Face à la légalité constitutionnelle, à laquelle se raccrochent les défenseurs de la République, les
Le coup d'État du 18 brumaire an VIII ( 9 novembre 1799 ), souvent abrégé en coup d'État du 18 Brumaire, organisé par Emmanuel-Joseph Sieyès et exécuté par Napoléon Bonaparte, avec l'aide décisive de son frère Lucien, marque la fin du Directoire et de la Révolution française, et le début du Consulat.
En tant que général en chef et chef d'État, Napoléon tente de briser les coalitions montées et financées par le royaume de Grande-Bretagne et qui rassemblent, à partir de 1792, les monarchies européennes contre la France et son régime né de la Révolution.
Le coupable serait le général Charles de Montholon, un proche de l'Empereur. Il aurait empoisonné petit à petit Napoléon en versant quelques gouttes de poison dans le vin que consommait le général à Sainte-Hélène.
Du 16 au 18 juin 1799, un nouvel épisode révolutionnaire mène au coup d'État du 18 Brumaire (9 novembre 1799). Ce dernier marque le début du Consulat (1799-1804) et l'accession du général Napoléon Bonaparte aux commandes de l'Etat. Un régime d'exception voit le jour, rendu nécessaire par la guerre.
La bataille de Waterloo, disputée le 18 juin 1815, est l'une des plus importantes de l'histoire moderne. Elle sonne la fin de Napoléon Bonaparte, et met un terme à plus de vingt ans de guerres sur le Vieux Continent. Retour sur les jours et les heures qui ont mené à la chute de l'Aigle.
Le Second Empire fut englouti par la défaite militaire de 1870. Le désastre aboutit au déchirement de la nation, avec la Commune et l'annexion de l'Alsace-Moselle.
La France va connaitre une profonde réorganisation. Dans chaque département, le pouvoir est confié à un préfet. Les juges et les jurés ne sont plus élus, ils sont nommés. L'Etat crée une nouvelle administration fiscale ainsi qu'une nouvelle monnaie, le Franc Germinal, en or.
La création de la Banque de France (1800) ; la vente de la Louisiane aux États-Unis (1803) ; la création du premier conseil de prud'hommes à Lyon (1806) ; la future Bourse de Paris (1807) ; le Code pénal (1810) ; la création des 22 Chambre de commerce (1822).
Napoléon apporte le retour à l'ordre en regroupant les lois dans le Code civil. Il modernise la France en nommant des préfets pour administrer les départements. Il crée des lycées pour former les cadres de l'Empire et institue la Légion d'honneur pour récompenser le mérite. Il fonde la Banque de France.
La première abdication de Napoléon Ier est un moment de l'Histoire de France qui voit l'Empereur des Français contraint, en avril 1814, de quitter le pouvoir à la suite de sa défaite militaire après la campagne de France et l'invasion alliée.
Après les échecs en Russie et en Allemagne, la Grande Armée est forcée de se battre sur son propre territoire pour repousser les forces coalisées largement supérieures en nombre qui affluent sur toutes les frontières. 1814 marque le crépuscule du Premier Empire, combattant contre l'Europe liguée.
Les Allemands se sentent insultés et les Français se sentent injuriés. Le gouvernement Français qui a des difficultés politiques intérieures, pense qu'une guerre contre la Prusse permettrait de pouvoir rassembler le pays autour de l'empereur Napoléon III. La guerre est donc déclarée à la Prusse le 19 juillet 1870.
Le Second Empire se termine le 4 septembre 1870 à la suite de la défaite de Sedan, lors de la guerre contre la Prusse, puissance montante en Europe dirigée par le chancelier impérial Otto von Bismarck. La Troisième République lui succède et inaugure la pérennité du régime républicain en France.
Dans cette commune belge, Napoléon aurait été doublement trahi le 18 juin 1815. D'abord par ses généraux, Ney et Grouchy en tête. Ensuite par la météo : une pluie diluvienne avait transformé en bourbier le champ de bataille, déroutant son artillerie.
Le 18 juin 1815, Napoléon Bonaparte perd une bataille décisive dans une petite commune belge, nommée Waterloo. Devenue aujourd'hui un terme générique, les causes de cette défaite restent pourtant en grande partie méconnues. C'est la mère de toutes les batailles, mais de toutes les batailles perdues.
Après son retour de l'île d'Elbe, Napoléon affronte une coalition anglo-prussienne entre les villages de Waterloo et Mont-Saint-Jean, en Belgique. Face aux troupes du duc de Wellington et du maréchal Blücher, son armée s'incline. Le 18 juin 1815 signe ainsi la fin de l'épopée napoléonienne.
La cause la plus fondamentale était l'infériorité démographique. En 1938, après l'annexion du pays des Sudètes, le Reich comptait 79 millions d'habitants, presque deux fois plus que la France (41,5) ! L'infériorité numérique s'était aggravée depuis 1914 (68 millions contre 39,6).
Le traité de paix, signé le 10 mai 1871 à Francfort-sur-le-Main, entérine définitivement la victoire allemande.
Les Allemands comptent envahir les Pays-Bas, la Belgique et le Luxembourg, pour y attirer le gros des forces françaises et britanniques. Ils espèrent ainsi franchir les Ardennes, et atteindre Sedan, mal protégée, puis foncer vers la Manche pour encercler les Alliés.
La chute du Second Empire et l'exil de Napoléon III
Le 19 juillet 1870, la France déclare la guerre à la Prusse, qui tente depuis quelques années de regrouper les États allemands en un empire allemand unifié. Napoléon III, malade, est à la tête d'une armée française mal préparée, et les défaites s'enchaînent.
D'une monarchie absolue et de droit divin, le pays voit se succéder la Première République, la Terreur, puis le Directoire. Avec son coup d'État le 18 brumaire, Napoléon Bonaparte semble avoir mis fin à la Révolution Française.
C'est en multipliant les épopées militaires victorieuses puis en s'autoproclamant premier consul par un coup d'État que Napoléon a acquis la légitimité pour être sacré empereur en 1804.
Retour sur la vie d'un navigateur condéen qui gagne a être connu : Aimé Delarue. En 1799, c'est lui qui commandait le navire ramenant Bonaparte de la campagne d'Egypte.
au sens large, le bonapartisme vise à établir un État national à exécutif fort et centralisé mais d'essence républicaine et assis sur la consultation régulière du peuple par le biais de plébiscites.