L'adolescence est la période de la vie où votre enfant construit sa confiance en soi et où il consolide son identité en se confrontant au regard de son entourage. Il se sert des réseaux sociaux pour renforcer sa confiance en soi grâce à la popularité acquise, qui se compte en nombre de followers et de likes.
Parce que l'on veut créer des #liens
C'est ce que révèle une étude conduite par le New York Times Customer Insight Group : 84 % des gens appuient sur le bouton « Partage » (ou « Retweet ») pour soutenir une cause et 78 % le font pour maintenir un contact avec leur communauté.
"Les ados sont de gros consommateurs, ils sont connectés constamment à Internet, mais ils s'en servent principalement pour rester en contact entre eux. On parle beaucoup des ados, mais les parents sont aussi très connectés", prévient-il.
La communication via l'Internet donne aux adolescents l'élan nécessaire car les distractions demeurent minimales. Moins il y a de distractions, moins ils se préoccupent du regard des gens, d'après les professeurs Valkenburg et Peter.
A quoi sert internet ? 1 : Quelles sont les 4 utilités d'internet citées dans tes documents ? Internet sert à communiquer, s'informer, se divertir et se procurer des biens ou des services (réaliser des achats).
L'usage nocturne des réseaux sociaux altère le sommeil des adolescents. Le « Fear Of Missing Out » encourage la dépendance aux réseaux sociaux. L'usage excessif des réseaux sociaux peut nuire à l'estime de soi. Le diktat de la minceur peut entraîner des troubles alimentaires à l'adolescence.
Faites-lui porter une montre pour éviter qu'il regarde constamment l'heure sur son téléphone… et équipez sa chambre d'un réveil analogique : pas d'excuse pour garder son portable la nuit ! Encouragez-le à faire du sport, proposez autant que possible des activités en famille et/ou avec ses amis loin des écrans.
Il désigne "la peur ou l'inquiétude à l'idée d'être sans son téléphone portable ou de ne pouvoir l'utiliser". "Nomophobie" résulte de la contraction de l'expression "no mobile phone phobia". Un mot méconnu du grand public mais utilisé par la presse et les chercheurs, même s'il ne s'agit pas d'un terme scientifique.
Traiter les symptômes d'angoisse générée par la nomophobie peut passer par une prise d'anxiolytiques, qui doit être limitée dans le temps. Les plantes, particulièrement la valériane, sont une alternative aux anxiolytiques dans le traitement des angoisses, de même que la relaxation.
"Les écrans nous stimulent sensoriellement. Le fait que l'on puisse toucher l'écran, contrairement à la télé, nous implique, c'est donc une expérience mémorielle", avance Vanessa Lalo, psychologue clinicienne spécialiste des pratiques numériques, également invité d'Europe 1, mardi.
En effet, selon de nombreux chercheurs, les réseaux sociaux produisent des effets sur le cerveau qui pourraient être comparés à ceux provoqués par la drogue, et, qui entraînent l'addiction. Ainsi, les likes apparaissent alors comme des doses de dopamine qui satisfont notre représentation du “moi idéal”.
Vous êtes "nomophodes". Contraction de "no mobile phobia", la "nomophobie", touche principalement les accros aux réseaux sociaux qui ne supportent pas d'être déconnectés.
"L'addiction aux écrans professionnels est reliée elle au phénomène du workaholism, l'envahissement par le travail.
La nosophobie est une peur irrationnelle de contracter une maladie grave (cancer, Alzheimer, Parkinson, Sida, cardiopathie, sclérose en plaques…). La personne souffrant de nosophobie veut, à tout prix, rester en bonne santé.
Les personnes atteintes de nomophobie paniquent face à l'oubli de leur appareil, lorsqu'il n'y a pas de connexion ou lorsqu'il n'a plus de batterie. Elles éprouvent le besoin de vérifier en permanence leurs messages et autres réseaux sociaux.
La mégalophobie se caractérise par la peur irrationnelle de tout ce qui paraît de grande taille. Les personnes qui en souffrent peuvent être prises de panique à l'idée de se retrouver face à de grands - ou d'anormalement grands - objets.
la lumière bleue émise par les écrans contribue à bloquer la production de mélatonine et favorise ainsi l'éveil, même à des niveaux faibles d'exposition ; les activités sur écrans maintiennent notre cerveau dans un état d'excitation intellectuelle peu propice à l'endormissement.
Une utilisation prolongée des écrans peut causer une sécheresse oculaire (du fait qu'on cligne cinq fois moins des yeux quand on regarde un écran), une fatigue visuelle, une vision trouble, des maux de tête, des yeux qui chauffent ou qui picotent de même qu'une perte d'attention ou de concentration.
Ces addictions peuvent aussi conduire à de profondes crises d'angoisses ou à de l'hyperactivité. Les joueurs compulsifs peuvent aussi souffrir de douleurs musculaires dans le dos, le cou ou encore les bras. Et il est un dernier risque qui est encore bien mal évalué, c'est l'effet éventuellement toxique des ondes.
L'exposition à des images choquantes (pornographie, violence, comportements dangereux…) La divulgation d'informations personnelles et leur persistance (paramètres de confidentialité…) Le cyber-harcèlement (insultes, menaces, chantages à la webcam…) Tentatives d'escroquerie, usurpation d'identité et piratage de comptes.
Les principaux avantages d'Internet
Internet peut être utilisé comme un moyen de communication qui nous permet de rester en contact avec nos amis et contacts du monde entier. Internet donne accès à des services innovants comme la télévision haute définition, la téléconférence, les visites virtuelles, etc.
Symptômes de la nomophobie
La nomophobie se traduit par un état d'angoisse, d'anxiété et une impossibilité à réguler son utilisation. Le smartphone peut alors amener à une perte de lien social, des troubles du sommeiltroubles du sommeil, voire une dépression.