La raison principale, c'est pour consommer moins de carburant : Les avions de ligne volent en croisière entre 7.000 et 12.000 mètres d'altitude, car à cette hauteur, l'air est beaucoup moins dense et oppose moins de résistance à l'avion.
Missions de reconnaissance et d'interception. Les avions de chasse optent pour le vol à basse altitude pour éviter de se faire détecter ou de se faire prendre pour cible par l'ennemi. Par mauvais temps, il est aussi préférable, voir important, de rester en vue du sol ou de l'eau.
Les vols sont limités la nuit
Entre 24 heures et 6 heures, les décollages sont interdits. Entre 22 heures et 24 heures, les décollages ne sont autorisés que sous certaines conditions, notamment liées au volume sonore de l'avion.
De nuit, les pilotes volent selon ce que leur indiquent les instruments et c'est pourquoi, quand vous devenez pilote, vous passez d'abord une licence de vol visuel de jour, ensuite vol de nuit, ensuite vol instrument qui permet de voler dans les nuages et finalement, vol multi-moteurs.
Comme tout véhicule (sauf les cyclistes suicidaires la nuit), les avions possèdent des feux. Il y a les principaux : les phares d'atterrissage qui éclairent la piste lors du décollage ou de l'atterrissage, mais aussi les phares de roulage utilisés au sol. Il y a des feux de navigation situés aux extrémités des ailes.
Le bruit de jet est dû à la génération de fortes turbulences dans la zone où les gaz chauds à haute pression éjectés de la tuyère du moteur se mélangent à l'air ambiant.
- la traction (avions à hélice) ou poussée (avions à réaction), grâce à laquelle l'avion progresse dans l'air. La manette des gaz permet d'agir sur l'intensité de cette force. - la traînée - le poids de l'aéronef, force verticale orientée vers le bas, appliquée au centre de gravité.
Elle se base sur l'utilisation de balises radioélectriques situées sur le sol dont le signal est transformé en indication de position par des récepteurs installés à bord de l'avion. L'indication de position est donnée ensuite sur un cadran à bord de l'avion.
Mal aux oreilles
Ce symptôme survient généralement pendant le décollage ou l'atterrissage. En cas de douleur, plusieurs méthodes peuvent être employées pour la diminuer : Mâcher un chewing-gum ou bâiller : ces deux gestes créent une décompression au niveau de l'oreille interne, ce qui soulage la douleur.
Les ailes sont courbées sur le dessus et plates en dessous. Elles sont aussi un peu inclinées. Ce qui veut dire qu'elles ne sont pas droites comme une planche. C'est grâce à leur forme que l'air du ciel peut voyager autour des ailes et faire soulever l'avion.
Le simple fait d'avancer le centre de gravité a donc permis un vol stable. Pour un avion en vol de croisière, la force de portance équilibre exactement le poids et la force de propulsion équilibre exactement la traînée. Toutes ces forces sont appliquées au centre de gravité.
Rafale (France) : 15 000 mètres (50 000 pieds) F15 Eagle (Etats-Unis) : 20 000 mètres (65 600 pieds) MiG 31 (Russie) : : 26 400 mètres (86 600 pieds) F35 JSF (Etats-Unis) : 18 500 mètres (60 600 pieds)
Il y a bien sûr des raisons à cela. Par exemple, l'air s'amincit au fur et à mesure que l'on prend de la hauteur. Pour l'avion, cela réduit sa résistance à l'air, ce qui lui permet de voler plus vite et de consommer moins de carburant."
Cette lenteur est due au coût du kérosène. Conformément aux lois de la physique, une augmentation de la traînée équivaut au carré de l'augmentation de la vitesse, si bien qu'un avion qui accélère un peu plus requiert un important supplément de carburant.
Un pilote de ligne gagne des mille et des cents
Certes, un pilote de ligne gagne bien sa vie. Le salaire d'entrée est entre 2 000 et 3 000 euros net par mois et un commandant de bord peut toucher jusqu'à 10 000 euros net sur des vols long-courriers.
L'idée étant de diminuer la charge de travail ainsi que la fatigue du pilote principal au sein de l'appareil mais aussi de son copilote. Enfin sur un aspect sécurité, c'est aussi en quoi une deuxième personne dans le cockpit reste indispensable.
Comment devenir pilote d'avion ? Pour officiellement devenir pilote d'avion, tu dois être titulaire de la licence européenne de pilotage d'avion. Pour l'obtenir, tu peux opter pour deux filières : la filière civile d'Etat ou la filière privée.
Normalement, un pilote vole environ 900 heures par an. Cela peut ne pas sembler beaucoup mais, en analysant le planning d'une journée type (voir ci-dessous), je travaille souvent une douzaine d'heures par jour.
Profiter d'un repos adéquat est une préoccupation majeure pour les pilotes de ligne. Les pilotes assurent un service disponible 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, 365 jours par année. Il arrive souvent qu'ils se préparent à travailler au moment où la plupart des gens retournent à la maison et se préparent pour la nuit.
Les avions commerciaux de ligne ont généralement des vitesses de croisière maximales d'environ 900 à 950 kilomètres par heure (environ 560 à 590 miles par heure). Par exemple, le Boeing 747 à une vitesse de croisière maximale d'environ Mach 0,85 à Mach 0,89, ce qui équivaut à cette plage de vitesses.
Le premier, c'est l'économie de carburant. Un avion, ça consomme beaucoup de kérosène. Un Airbus A320, c'est 3 000 litres par heure de vol. Voler très haut permet d'en dépenser moins car à ces altitudes élevées, l'air étant moins dense, il offre moins de résistance à l'avion.
Les avions, à l'atterrissage et au décollage, se placent toujours face au vent. Cette règle permet de réduire au minimum leur vitesse lorsqu'ils se posent et assure leur portance au moment de prendre leur envol. A la construction d'un aéroport, les pistes sont donc toujours installées en fonction des vents dominants !