L'histoire en effet ne détermine pas des lois ou des enchaînements universels de causes et d'effets, comme le fait la science physique, mais elle étudie des cas particuliers ; c'est pourquoi selon Schopenhauer « elle est une connaissance sans être une science, car nulle part elle ne connaît le particulier par le moyen ...
L'histoire est science de l'esprit et ne relève pas des sciences de l'expérience. Elle opère sur des phénomènes singuliers, des actions humaines qu'elle doit comprendre et faire comprendre : « Nous expliquons la nature, nous comprenons la vie psychique » écrit ainsi Dilthey (1894), après J. G. Droysen (1808-1884).
L'histoire est complexe et étendue autant que toutes les sciences. Chaque connaissance, en effet, a son histoire ; elle est même fondée sur l'histoire, puisque toutes les sciences et tous les arts sont fondés de quelque manière sur certains antécédents, certaines pratiques, ou en ont pris occasion pour se développer.
La spécificité de l'histoire en tant que science humaine tient au fait qu'il n'existe aucune vérité figée du passé : c'est précisément parce que l'intervention de l'historien fait partie de l'histoire, dit Weber, que l'histoire s'enrichit sans cesse de nouvelles interprétations.
L'histoire des sciences est l'étude de l'évolution de la connaissance scientifique. . La science, en tant que corpus de connaissances, mais également comme manière d'aborder et de comprendre le monde, s'est constituée progressivement depuis plusieurs millénaires.
Elles sont habituellement divisées en trois ensembles : les sciences de la Terre et de l'Univers ; les sciences de la matière (physique et chimie) ; et les sciences de la vie et de l'environnement.
L'objet formel de l'histoire : caractère scientifique de l'histoire. Tous les faits physiques et psychiques se présentent à nous par leur existence concrète. classification artificielle et naturelle, explication qualitative et quantitative.
L'histoire est une science qui étudie le passé humaine. Quel l'objet de l'histoire ? Reconstituer et reconstituer les évènements du passé, faire revivre les civilisations anciennes.
Hérodote, le père de l'histoire.
La civilisation mésopotamienne aboutit ainsi à la constitution des premières sciences telles : la métrologie (La métrologie est la science de la mesure au sens le plus large.), très adaptée à la pratique, l'algèbre.
Galilée (Galileo Galilei en italien) naît à Pise, en Italie, en 1564, au sein d'une famille de sept enfants.
Le but de la science est de comprendre pour comprendre, sans chercher à valoriser ses découvertes et en ne prenant aucun brevet. Pour la science seule compte la connaissance désintéressée et sa transmission à chacun.
La vraie fonction de l histoire c'est de développer l esprit critique qu en pensez vous.
L'«objet » de l'histoire, c'est l'histoire elle-même, cet ensemble d'événements différents pour lesquels l'historien fait un choix selon ses préférences ou selon ses obligations professionnelles.
De toutes les disciplines qui étudient l'évolution humaine, l'histoire figure parmi les plus anciennes. Elle occupe une place de choix dans la vie des sociétés. L'histoire, c'est la connaissance aussi complète que possible des itinéraires suivis par les générations précédentes. C'est la mémoire de l'humanité.
Pourquoi les cours d'histoire? L'histoire est la science qui étudie le passé et qui tente de le reconstituer. Puisque les sociétés actuelles sont influencées par les sociétés du passé, il est important de bien connaître cette matière. Celle-ci aide à mieux comprendre qui nous sommes collectivement.
Actuellement, il est reconnu que l'objectivité est un idéal inatteignable. En revanche, les historiens s'entendent sur le fait que l'impartialité est toujours de mise. De fait, l'Histoire ne peut prétendre à l'objectivité des sciences expérimentales puisqu'elle est une « connaissance de l'homme par l'homme ».
Anaximandre, premier scientifique | Canal U.
En effet si l'histoire est « utile », c'est au sens très général où elle nous donne une meilleure connaissance de nous-mêmes ou de l'homme (l'histoire relève en effet des « sciences humaines »), en tant qu'elle est connaissance de ce passé qui nous constitue.
l'histoire nous permet de connaître le passé, de comprendre le présent et de préparer le futur. Elle permet de connaître son passé et le passé des autres. L'histoire nous rapproche de ceux qui ont vécu avant nous sert de référence et d'orientation.
L'histoire : « un mixte indissoluble de sujet et d'objet »
(…) Connaissance de l'homme par l'homme, l'histoire est une saisie du passé par, et dans, une pensée humaine, vivante, engagée ; elle est un complexe, un mixte indissoluble de sujet et d'objet.
L'histoire est « connaissance et récit des événements du passé, des faits relatifs à l'évolution de l'humanité (d'un groupe social, d'une activité humaine), qui sont dignes ou jugés dignes de mémoire ; les événements, les faits ainsi relatés ». Cette définition du Petit Robert (2007) semble parfaite.
On distingue traditionnellement les sciences humaines et sociales, histoire, sociologie, linguistique, géographie, sciences juridiques, etc. et les sciences dites exactes, physique, chimie, biologie, etc.