L'augmentation de l'activité musculaire entraîne une augmentation de production de déchet et donc de gaz carbonique, l'hyperventilation permet une augmentation de l'épuration et donc le taux de gaz carbonique dans le sang reste constant et la pCO2 reste inférieure à 40.
Un taux élevé de CO2 total dans le sang peut être causé par des vomissements prolongés (alcalose métabolique), des maladies respiratoires comme la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) ou encore une hypersécrétion de cortisol (maladie de Cushing) ou d'aldostérone (syndrome de Conn) par les glandes surrénales.
Le sang le transporte vers les poumons où il est éliminé lors de l'expiration. Si le dioxyde de carbone s'accumule dans le sang, le pH sanguin diminue (l'acidité augmente). Le cerveau régule la quantité de dioxyde de carbone expirée en contrôlant la vitesse et l'amplitude de la respiration (ventilation).
Les signes suivants font évoquer la présence d'une hypercapnie : céphalées, astérixis ou flapping tremor, somnolence jusqu'au coma, désorientation, confusion, hypertension artérielle, vasodilatation cutanée, hypercrinie (sueurs, hypersialorrhée, encombrement).
Le traitement de ce symptôme respiratoire repose sur la ventilation non invasive, qui assiste le patient, durant la nuit pour l'aider à mieux respirer, en exerçant une pression au niveau de la bouche et du nez.
Préoccupations et dangers
À des concentrations élevées, le dioxyde de carbone peut déplacer l'oxygène de l'air, privant ainsi le corps d'oxygène, ce qui peut causer une perte de conscience. Le dioxyde de carbone agit également comme un puissant dépresseur du système nerveux central.
Le soupir permet une élimination plus importante du gaz carbonique permettant relaxation physique et psychologique. A quel moment pratiquer cette respiration ? Le moment de la journée où vous pratiquerez cet exercice respiratoire est en rapport avec le bénéfice que vous en attendez.
800 ppm : provoque des maux de tête, vertiges et nausées. Cette concentration en CO entraîne la perte de connaissance en 45 min, et la mort en 2 à 3 heures. 12 800 ppm : entraîne la perte de connaissance immédiate et la mort entre 1 et 3 minutes.
On parle d'hypercapnie quand le dosage montre une pression artérielle partielle en gaz carbonique supérieure à 5,6 kilopascals (42 millimètres de mercure) pour une pression atmosphérique normale.
On parle d'hypercapnie lorsque la pression artérielle partielle de dioxyde de carbone, appelée également PaCO2, est trop élevée (supérieure à 40 mm Hg). La capacité pulmonaire est alors réduite.
L'effet de serre est déséquilibré par les activités humaines, en particulier l'utilisation des énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon). Celles-ci provoquent artificiellement l'augmentation des concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère et, par conséquent, accentuent le réchauffement de notre planète.
L'énergie piégée par le CO2 et les autres gaz à effet de serre entraîne un réchauffement de la surface terrestre et, partant, une augmentation de la teneur de l'atmosphère en vapeur d'eau, laquelle engendre/piège à son tour encore plus de chaleur.
Le dioxyde de carbone est éliminé par les poumons mais les autres déchets dont l'urée sont éliminés par les reins dans l'urine.
La pO2 (pression partielle d'oxygéne) doit être supérieure à 75 mm Hg (millimètres de mercure) . La pCO2 (pression partielle de gaz carbonique) doit être inférieure à 40 mm Hg .
à partir d'une concentration de CO2 de 2 % dans l'air, l'amplitude respiratoire augmente et des maux de tête peuvent se faire sentir après quelques heures ; la valeur d'exposition à ne pas dépasser lorsque le taux de CO2 est de 3 % est de 15 minutes.
L'acidose respiratoire est un état dans lequel le pH du sang est < 7.35 et généralement dû à une défaillance de la ventilation alvéolaire suivie d'une accumulation plasmatique de dioxyde de carbone (CO2) à une pression partielle artérielle de > 45 mmHg.
tachypnée n.f. Accélération anormale de la fréquence respiratoire.
Les activités humaines, telles que la combustion de pétrole, de charbon et de gaz, ainsi que la déforestation, sont les causes principales de l'augmentation de la concentration de dioxyde de carbone dans l'atmosphère.
Lorsque le détecteur atteint le premier seuil (15 – 20 ppm), le débit de ventilation augmente à 4 changements d'air à l'heure ou plus. Au second seuil (100 ppm), le système peut ouvrir automatiquement les portes en plus de faire sonner l'alarme.
Le dioxyde de carbone (CO2 = déchets) fabriqué par les organes et muscles au cours de leur fonctionnement, est récupéré par le sang et rapporter aux poumons. Ces déchets sont expirés et le CO2 est rejeté hors du corps.
Le traitement du SDRA repose principalement sur la ventilation mécanique effractive associée à une stratégie de protection pulmonaire, mais d'autres traitements d'appoint ont fait l'objet d'essais, avec divers degrés d'efficacité.
Par ailleurs, pour la bonne santé des poumons, il est conseillé d'éviter la consommation de certains aliments qui peuvent entraîner des difficultés respiratoires comme les graines raffinées, la viande rouge, les desserts trop riches et les aliments gras.