À partir de 3 ou 4 ans, un enfant peut vivre une passion exclusive vis-à-vis de son parent du sexe opposé. Il s'agit d'une étape normale du développement des enfants appelée le complexe d'Œdipe. Cette passion pour le parent de l'autre sexe amène d'ailleurs souvent le tout-petit à exclure l'autre parent.
Il peut être issu de nombreux facteurs. Si c'est en général un des deux parents qui est à l'origine des jeux et des activités, qui a une approche douce et pleine d'affection, tandis que l'autre parent est moins présent et plus autoritaire, voilà une première source d'explication.
Un enfant préfère sa maman parce qu'il a vécu dans son ventre pendant quarante semaines ou plus. Pendant qu'il se développe, c'est elle qui lui donne des nutriments, de l'oxygène et qui le protège.
Le fait qu'un ado rejette ses parents est tout à fait normal. L'adolescence est une période où le jeune ressent le besoin de se distinguer de ses parents pour devenir un individu à part entière. Si le comportement de votre enfant vous agace, prenez du recul, et rappelez-vous que cela fait partie de son développement.
Si les conflits entre mère et fille sont inévitables, c'est parce qu'il s'agit de deux femmes, qui cherchent d'abord à élaborer, ensuite à séparer leurs destins féminins. Il n'y a pas de lien mère-fille simple: la normalité est que celui-ci soit fait d'accords et désaccords, d'éloignements et réconciliations.
Le point de vue légal
Après, il est libre de ses choix. À partir de 12 ans, dans le cadre d'une procédure judiciaire, il peut par contre, s'il le souhaite, être entendu par le juge et exprimer ses préférences. Le juge n'est toutefois pas tenu de statuer en fonction de ce que l'enfant lui a dit.
Depuis sa naissance, l'enfant crée avec la personne qui s'occupe le plus de lui, un lien d'attachement très étroit. Cette personne est sa figure d'attachement. Il ne faut pas se mentir, il s'agit généralement de la mère. Mais cela peut aussi être le père, la grand-mère, le grand-père, une oncle ou une tante…
Si votre enfant refuse d'aller chez son père, ce dernier sera en droit de porter plainte contre vous pour non-présentation d'enfant. La non-présentation d'enfant constitue un délit pénal. Au maximum, vous pourriez être condamnée à une peine d'un an d'emprisonnement et à 15 000 euros d'amende (Code pénal, art.
L'aliénation parentale se décrit comme un phénomène dans lequel un des parents se livre à des comportements aliénants, influençant l'esprit de l'enfant afin de favoriser chez lui le rejet injustifié et la désaffection à l'égard de l'autre parent.
Une perturbation sociale et affective persistante, accompagnée d'au moins deux des comportements suivants : absence d'attention aux autres, affect positif limité, comme le plaisir ou l'émerveillement, épisodes inexpliqués d'irritabilité, de tristesse ou de peur lors d'interactions avec des adultes non menaçants.
Les personnes au style d'attachement désorganisé sont en fait déchirées entre leur manque affectif et leur peur de la fusion. Elles ont éperdument besoin de s'attacher à l'autre et d'attacher l'autre à elles, au moins autant qu'elles redoutent de se perdre dans l'autre.
Situation de retrait
Le juge civil peut vous retirer totalement votre autorité parentale si vous mettez en danger la sécurité, la santé ou les valeurs de votre enfant : Mauvais traitements (maltraitance psychologique, pressions morales) Consommation habituelle et excessive d'alcools ou de drogues.
Voici quelques exemples de comportements chez le parent : Parler en mal de l'autre parent de façon générale. Limiter les contacts entre l'autre parent et l'enfant ou interférer dans les contacts. Se fâcher lorsque l'enfant parle de l'autre parent de manière positive.
La mère jalouse peut également rabaisser systématiquement sa fille, l'empêcher de voir ses amis. Cette rivalité s'opère aussi dans les tenues vestimentaires, où "l'on ne sait plus qui est la mère et la fille", illustre Yves Morhain. "J'ai également eu le cas d'une mère qui avait piqué le copain de sa fille de 18 ans.
Pour régler les conflits entre mère et fille, il faut établir une communication franche et directe. Il faut savoir s'expliquer et surtout établir les limites à ne pas franchir : à chacune sa vie, principe simple, mais qui veut tout dire ! Chacune se doit de respecter l'autre.
Entre un père et une fille s'installe une relation faite d'amour, de tendresse et d'admiration. Le père doit l'encourager et la soutenir. Il lui montre le monde extérieur et l'aidera aussi à s'ouvrir à la vie professionnelle, personnelle et amoureuse.
L'adolescent a besoin de ce reflet pour se construire. – le conflit permet de se rencontrer dans la différence : Et si le conflit était une façon de s'enrichir des opinions d'autrui ? Un adolescent peut ainsi apporter un point de vue créatif sur un sujet.
Pour cela, une seule solution : faire une pause et pratiquer l'écoute active. Cessez de parler. Posez-lui des questions et reformulez clairement ce qu'elle vous dit. Vous comprendrez mieux son point de vue et elle se sentira, de son côté, davantage écoutée.
Handicap et/ou maladie chez l'enfant (i.e. deuil et/ou anxiété du parent); Troubles neurodéveloppementaux avérés chez l'enfant; Événements ou situations stressant(e)s (p. ex., divorce compliqué, aliénation parentale, pauvreté, perte d'emploi, contextes difficiles d'immigration, etc.);