verbes du premier groupe prennent un "s" quand on les conjugue à la deuxième personne du singulier au présent de l'indicatif.
Il y a cependant une exception: pour faciliter la prononciation, on ajoute un «s» quand ces formes sont suivies des pronoms adverbiaux «en» et «y». On les lie alors par un trait d'union au verbe. Exemples: «Vas-y», «manges-en».
À l'impératif présent à la 2e personne du singulier (tu), les verbes en -er ne prennent pas de -s à la fin. Tu manges→ Mange ! Tu écoutes → Écoute ! Tu vas chez le docteur → Va chez le docteur !
Le mot « quatre » est un adjectif numéral et nom masculin invariable. Quel que soit le contexte, au pluriel comme au singulier, on écrit toujours « quatre ». La plupart des nombres cardinaux (un, deux, trois, …) sont invariables en nombre.
Dans cette phrase, il y a une négation absolue, totale. On doit donc transformer « des » en « de ». De plus, ici, le « e » de « de » est élidé car le mot qui suit commence par une voyelle. S'il y a une négation partielle ou s'il y a le verbe « être », les articles indéfinis ne se transforment pas.
C'est un verbe du premier groupe. Or, quand ils sont conjugués à l'impératif, les verbes du premier groupe s'écrivent sans s final. On écrit donc repose-toi bien , sans s à repose . C'est au présent de l'indicatif que le verbe (se) reposer prend un s , quand il est conjugué avec tu : tu te reposes .
"J'ai pensé à toi" (utilisation du verbe donc "penser").
L'impératif présent se conjugue à trois personnes (tu, nous, vous) et sans pronom précédant le verbe. Au présent, à la 2e personne du singulier, les verbes du 1er groupe se terminent sans s, sauf lorsqu'ils sont suivis de “y” ou “en” : mange ! Manges-en un peu !
Un verbe défectif est un verbe pour lequel certaines formes conjuguées manquent ou bien sont inusitées à certaines personnes, à certains temps ou à certains modes. n'existent qu'à l'infinitif.
Il ne saurait être question d'accorder le participe passé d'un verbe pronominal qui n'admet jamais de complément d'objet direct : on succède toujours « à » quelqu'un ! Le pronom « se » qui précède le participe est ici un complément d'objet indirect, qui n'a aucune influence sur son accord.
Plur. : des pneus (pluriel en s, exception à la règle du pluriel en x des mots en -eu, comme aussi bleu et feu au sens de « défunt »).
Les noms se terminant en « ou » se terminent par « ous » au pluriel comme : bisous, clous, écrous, filous, flous, gourous, mous, sous, trous, etc.
Pour savoir s'il s'agit d'un participe présent, vous pouvez remplacer « suivant » par le participe d'un autre verbe, par exemple « accompagnant ». Si la phrase conserve son sens, alors il s'agit bien d'un participe. Exemples : C'est en suivant ma fille que j'ai découvert cette maison dans les bois.
On n'écrit pas « profites bien » car le verbe profiter est conjugué ici au présent de l'impératif à la deuxième personne du singulier. C'est un verbe du premier groupe (comme préparer et chanter) qui se termine toujours par un e à la deuxième personne du singulier de l'impératif présent.
Lorsque le verbe est suivi de pronoms adverbiaux comme « en » ou « y », la terminaison de l'impératif à la deuxième personne du singulier prend un -s. On écrira donc « profites-en ». Par ailleurs, lorsqu'un verbe est suivi d'un pronom, on le lie toujours et sans exception avec un trait d'union.
L'impératif présent se conjugue à trois personnes (tu, nous, vous) et sans pronom précédant le verbe. Au présent, à la 2e personne du singulier, les verbes du 1er groupe se terminent sans s, sauf lorsqu'ils sont suivis de “y” ou “en” : mange !