La toxicomanie est associée à la santé mentale, mais n'est pas considérée comme une « maladie mentale ». Les gens consomment de l'alcool ou des drogues pour toutes sortes de raisons, entre autres, pour se détendre, pour diminuer les inhibitions, pour des pratiques religieuses ou pour s'intégrer à un groupe.
La toxicomanie peut s'expliquer par de multiples raisons. Certains auteurs évoquent des conflits psychologiques intérieurs, d'autres des prédispositions héréditaires ou des mécanismes neurologiques, les derniers soulignent l'influence du milieu social.
L'anxiété, les problèmes relationnels, les traumatismes du passé et le mal-être ressenti sont souvent à l'origine de ces usages. Ces consommations sont propices à ce qu'une dépendance s'installe et que la situation de l'usager se dégrade.
l'âge et le sexe (l'adolescent et l'homme jeune sont "fragiles") le milieu social (plus ce milieu est défavorisé, plus le risque est important) l'absence du père. l' alcoolisme familial.
Le toxicomane va se débrouiller pour trouver le désir et le plaisir dans un objet qui reste totalement contrôlable et à sa merci : ainsi croit-il qu'il n'en dépendra pas puisqu'il le contrôle : l'objet inerte, non désirant, sera la drogue. Le toxicomane se pense donc auto-suffisant avec son produit.
Bien que la toxicomanie touche les hommes et les femmes de tout âge, elle est : de deux à trois fois plus fréquente chez les hommes que chez les femmes ; • la plus répandue chez les personnes âgées de 15 à 24 ans (Statis- tique Canada, 2003).
Causes et facteurs de risque. Le développement de la toxicomanie chez une personne est attribuable à tout un ensemble de facteurs. Facteurs génétiques: il se peut que certaines personnes soient génétiquement plus vulnérables aux propriétés toxicomanogènes des drogues.
Comprendre les conséquences de sa dépendance sur sa vie et sur celle de son entourage. Élaborer un plan d'abstinence et un plan de prévention des rechutes selon sa situation. Apprendre à gérer les signes avant-coureurs et les éléments déclencheurs d'une rechute.
Le terme toxicomanie renvoie à une dépendance et à une recherche active de produits toxiques, à la différence de quelqu'un qui serait dépendant au sport ou à un jeu vidéo par exemple. Aujourd'hui on a plutôt tendance à parler d'addiction car la toxicomanie a une connotation très péjorative.
L'héroïne
L'étude de Nutt démontre que l'héroïne est la drogue la plus addictive de toutes, avec un score maximal de 3/3. Il s'agit d'un opiacé qui entraîne une augmentation de 200 % du niveau de dopamine dans le système de récompense du cerveau comme l'ont prouvé les expériences menées sur des animaux de laboratoire.
Parfois, les comprimé d'ecstasy peuvent contenir d'autres drogues et substances. Effets: Sous l'influence de l'ecstasy, on peut se sentir plus alerte et plus en harmonie avec son environnement. On se sent heureux, calme et l'on éprouve des sentiments chaleureux envers les autres.
La toxicomanie est une maladie complexe et chronique qui s'installe lentement et qui est difficile à traiter.
Les personnes toxicomanes qui ont survécu à leur ad- diction, ou qui ont réussi à s'en sortir, vieillissent avec leur dépendance ou avec leurs thérapies. Aujourd'hui, le pa- tient le plus âgé bénéficiant d'un traite- ment de substitution a 68 ans.
Une fois fixées sur la glande sébacée, ces drogues peuvent augmenter excessivement la production du sébum (graisse de la peau), responsable en partie de l'acné. De la même manière les kératinocytes qui constituent notre barrière cutanée vont être modifiés, ce qui peut contribuer à la formation des fameux points noirs.
Une autre drogue, la phencyclidine (PCP), appelée « angel dust » ou « poudre d'ange », puissante substance hallucinogène, a aussi la réputation de conduire à des actes auto ou hétéro-agressifs qui peuvent être d'une extrême violence.
Dépendance psychologique
Excepté les opiacés, famille de drogues dont fait partie l'héroïne, le sevrage de drogues est plus difficile sur le plan psychologique, puisque c'est à ce niveau que l'addiction se crée.
Le sevrage de la nicotine dure environ 15 jours à 3 semaines, en fonction des individus, ses symptômes éventuels les plus fréquents sont les troubles du sommeil (insomnie, sommeil agité), l'irritabilité, l'anxiété, les humeurs dépressives, l'hyperactivité et l'augmentation de l'appétit.
altèrent le fonctionnement du cerveau en augmentant de manière artificielle la production de dopamines dans le cerveau. Ces hormones sont responsables de la motivation et du sentiment de plaisir associé à la récompense, donc elles augmentent la sensation de bien-être de l'individu qui prend des drogues.
Le principal risque connu est la dépendance au GHB. Parmi les autres effets à long terme signalés, il y a : l'amnésie.
Pablo Emilio Escobar Gaviria, né le 1er décembre 1949 à Rionegro, Antioquia, Colombie, et mort le 2 décembre 1993 à Medellín, Colombie, est un trafiquant de cocaïne colombien. À la tête du cartel de Medellín, il a été l'un des principaux barons de la drogue dans les années 1980.
Une consommation à long terme entraîne de sérieux troubles psychiques, une grande instabilité d'humeur et des délires paranoïdes, des attaques de panique et de sévères dépressions.
Il faut donc se centrer sur soi, sur ses propres besoins. Mais certains ressentent cela comme un égoïsme coupable. Notre rôle est de les aider à se déculpabiliser. Se centrer sur ses besoins, c'est aussi mesurer ses limites.