Le pain et le vin portent en eux, du fait de leur processus de fabrication, cette dimension du Salut : la mort du Sauveur, par la faute des hommes, qui seule peut donner aux hommes la vraie nourriture et la vraie boisson, c'est-à-dire l'accès par le Christ à la Vie du Royaume du Père.
Quand Jésus prend le pain et le vin de son dernier repas, c'est tout cela qu'il prend en compte pour le porter à une signification inattendue et inimaginable : il se fait notre pain pour une vie que la mort ne peut détruire, notre vin pour une joie éternelle.
L'origine se trouve en effet dans la fameuse Cène, au cours de laquelle Jésus a dégusté du pain et du vin avec ses disciples la veille de sa mort sur la croix et a ordonné à ces derniers de perpétuer cette coutume en sa mémoire.
Ce fruit dans la Bible résulte toujours de la communion entre l'homme et Dieu. Boire le vin, sang de Jésus, c'est participer à cette fructification du monde que Dieu désire depuis la création du monde. » « Jésus devait avoir une manière bien à lui de bénir le pain et la coupe, dit le père Éric Morin.
Le pain symbolise donc le crucifié, la chair de Dieu brisée pour le salut des hommes, comme Jésus lui-même l'explique au cours de la Cène, son dernier repas : « Pendant qu'ils mangeaient, Jésus prit du pain ; et, après avoir rendu grâce, il le rompit, et le leur donna, en disant : Prenez, ceci est mon corps. » (Marc, ...
Depuis toujours, le pain joue un rôle important dans la vie des hommes et possède une valeur symbolique. Le pain est le symbole de la nourriture et de la vie, du bonheur divin, du bien-être social et individuel – de la naissance à la mort, souvent représentée par une faucheuse (de blé).
Paul dit à son disciple Timothée : « Cesse de boire uniquement de l'eau, mais prends un peu de vin pour faciliter ta digestion, puisque tu es souvent malade » (1 Timothée 5,23). Seul l'abus qui conduit à l'ivresse est considéré comme un péché.
Du vin mêlé de myrrhe est offert à Jésus au moment de sa crucifixion. En mentionnant que le condamné refuse d'en prendre, Marc veut insister sur le fait qu'il est décidé à affronter la mort en face, sans rien perdre de ses capacités intellectuelles (Mc 15,23).
Quand un soldat romain donnait du « vinaigre » à un supplicié agonisant (par exemple Jésus Christ sur sa croix, selon les évangiles), il lui proposait en fait ce qui lui servait de boisson au quotidien. De plus, à cette époque, le vinaigre était déjà connu pour avoir des vertus désinfectantes.
Le vin est connu pour son effet bénéfique sur le système cardio-vasculaire. Il dilate les artères et les vaisseaux, ayant des vertus anti-coagulantes. Sa consommation permet de diminuer les accidents cardio-vasculaires, y compris l'infarctus, de 40%, d'après l'OMS.
La croix est le principal symbole du christianisme. Considérée de nos jours comme l'image du gibet de la Crucifixion du Christ, elle appartient à une symbolique plus ancienne.
12De ce fait, dans la tradition biblique, le vin est symbole de prospérité et d'espoir. Le peuple juif a un seul désir : celui de trouver une terre fertile pour pouvoir, finalement, vivre en paix.
Pour Clément d'Alexandrie, dans son ouvrage appelé le Pédagogue, les plus anciens symboles de distinction des chrétiens sont une colombe, pour la colombe de l'arche et le Saint-Esprit, un navire pour l'Église (universelle), une ancre pour l'espérance, et un poisson pour Jésus-Christ, car le mot grec Ichthus contient ...
Une valeur symbolique
Le pain est aussi un don de Dieu : lorsque Moïse nourrit son peuple dans le désert avec la nourriture tombée du ciel, et lors du dernier repas, lorsque le pain devient corps du Christ. Quand Jésus multiplie les pains pour nourrir la foule, le pain devient signe de partage.
Ainsi donc, quand on consacre le calice du Seigneur, on ne peut pas plus offrir l'eau toute seule que le vin tout seul ; si on n'offre que le vin, le sang du Christ se sépare de nous, s'il n'y a que de l'eau c'est le peuple qui se sépare du Christ », explique-t-il.
La Sainte-Cène donne aux membres de l'Église l'occasion de méditer et de se souvenir avec reconnaissance de la vie, du ministère et de l'expiation du Fils de Dieu. Le pain rompu est un rappel de son corps et de sa souffrance physique, en particulier sa souffrance sur la croix.
Après quoi, sachant que désormais tout était achevé pour que l'Écriture fût parfaitement accomplie, Jésus dit : « J'ai soif. » solution B : Après quoi, sachant que désormais tout était achevé, pour que l'Écriture fût parfaitement accomplie, Jésus dit : « J'ai soif. »
Les Noces de Cana est un récit tiré du Nouveau Testament où il est raconté que Jésus accomplit le premier de ses miracles en changeant de l'eau en vin.
Sa formule chimique est le CH3-CO-OH. C'est l'un des plus vieux conservateurs alimentaires : les Romains l'appelaient « acetum », le vinaigre.
Jésus buvait du vin et Jean-Baptiste était un ascète. Aucun des deux ne peut donc être un envoyé du Seigneur ?! Au contraire, et les œuvres de Jésus le prouvent. Et quiconque suit le chemin montré par Jésus a des raisons de se réjouir.
2- 1 Timothée 5:23
Ne continue pas à ne boire que de l'eau; mais fais usage d'un peu de vin, à cause de ton estomac et de tes fréquentes indispositions.
Les blancs choisis sont souvent de type Sauternes ou Monbazillac. Mais certains peuvent opter pour des rouges plus corsés, comme un Cahors qui supporte bien la dilution à l'eau dans le calice, puisque le vin de messe est toujours coupé à l'eau.
Lévitique 11:7-8 « Vous ne mangerez pas le porc, qui a la corne fendue et le pied fourchu, mais qui ne rumine pas : vous le regarderez comme impur. Vous ne mangerez pas de leur chair, et vous ne toucherez pas leurs corps morts : vous les regarderez comme impurs. »
Et pourtant, le tatouage a longtemps été une pratique marginale dans nos sociétés judéo-chrétiennes ; il est en effet interdit par la Bible. Le Lévitique (19-28) est sans équivoque à ce propos : « Point d'incision dans votre chair (…) et vous n'imprimerez point de figure sur vous.
De manière générale, les chrétiens ne sont pas tenus de s'abstenir de manger du porc en vertu de leur foi, mais ils peuvent choisir de le faire ou de ne pas le faire en fonction de leurs convictions personnelles.