La prise de références a deux objectifs pour le recruteur: "S'assurer de la véracité des informations données par le candidat, puis affiner la connaissance de la personne: éléments de caractère, types de réactions dans certaines situations", explique Pierre-Louis Letailleur, associé du cabinet de recrutement Amrop.
La prise de références sert en premier lieu à vérifier la véracité des infos communiquées par le candidat sur son CV, mais aussi au cours des entretiens. Elle permet donc, du même coup, d'évaluer l'honnêteté du candidat et son intégrité.
C'est interdit par la loi française. Par conséquent, vous ne pouvez pas refuser de recruter quelqu'un pour le simple motif qu'il n'ait pas souhaité vous communiquer ses fiches de paie. Bien évidemment, il en est de même pour les avis d'imposition et tout autre document financier à caractère personnel.
Pas de prise de référence chez l'employeur actuel.
Vous risquerez d'avertir son supérieur qu'il est actuellement en recherche d'emploi et qu'il cherche à quitter son poste. Il est donc totalement exclu de faire une prise de référence auprès de l'employeur actuel de votre candidat si ce dernier est toujours en poste.
Quand on lui parle, on doit d'abord situer le recruteur en lui indiquant quand et pendant combien de temps on a travaillé avec la personne et quel était le contexte de travail - on a mis sur pied un programme, fait de la rédaction ensemble, oeuvré dans la même équipe, etc. - afin de donner un cadre à notre observation.
Si votre recrutement passe par un cabinet, sachez que le recruteur cherchera presque toujours à contrôler vos références. Il tentera de joindre vos anciens managers, collègues ou même clients.
La Loi sur la protection des renseignements personnels dans le secteur privé interdit à votre ancien patron de vous donner de mauvaises références.
Le contrôle de références - que l'on appelle aussi prise de références - est une méthode qui vise à départager des candidats ou valider un recrutement. Il s'agit de contacter les anciens employeurs pour confirmer des informations présentes sur le CV des candidats ou obtenues durant les entretiens de recrutement.
Ils ont même réussi à déterminer une plage horaire durant laquelle les chances du candidat sont encore plus optimisées, et qui permet de retenir l'attention des recruteurs plus facilement pour décrocher un job. Le créneau idéal a donc été établit entre 6 heures et 10 heures du matin.
Ces références peuvent être des amis, un propriétaire, des clients ou toute personne qui peut parler de vos qualités personnelles telles que votre honnêteté, fiabilité, bonne nature, etc. Si elles ont une connaissance directe de vos compétences professionnelles, cela est encore plus utile.
Utilisé dans le cadre d'un recrutement, le contrôle de références - également appelé prise de références - constitue une méthode complémentaire aux entretiens pour aider le recruteur à prendre la décision d'une embauche.
Les références professionnelles consistent à contacter des personnes qui ont travaillé avec vous dans le but de vérifier la véracité des informations indiquées sur votre CV. Contrairement aux pays anglophones, elles ne sont pas obligatoires mais sont de plus en plus demandées en France par les recruteurs.
C'est-à-dire le nom de personnes qui viennent attester les informations que vous avez transmises, et qui permettent au recruteur de se faire une idée plus précise de votre personnalité.
Comment demander cette référence ? Le plus simple est d'envoyer un mail (ou un sms si vous êtes proche de la personne) plutôt que d'appeler. En appelant directement, vous risquez de mettre votre interlocuteur mal à l'aise, notamment s'il ne souhaite pas vous recommander.
« Googliser » un candidat est une habitude qui fait son chemin : 85% des responsables RH le font systématiquement, souvent, ou parfois. L'objectif déclaré de telles recherches en ligne est d'abord de vérifier les informations figurant sur le CV (73%), ou concernant sa personnalité et ses centres d'intérêt (50%).
Relancer le recruteur permet donc de se positionner, car à compétences égales, la motivation d'un candidat peut faire la différence au moment de la prise de décision.
Placer ses références. N'incluez pas vos références dans votre CV. En fait, vous ne devez pas fournir la liste de vos recommandations sauf si on vous la demande expressément. La plupart des employeurs demandent des lettres de recommandation au cours de la deuxième étape de leur recrutement, après l'entretien d'embauche ...
Vous pouvez avoir recours à une lettre : il vous suffit de demander à vos anciens employeurs et managers de vous en écrire une – par exemple au moment où vous vous apprêter à quitter un poste. De cette façon, vous pourrez la joindre systématiquement à votre CV.
L'employeur a quatre obligations principales envers son employé, tel que prévu par l'article 2087 du Code civil : 1 lui fournir le travail convenu ; 2 le payer pour le travail accompli ; 3-protéger sa santé et sa sécurité ; 4 protéger sa dignité. Examinons donc chacune de ses obligations. 1 Fournir le travail convenu.
[Madame/Monsieur] [Nom et prénom], Ayant travaillé [pour votre entreprise/dans votre service/autre] durant [x] [années/mois], je me permets de vous demander une lettre de recommandation, à destination de [mes futurs employeurs/autre].