L'origine des douleurs métastatiques est multiple: inflammation provoquée par les cellules cancéreuses, fractures osseuses liées à la fragilisation des os, compression d'un nerf par la tumeur.
Le symptôme le plus fréquent des métastases osseuses est la douleur aux os. C'est aussi le symptôme qui survient habituellement en premier. La douleur osseuse peut être intermittente (aller et venir) comme elle peut être continue.
Il y a plusieurs traitements pour permettre de soulager cette douleur : La radiothérapie, les médicaments analgésiques (anti-douleurs) tels que les opioïdes et les médicaments modulateurs du métabolisme osseux, tels que les bisphosphonates et la calcitonine.
Les sièges de métastases à distance les plus courants sont les os, le cerveau, le foie et les poumons. Les cellules cancéreuses peuvent aussi se propager à la membrane qui recouvre les poumons (plèvre) et provoquer un épanchement pleural malin, ou bien se propager au péritoine, ce qui engendre alors une ascite maligne.
Pour qu'un cancer fasse mal, il faut que la tumeur ou des métastases* touchent, compriment ou envahissent une partie sensible du corps. Ce sont les conséquences de la tumeur et ses effets sur le corps qui produisent des douleurs. L'apparition de douleurs dépend de la localisation de la tumeur.
Les os sont en effet les organes les plus exposés aux lésions secondaires d'une tumeur. Mais certains cancers présentent un risque plus élevé d'avoir des métastases osseuses, les cancers du sein, de la prostate et le myélome multiple en premier lieu.
Une plus forte sensibilité nocturne, induite par le système circadien durant le sommeil, permettrait de compenser l'effet du sommeil et ainsi de se réveiller plus rapidement en cas de contact douloureux afin d'éviter une menace vitale.
le cancer du poumon (1,80 million de décès) ; le cancer colorectal (916 000 décès) ; le cancer du foie (830 000 décès) ; le cancer de l'estomac (769 000 décès) ; et.
En présence de métastases, le traitement peut faire appel à une chirurgie, une chimiothérapie, une radiothérapie, une hormonothérapie (si la tumeur est hormono-dépendante) et/ou relever de traitements plus spécifiques comme les thérapies ciblées et l'immunothérapie.
Un patient peut, néanmoins, vivre de nombreuses années avec un cancer au stade métastatique. « Grâce aux nouvelles modalités thérapeutiques apparues ces dernières années, il y a eu une amélioration de la durée de vie des patients dans certains types de cancer (cancer du poumon, mélanome, cancer du sein HER2…).
"On peut faire disparaître ce cancer radiologiquement. Mais en tant qu'oncologue, on sait que détruire la dernière cellule, celle qui ne se voit pas forcément sur aucune imagerie particulière va demeurer.
Contrairement aux thérapies ciblées, qui visent des cellules spécifiques, la chimiothérapie agit sur tout l'organisme. Elle est utilisée pour traiter le cancer du sein métastatique en détruisant ou en ralentissant la croissance des cellules cancéreuses.
Cette phase est en général assez facilement identifiable par le médecin, comme par le patient dont l'état général se dégrade brusquement et rapidement : fatigue extrême, manque d'appétit, amaigrissement, douleurs.
Les symptômes peuvent inclure un jaunissement de la peau et du blanc des yeux (ce qu'on appelle la jaunisse), des nausées, des vomissements, des démangeaisons ou des éruptions cutanées, une fatigue extrême. Vous pouvez également percevoir un gonflement au niveau de votre ventre.
L'origine des douleurs métastatiques est multiple: inflammation provoquée par les cellules cancéreuses, fractures osseuses liées à la fragilisation des os, compression d'un nerf par la tumeur.
L'association gingembre-citron
Les antioxydants (flavonoïdes) présents dans l'agrume sont très actifs et peuvent ralentir la progression des cellules cancéreuses dans le corps. Par ailleurs, il s'avère également qu'ils sont en mesure de réduire la progression des métastases (9).
Ce que permet la radiothérapie ciblée est de vivre plus longtemps avec une maladie chronique, d'espérer guérir de nombreuses métastases, et de guérir de plus en plus de cancers de façon non invasive.
– Le taux de survie à 5 ans est souvent utilisé par les oncologues et autres scientifiques travaillant sur le cancer chez les adultes. L'idée est que si 5 ans après la découverte du cancer le patient est toujours vivant, la probabilité est élevée que le cancer ait disparu de l'organisme.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
Peut-on en guérir ? "Dans des cas très exceptionnels, il est possible de guérir d'un cancer métastatique, mais cela reste très rare, précise l'experte. La maladie n'est pas curable mais traitable. On arrive à faire régresser les métastases et à contrôler la maladie pour éviter ses complications.
Quand la douleur persiste, ces réactions s'épuisent, et le stress se chronicise : les troubles du caractère, la fatigue, la perte d'envie, la perte d'énergie s'installent. L'inactivité physique, le retrait de la vie professionnelle et sociale, la perte de contact avec ses amis dépriment la personne souffrante.
Marcher, bouger et masser les jambes aident à calmer ces sensations désagréables. Certains ont remarqué que poser un oreiller lourd sur leurs jambes avait un effet préventif.
En cas de mal de tête ou mal de dents, il est conseillé de dormir sur le dos, en plaçant un oreiller supplémentaire sous la tête ; en cas de douleurs au cou, de lombalgies ou de côtes cassées, la position sur le dos reste la meilleure, avec ou sans oreiller sous la tête.