Les grands-parents jouent généralement un rôle primordial dans la formation de l'enfant, qui passe par l'écoute et le dialogue, l'apprentissage et la transmission de savoir-faire et du patrimoine familial. Reste à trouver la bonne formule pour qu'ils ne s'interposent pas entre l'enfant et les parents !
La grand-mère dispose aussi d'une expérience de parentalité et est apte à prendre du recul, en cas de situations difficiles. Celle-ci n'a pas à prendre en charge le poids de l'éducation : elle n'a pas à être autoritaire, ni à inculquer les règles de la vie (bien qu'elle puisse tout à fait le faire).
Grâce à leur vécu, les grands-parents apportent à l'enfant des ressources différentes, teintées de patience, de gentillesse, mais aussi d'empathie, de culture et de bienveillance. Suivre pas à pas l'évolution d'un enfant en étant intéressé par chaque étape de sa construction, c'est un réel cadeau de la vie !
Bisaïeul(e) : deux fois aïeul, père ou mère du grand-père ou de la grand-mère. Bisaïeul(e) paternel(le). Bisaïeul(e) maternel(le). Bru : La femme du fils par rapport au père et à la mère de ce fils, on la nomme aussi belle-fille.
Les branchouilles : encore et toujours les noms tout doux en « ou » ou en « a » comme poupa-mouma, papoune-mamoune, dadou-nanou, mais aussi papily-mamily, papita-mana, papinou-mamina… Les internationaux : grappy-granny (qui veut dire « grand-mère » en anglais, mais aussi « pomme verte très acidulée »…
Ils se font appeler « papi et mamie, ou bien grand-pa et grand-ma. Ces noms affectueux montrent bien l'attachement et la complicité qui existe entre les générations différentes, et ce malgré la différence d'âge. Beaucoup de grands-parents se sentent rajeunir lorsqu'ils sont en compagnie de leurs petits-enfants.
Droits des grands-parents
Les grands-parents ont un droit de visite et d'hébergement de leurs petits-enfants, mais aussi le droit d'échanger une correspondance avec eux et de participer à leur éducation dans la mesure où ils ne se substituent pas aux parents. Ces droits restent valables : en cas de divorce des parents.
Vos petits-enfants ont besoin de votre amour et de votre soutien, pas de vos critiques. Donnez-leur de l'amour, du soutien et dans les moments importants, montrez-leur à quel point vous êtes fière d'eux, quand bien même vous auriez fait certaines choses différemment.
La meilleure façon d'éviter que grand-maman s'immisce dans votre vie à un degré qui vous rend inconfortable, c'est de lui en parler avant même la naissance du bébé et d'établir vos limites avec elle afin qu'elle se prépare à les respecter après la naissance.
La vie était franchement différente à l'époque de nos grands-parents quelle l'est pour nous. Leur vie était plus simple, plus écolo et plus économique, animée d'histoires racontées en personne, de dîners du dimanche et de jeux de cartes.
A contrario, le principe est que l'obligation alimentaire des grands parents est due aux enfants s'ils sont dans le besoin et aux petits enfants si les parents sont dans l'incapacité de la verser. Remarque : lorsque les enfants sont majeurs, l'obligation alimentaire entre ascendants et descendants est réciproque.
Adopter la bonne attitude pour l'enfant
Aussi, mieux vaut éviter que l'enfant ressente qu'il est un sujet de dispute ou de crispation entre ses proches. On essaye ainsi de limiter les altercations publiques. La spécialiste précise aussi qu'il est important de distinguer ce qui est accessoire de ce qui ne ne l'est pas.
En France, on devient Grand-Parent pour la première fois à l'âge de 54 ans en moyenne. Un âge auquel la grande majorité d'entre eux est encore dans la vie active. Dès lors, la question des Grands-Parents au sein de l'entreprise et de leur départ à la retraite à 62 ans, voire davantage, se pose naturellement.
Les modeux Granny, Oma et Yaya
En arabe, on trouve les appellations suivantes : Jedda et Jedd, avec de nombreuses variantes en fonction des pays.
Gran-mai (r) en creole guadeloupeen (r a peine prononce) et grann en creole haitien.
granny, suisse além.