13 avril 1946 : la loi dite Marthe Richard ferme les quelque 1 400 maisons closes françaises, dernier acte du combat de la conseillère municipale de Paris contre la réglementation de la prostitution, jugée périmée et immorale.
La loi du 13 avril 1946 tendant à la fermeture des maisons de tolérance et au renforcement de la lutte contre le proxénétisme, dite loi Marthe-Richard, abolit le régime de la prostitution réglementée en France depuis 1804. Elle impose la fermeture des maisons closes (« maisons de tolérance »).
Le 13 avril 1946, la loi Marthe Richard abolissait une institution : le bordel. C'est la fin d'un système datant de 1804 qui donnait une existence légale aux maisons closes, cachant les prostituées pour préserver la morale, à l'ère de la bourgeoisie triomphante.
Le principe consiste à inscrire les prostituées sur les registres policiers. On a d'ailleurs créé pour cela le département de la police des moeurs. Il existe deux situations : la « fille à numéro », qui travaille dans une maison close.
Construit sous l'empire britannique, Dautladia est l'un des plus grands bordels du monde. Près de 2 000 prostituées y vivent, la plupart sont de jeunes filles forcées de se prostituer.
La ville de Cologne a perdu une de ses institutions : Le Pascha, le plus grand et le plus célèbre bordel du pays. La crise du Covid est passée par là. Pandémie oblige, le Pascha, le plus grand bordel au monde, vient de déposer le bilan.
13 avril 1946 : la loi dite Marthe Richard ferme les quelque 1 400 maisons closes françaises, dernier acte du combat de la conseillère municipale de Paris contre la réglementation de la prostitution, jugée périmée et immorale. Dans les mémoires, cette victoire est restée celle de Marthe Richard.
Pour ouvrir une maison close, il est cependant nécessaire d'obtenir un permis et de respecter le règlement municipal. Avec cette légalisation, le pays espérait réussir à assainir l'industrie du sexe et permettre aux prostitué(e)s de gagner leur vie sans avoir à dépendre d'un proxénète.
Le Club Paradise de la Jonquera, non loin de la frontière française, refroisse les draps de ses lits, avec port du masque obligatoire. Il y a plus d'une centaine de maisons closes dans la zone. Le gouvernement de Catalogne leur avait appliqué le même régime que les discothèques : fermeture forcée.
La Villa Tinto accueille quelque 260 prostitué(e)s au centre d'Anvers. Ce concept unique en Belgique leur offre de meilleures conditions de travail. Il séduit aussi certains de nos politiciens wallons et bruxellois…
La Jonquera, 3 233 habitants, est connue pour ses hypermarchés, ses buralistes, ses restaurants avec buffet, ses norias de camions, son centre commercial, sans oublier ses clubs de prostitution. Un lieu bien particulier, comme toutes les villes-frontières.
A La Jonquère, localité de 3.000 habitants, et dans les environs, on compte une dizaine de "puticlubs", comme on les appelle en Espagne, où travaillent des centaines de filles.
Dans la nuit du samedi 20 au dimanche 21 juin 2020, à minuit pile, l'Espagne rouvrait officiellement ses frontières avec la France. L'occasion pour le chaland d'aller refaire le plein de courses dans les zones commerciales du Perthus et de La Jonquera.
Définition "tenancière de maison close"
Autre mesure phare de la loi, il sera désormais nécessaire d'avoir un permis pour ouvrir un bordel, et prouver que des conditions minimales de sécurité, d'hygiène et de santé sont respectées. Ainsi, il sera obligatoire qu'il y ait une salle de repos…et il ne pourra être demandé à la personne d'exercer là où elle dort.
Étienne Jeaurat, Le transport des filles de joie de l'Hôpital, 1755, musée Carnavalet. À l'époque, ils doivent être signalés par une lanterne rouge et les volets doivent être clos… d'où le nom de maison « close » !
La rue de la Girafe, qui abrite une quarantaine de maisons closes, est dédiée à la prostitution, activité légale en Turquie. Mais le maire d'Istanbul, Kadir Topbas, a d'autres projets.
Ces visiteurs sont des consommateurs : tabac, alcool, essence, charcuterie, sexe ou drogue, chacun possède sa propre liste d'emplettes. Parce qu'ici, à un jet de pierre de la frontière, tout est disponible, et tout est moins cher.
le supermarché est vaste et vaut le coup pour les alcools, la boucherie, charcuterie, boissons et produits de toilettes.
En moyenne, la passe "de base" tourne entre 60 et 100€.
Le concept est simple: les prostituées, qui travaillent pour leur compte, payent 70 euros par jour au Club Paradise, soit le prix d'une passe. Elles sont logées, nourries sur place. Dès la deuxième passe, l'argent récolté est pour elles.
Dantxaria est l'une des zones commerciales de référence de la région. Frontalière entre la France et l'Espagne, vous y trouverez une large gamme de produits à bon prix : Viandes, légumes/fruits, produits du quotidien, alcool et vins…. C'est aussi l'occasion de faire le plein d'essence !
La meilleure période pour se rendre à la Jonquera est juillet, août. Au contraire, il est déconseillé de visiter la Jonquera en novembre pour des raisons strictement climatiques (ensoleillement et températures notamment).