2)Les limites de la comptabilité nationale. → La CN ne peut pas tout décrire ni tout mesurer ; La mesure de l'activité éco sera tjours imparfaite, car elle repose sur des conventions, qui sont des choix d'analyses théoriques (ici l'analyse keynesienne).
En fait, la comptabilité nationale est confrontée ici à un problème majeur : née dans les pays à économie de marché, sa prétention à l'universalité l'amène à devoir décrire des économies où le marché apparaît secondaire face au secteur public ou au secteur informel.
La comptabilité nationale permet de définir les différents agents économiques, leurs ressources et les emplois qu'ils en font, ainsi que les échanges qu'ils effectuent entre eux. L'ensemble de ces opérations révèle les interdépendances et les relations entre les unités économiques (ménages, entreprises, etc.)
D'une part, la comptabilité nationale est l'outil indispensable à la mise en oeuvre de la macroéconomie. En effet, par les mesures systématiques auxquelles elle procède, elle rend seule possible la traduction des variables macroéconomiques en grandeurs observées.
140-141, 1987), cette « comptabilité nationale est une technique de synthèse statistique dont l'objet est de fournir une représentation quantifiée de l'économie d'un pays. Description globale, elle vise à présenter l'ensemble des phénomènes économiques dans un cadre comptable cohérent ».
2)Les limites de la comptabilité nationale. → La CN ne peut pas tout décrire ni tout mesurer ; La mesure de l'activité éco sera tjours imparfaite, car elle repose sur des conventions, qui sont des choix d'analyses théoriques (ici l'analyse keynesienne).
Différences conceptuelles. La comptabilité nationale doit beaucoup à la comptabilité générale d'entreprises, ne serait-ce que l'utilisation de mesures exprimées en unités monétaires et la présentation des résultats en comptes, c'est-à-dire en tableaux à deux colonnes équilibrées par des soldes.
Ces tentatives, qui n'ont pas eu généralement de traduction au niveau des comptes nationaux, mettent en évidence des problèmes réels pour la comptabilité nationale : frontière entre dépenses finales, dépenses intermédiaires et investissement, traitement des services liés au travail ménager.
– Une comptabilité nationale. De par son caractère territorial, la comptabilité nationale rend mal compte des phénomènes économiques contemporains d'internationalisation et de transnationalisation, même si cela est compensé en partie par un grand effort d'harmonisation internationale.
La Comptabilité Nationale permet de quantifier le développement économique, de calculer le taux de croissance, de déterminer l'évolution de la consommation ainsi que celle de l'épargne, de définir l'état de l'investissement et d'informer sur le niveau de la dette et celui de la richesse.
Le PIB ne démontre pas la richesse d'un pays, mais bien, une quantité de la production des biens et services accomplis. Cet indicateur ne tient pas compte des industries plus lucratives que d'autres. Par exemple, le pétrole versus les autres domaines. Aussi, le PIB ne calcule pas la production sur le marché noir.
La comptabilité nationale est une représentation simplifiée de l'activité économique d'un pays sur une période donnée. Elle prend en compte de nombreux indicateurs dont le PIB, les importations et exportations, etc.
La comptabilité nationale est une représentation de la situation macroéconomique d'un pays, c'est-à-dire exposant ses grands flux de productions, d'échanges, d'investissements et de dettes. Elle donne une image schématique de son activité économique, par exemple sur un an, cinq ans ou dix ans.
les risques multiples et multiformes (juridique, financier, d'image) ; l'impossibilité de gérer tout seul (qu'il s'agisse du chef d'établissement ou du comptable) ; la nécessité de travailler en équipe, de savoir et pouvoir déléguer, de formaliser, tracer, outiller.
Elle vise notamment à identifier tous les déplacements d'argent et les flux financiers qui entrent et qui sortent de l'entreprise, comme les recettes et les dépenses, par exemple. Pour cela, toutes les transactions financières sont consignées dans un livre comptable, appelé grand livre.
Cela permet aux entreprises de se concentrer sur d'autres aspects de leur activité. La comptabilité manuelle peut être sujette à des erreurs, notamment lorsqu'il s'agit de saisir des données. Cela peut entraîner des erreurs de calcul et de reporting, ce qui peut avoir un impact sur la santé financière de l'entreprise.
Sujet 4 - Digitalisation et enseignement de la comptabilité
La digitalisation est définitivement amorcée et a un impact significatif sur tous les aspects du métier des chiffres. En effet, les professionnels du domaine seront déchargés d'une grande partie des tâches d'encodage et du traitement de l'information.
Les comptables distinguent trois types de comptabilité : la comptabilité générale, la comptabilité analytique et la comptabilité budgétaire.
Le terme de « comptabilité nationale » est d'origine récente. Cette partie de la science économique s'appelait autrefois « arithmétique politique ». Tous les auteurs 6 s'accordent pour considérer William Petty (1623-1687) comme le père de cette discipline.
Les secteurs institutionnels
Les sociétés financières ; Les administrations publiques ; Les ménages ; Les institutions sans but lucratif au service des ménages.
L'annualité, la spécialité, l'unité et l'universalité sont les quatre grands principes budgétaires classiques. Le budget de l'État obéit à des règles particulières qui sont organisées autour de ces principes. Ces principes sont fixés par la loi organique relative aux lois de finances.
La comptabilité générale, comme la théorie économique, prennent l'économie de marché pour champ d'application ou pour objet. Il importe donc, avant toute chose, de se donner une idée précise de ce qui est entendu par économie de marché et d'en discuter l'extension au capital et à l'entreprise.