À des concentrations élevées, le dioxyde de carbone peut déplacer l'oxygène de l'air, privant ainsi le corps d'oxygène, ce qui peut causer une perte de conscience. Le dioxyde de carbone agit également comme un puissant dépresseur du système nerveux central.
Le CO2 est en partie responsable de l'effet de serre. Cela a pour conséquence l'augmentation des températures et ainsi, la perturbation de tout notre écosystème (voir nos articles traitant des conséquences du réchauffement climatique sur les océans, la fonte des glaces et les forets).
Depuis 1990, 70 à 90 % des émissions de dioxyde de carbone anthropiques proviennent de la combustion des carburants d'origine fossile. L'agriculture et la sylviculture contribueraient pour 12 % des émissions de dioxyde de carbone.
Le monoxyde de carbone est un gaz très dangereux : il ne se voit pas et ne sent rien. Mais quand on le respire, il prend la place de l'oxygène. On a mal à la tête, envie de vomir, on est très fatigué. On peut aussi s'évanouir ou même mourir.
Les rejets de dioxyde de carbone (CO2)
Ce gaz opaque au rayonnement infrarouge de la Terre maintient comme un couvercle la chaleur à sa surface entraînant un réchauffement important.
Le dioxyde de carbone peut principalement être trouvé dans l'air, mais aussi dans l'eau en tant que partie du cycle du carbone.
Le dioxyde de carbone, plus communément employé sous sa formule moléculaire CO2 (pour un atome de carbone et deux atomes d'oxygène), est un gaz sans couleur ni odeur.
À la maison, les sources d'émanations de monoxyde de carbone sont multiples: Les cheminées, les appareils ménagers à gaz (cuisinière, four, réfrigérateur, etc.), les systèmes de chauffage et les chauffe-eau à combustion; Les véhicules et les autres appareils à combustion (tondeuse, souffleuse, etc.)
Il n'irrite pas les yeux ni les voies respiratoires. Quand une personne respire du monoxyde de carbone, le gaz entre dans son sang et y prend la place de l'oxygène. Cela endommage les tissus et peut être très dangereux pour la santé.
Les signes cliniques ne sont pas spécifiques : maux de tête, vertiges, malaises, nausées, dyspnée, troubles de la vision, de l'odorat ou du goût, troubles du sommeil, de la mémoire, de l'attention, douleurs thoraciques, abdominales, musculaires peuvent être rencontrés à des fréquences variables.
À des concentrations élevées, le dioxyde de carbone peut déplacer l'oxygène de l'air, privant ainsi le corps d'oxygène, ce qui peut causer une perte de conscience. Le dioxyde de carbone agit également comme un puissant dépresseur du système nerveux central.
En prévention pour éviter une intoxication au monoxyde de carbone, aérez chaque pièce du logement au moins 10 minutes chaque jour, même lorsque la température est basse. Vérifiez la bonne ventilation des bouches d'aération et ne calfeutrez pas les entrées et sorties d'air. Laissez aussi circuler l'air sous les portes.
800 ppm : provoque des maux de tête, vertiges et nausées. Cette concentration en CO entraîne la perte de connaissance en 45 min, et la mort en 2 à 3 heures. 12 800 ppm : entraîne la perte de connaissance immédiate et la mort entre 1 et 3 minutes.
Les émissions provenant de sources fossiles ont augmenté depuis 1990, passant de 22 à 36 Gt CO2 par an (Gt = gigatonnes ou milliards de tonnes). De tous les gaz à effet de serre, le CO2 est le principal responsable de l'effet de serre (plus de 50 %).
La hausse des émissions de gaz à effet de serre modifie cette composition, provoquant une augmentation de l'effet de serre. La chaleur est piégée à la surface de la Terre. Ce déséquilibre entraîne un réchauffement planétaire. Depuis le début du XXème siècle, la température de la planète a augmenté de 1,1°C.
Le dioxyde de carbone (CO2) : bien moins présent dans l'atmosphère que la vapeur d'eau, le CO2 participe à 25% de l'effet de serre car sa capacité à retenir la chaleur est très élevée. Le méthane (CH4) Le protoxyde d'azote ou oxyde nitreux (N2O) L'ozone (O3)
Le monoxyde de carbone. Ce gaz toxique est un produit de combustion émis par les appareils de chauffage mal entretenus et vétustes (combustion mal réglée/incomplète, conduit obstrué…). Ce gaz est d'autant plus dangereux qu'il est invisible, inodore et qu'il n'irrite ni les yeux ni les voies respiratoires.
Aérer quotidiennement
Et ce, même s'il fait froid ! En plus de vous protéger des intoxications au monoxyde de carbone, aérer l'intérieur de sa maison permet d'apporter de l'oxygène et de prévenir de la prolifération des virus et des bactéries.
Quels sont les symptômes ? Les symptômes - maux de tête, fatigue, nausées - apparaissent plus ou moins rapidement et peuvent toucher plusieurs personnes. Une intoxication importante peut conduire au coma et à la mort, parfois en quelques minutes.
Les traces d'humidité peuvent être un autre signe de présence de CO. De la condensation inhabituelle sur une fenêtre ou sur une table peut indiquer que du monoxyde de carbone s'accumule. L'environnement de la pièce est ici un indice et la pression est un indicateur.
Le monoxyde de carbone est un gaz incolore, inodore (sans odeur), invisible, non irritant et donc indétectable. C'est un gaz asphyxiant qui prend la place de l'oxygène dans le sang, empêchant ce dernier d'aller alimenter nos organes et nos tissus.
Pour identifier la présence de dioxyde de carbone, on se sert de l'eau de chaux. L'eau de chaux est limpide (transparente) et elle va se troubler en présence de dioxyde de carbone.
Comme de nombreux gaz le dioxyde de carbone est incolore, un test chimique est indispensable pour le détecter. Le test du dioxyde de carbone est très souvent appelé « test à l'eau de chaux » en raison du réactif (l'eau de chaux) qu'on utilise pour le réaliser.
C'est là que par un échange avec l'air tout proche, le sang perd une bonne partie de son dioxyde de carbone que l'on rejette ensuite en expirant (l'air que l'on avait inspiré, lui, n'en contenait presque pas). Conclusion : le dioxyde de carbone provient des muscles (ou d'autres organes) qui ont fonctionné.