Selon les psychologues, le jeu, chez les enfants, est capital pour l'affirmation de soi, car c'est un moyen de structuration de la personnalité, d'apprentissage de la vie, de découverte des autres, de développement des facultés d'imagination, de logique, d'adresse physique. Le plaisir rend facile ce qui est difficile.
comme une amante » Jouer peut être une façon pour le couple de mieux se retrouver ensuite : dans cet espace de transition entre vie pro et vie perso, le joueur se retrouve, libère son stress, sa créativité… Cependant, quand on joue avec excès, le jeu devient un « tiers ».
Habituellement, les gens prennent part à un jeu de hasard et d'argent dans le but de gagner un montant d'argent ou un objet qu'ils convoitent. Certaines personnes jouent aussi pour le plaisir ou l'excitation que cela leur procure.
Le jeu : source de plaisir et de détente
Le jeu permet de s'amuser, de rire et aussi d'oublier les contraintes habituelles en matière de règles ou de temps. Seul ou avec d'autres personnes (enfants ou adultes), inventer un jeu est une source d'évasion et donc de bien-être.
On peut définir le jeu comme une activité d'ordre psychique ou bien physique pensée pour divertir et improductive à court terme. Le jeu entraîne des dépenses d'énergie et de moyens matériels, sans créer aucune richesse nouvelle.
Pour les adultes, le jeu peut sembler sans but, voire inutile. Pourtant, il serait indispensable à tous, et ses bienfaits sont indéniables: réduction du stress, stimulation intellectuelle, développement de la créativité, connexion avec les autres, etc.
Ainsi, l'activité ludique pourrait être un processus important dans la socialisation de l'individu, par le fait même qu'elle suppose une distance à l'égard des déterminations. C'est probablement la raison de la connivence évidente entre l'enfance et le jeu.
Imaginer, contrôler, résoudre, progresser, risquer, partager, créer, prendre du plaisir ? Si le jeu revêt de multiples formes à travers les époques et les cultures, jouer est une manière d'agir et d'être.
Une argumentation qui ne vise pas seulement à convaincre, mais à persuader fait appel aux sentiments de l'interlocuteur plus qu'à sa raison. L'objectif est d'agir sur sa sensibilité afin qu'il adhère entièrement à la thèse soutenue.
Il est connoté négativement. Peut-être à cause de son lien passé avec les jeux de hasard et d'argent. Peut-être aussi parce qu'il évoque le désœuvrement : pendant qu'il joue, l'adulte ne fait rien de productif. Enfin, peut-être est-ce dû à certains de courants de la psychologie qui en font l'apanage de l'enfance.
Jouer, c'est également se mettre dans sa “bulle”, c'est oublier l'ennui et les ennuis. Le jeu peut prendre des allures d'antidépresseur, fort cher et aux effets secondaires indésirables. La recherche de plaisir et de gain stimule la plupart des joueurs au début. Peu à peu pourtant, les motivations changent.
Les bienfaits des jeux de société
De plus, ces jeux sont bons pour l'estime de soi, car votre tout-petit pourrait gagner contre vous! Les jeux de société développent aussi la capacité d'attention, la mémoire, l'esprit logique et même la motricité fine grâce à la manipulation de pions, de cartes et de dés.
S'il est tout souriant et affectueux pendant un moment, puis la minute qui suit il devient froid et distant, c'est peut-être parce qu'il se joue de vous. C'est peut-être parce qu'il a envie de sortir avec vous certains jours et qu'il pense avoir mieux à faire d'autres jours.
Il attend que vous fassiez le premier pas
Il se peut qu'il vous aime beaucoup, mais qu'il soit trop timide, introverti ou effrayé pour vous dire quoi que ce soit. Peut-être qu'il ne sait pas comment aborder le sujet avec vous. Il est aussi possible (ne riez pas) qu'il n'ait jamais invité de femme à sortir avec lui.
« Le jeu est une activité libre, incertaine, avec des limites précises de temps et de lieu, il a ses règles et il est sans conséquence pour la vie réelle. »
Je pense que l'on doit jouer, non pour gagner, mais pour le plaisir du jeu, quel qu'il soit. Cette phrase de Henry Miller contient 18 mots. Il s'agit d'une citation courte.
Le jeu est loin d'être une activité futile : il permet au cerveau des enfants de se développer et favorise leurs apprentissages.
Il prône l'égalité : le jeu est créé pour un “groupe” de joueurs, et suppose donc l'intégration de chacun sur le même pied d'égalité. Cela génère un sentiment d'appartenance à un groupe où chaque joueur doit accepter de suivre les règles du jeu, au même titre que les autres, qu'ils soient amis ou inconnus.
L'amusement
Jouer à des jeux vidéo nous amuse, nous dit la psychologie. Pour certains joueurs, c'est se mesurer à différents adversaires qui est amusant. Pour d'autres, c'est le fait de passer du temps entre amis.
Le jeu est une activité sérieuse, éducative, pédagogique, qui contribue au développement affectif, sensori-moteur, cognitif, moral, intellectuel et social de l'enfant d'une part (c'est l'optique de la psychologie du développement), au développement des plus hautes manifestations de la culture d'autre part (Caillois, ...
Pour les enfants, le jeu est d'abord une activité qui amène du plaisir et qui n'a pas de but, révèle une étude de l'Université de Montréal. 29 septembre 2014 | Pour les enfants, le jeu est d'abord une activité qui procure du plaisir et qui n'a pas de but, révèle sans surprise une étude de l'Université de Montréal.
Adulte, jouer n'est pas une régression, mais une évolution.