La spirale de Fibonacci (courbe verte constituée de l'ensemble de quart de cercles tangents à chaque carré) est une approximation de la spirale d'or (courbe rouge). Les parties jaunes indiquent les portions où les deux courbes se superposent. Les côtés des carrés successifs respectent la proportion d'or.
La suite de Fibonacci apparaît dans de nombreux problèmes de dénombrement. Par exemple, le terme d'indice n (pour n supérieur ou égal à 2) de la suite de Fibonacci permet de dénombrer le nombre de façons de parcourir un chemin de longueur n-1 en faisant des pas de 1 ou 2.
Vue étroite d'une queue de caméléon casqué (Chamaeleo calyptratus) formant la courbe en spirale rappelant la suite mathématique de Fibonacci. On doit la suite de Fibonacci à Léonard de Pise, également connu sous le nom de Leonardo Fibonacci, né en 1175 et auteur de nombreux manuscrits mathématique d'importance.
L'Équation de Navier-Stoke.
Dans chaque carré, on trace un quart de cercle joignant un sommet au sommet opposé, de sorte que les quarts de cercle soient consécutifs. La courbe obtenue s'appelle la spirale de Fibonacci. Les carrés sont donc de côté 1,1,2,3,5,8,13,.... Cette suite est la suite de Fibonacci.
En 1795 Abraham-Louis Breguet eut l'idée de relever la spire extérieure du spiral et de lui donner une forme spécifique, vers l'intérieur selon une courbe calculée avec précision, pour réaliser le développement concentrique du spiral.
Le nombre d'or est donc approximativement de 1,6180339887. Il est représenté par la lettre grecque phi, Φ. Il est souvent nommé la "divine proportion", car il apparaît très fréquemment dans la nature. Par exemple, le nombre de pétales dans une fleur est très souvent un nombre issu de la suite de Fibonacci.
Un nombre égal à la somme de ses diviseurs propres est parfait. Un diviseur propre est un diviseur autre que le nombre lui-même. Le premier nombre parfait est 6. En effet 1, 2 et 3 sont les diviseurs propres de 6 et 1+2+3=6.
L'identité d'Euler
Parce qu'elle utilise 3 des opérations fondamentales en arithmétique : l'addition, la multiplication et l'exponentiation. L'identité d'Euler est considérée comme la plus belle formule mathématique.
Sept millions de dollars de récompense incitent ainsi les mathématiciens à travailler sur les sept problèmes suivants : l'hypothèse de Riemann, la conjecture de Birch et Swinnerton-Dyer, le problème P versus NP, le problème de l'écart de masse des équations de Yang-Mills, la conjecture de Poincaré, le problème de l' ...
Pour autant, un mystère demeure : selon l'œuvre de Douglas Adams, le nombre 42 serait la réponse à « la grande question sur la vie, l'univers et le reste ».
Pour n = 1, on retrouve le nombre d'or: 1,618 … Le fait que Pi soit proche de 2 Phi incite à chercher une relation plus approchée de ces valeurs.
Le nombre d'or est une proportion.
On l'appelle aussi section dorée, divine proportion, ratio d'or et Phi. Cette divine proportion nous vient d'Euclide, célèbre mathématicien du IIIe siècle avant J.C. L'une des peintures les plus célèbres avec le nombre d'or est l'Homme de Vitruve de Léonard de Vinci.
Il a été sans doute découvert par des mathématiciens grecs de la haute Antiquité. Euclide (vers 300 av. J. -C.)
En effet : 13/8 = 1.625 ; 21/13 = 1.61538... ; 34/21 = 1.61904... et ainsi de suite. Plus on avance dans la suite de Fibonacci et plus l'écart s'amenuise. Pour un mathématicien ou physicien, c'est un nombre remarquable en ce sens qu'on le voit surgir dans des domaines apparemment très éloignés de la suite de Fibonacci.
Le nombre d'or est une proportion sur laquelle s'appuient différents artistes pour la création de leurs œuvres que ce soit sous forme d'art, de peinture, de photographie, de musique et d'architecture, disciplines dans lesquelles on retrouve la botanique, l'arithmétique et la géométrie.
Ainsi, AB/AC = AE/AD, donc d'après le théorème de Thalès, (BE) et (CD) sont parallèles. En fait, si les points sont au milieu des segments, les fractions que l'on va calculer seront toujours égales à 1/2 (ou 2 si on prend la fraction inverse), et ce quelle que soit les longueurs de chaque côté.
Par principe, les mathématiques sont une science hypothético-déductive : tout (Le tout compris comme ensemble de ce qui existe est souvent interprété comme le monde ou...) ce qui est établi procède d'enchaînements déductifs ; un théorème (Un théorème est une proposition qui peut être mathématiquement démontrée, c'est-à ...
L'hypothèse de Riemann est une conjecture formulée par Riemann en 1859, dans l'unique travail qu'il a consacré à la théorie des nombres. Elle porte sur les points d'annulation de la fonction et a pour conséquence de pouvoir estimer avec un bon terme d'erreur le nombre de nombres premiers inférieurs à une valeur donnée.
Le chiffre 7 est parfois considéré comme un « chiffre magique » ou sacré.
Dans le livre de Douglas Adams Le Guide du voyageur galactique, il est écrit que le nombre 42 est la réponse à « la grande question sur la vie, l'univers et le reste« , calculé par un ordinateur pendant des millions d'années.
Ils sont jolis comme tout. Les nombres parfaits sont des entiers égaux à la somme de leurs diviseurs. Ainsi, 6 se divise par 2, 3 et 1. En additionnant 2, 3 et 1, on arrive à 6 !
Le nombre d'or, aussi appelé ratio d'or, est un concept mathématique qui donne le nombre irrationnel phi ou Φ, qui équivaut approximativement à 1,618. Il provient de la séquence de Fibonacci, qui est une série de nombres dans laquelle le nombre suivant est la somme des deux nombres précédents.
On le note φ (phi) en hommage au sculpteur grec Phidias (Ve siècle avant J.C.) qui participa à la décoration du Parthénon sur l'Acropole à Athènes.
Le nombre d'or est une proportion qui, appliquée à certaines formes, leur donne une esthétique appréciée. On trouve le nombre d'or dans les étoiles à cinq branches. Il est même à la base du format de papier A4.