Les troubles physiques, physiologiques et psychologiques observés dans la maladie d'Alzheimer, auxquels s'ajoutent une perte du lien social peuvent être à l'origine d'une diminution de la consommation alimentaire chez les patients atteints de la maladie d'Alzheimer.
Alzheimer provoque des troubles de la mémoire, de la pensée et du comportement. Au stade précoce de la maladie, les symptômes de démence peuvent être légers mais s'aggravent à mesure que le cerveau se détériore davantage.
Elle se manifeste par des symptômes dont les pertes de la mémoire, des difficultés à poursuivre ses activités quotidiennes et des altérations dans le jugement, le raisonnement, le comportement et les émotions. Ces symptômes sont irréversibles, c'est-à-dire que les capacités disparues ne reviendront plus jamais.
Le grand coupable est tout trouvé : le métabolisme. Autrement dit, la dépense énergétique globale du corps. "Quand on vieillit, celle-ci diminue et fait perdre de la "masse maigre", c'est-à-dire des muscles, à l'organisme. Or, ce sont eux qui nous font dépenser de l'énergie et des calories", explique Alexandra Rétion.
Le corps médical considère qu'un amaigrissement est pathologique quand on perd 5% de son poids en moins de 6 mois ou 10% de son poids en moins d'un an, soit 5,5 kilos pour une femme de 55 kilos par exemple.
Après analyse statistique, les résultats montrent que les grands consommateurs de flavonols (oignons, pommes), d'anthocyanines (myrtilles et baies rouges, et vin rouge) et de polymères de flavonols (thé) ont 2 à 4 fois moins de risque d'avoir une maladie d'Alzheimer que les personnes qui en consomment moins.
Une mutation de l'un de ces gènes suffit à provoquer l'apparition précoce d'une maladie d'Alzheimer. Cette anomalie génétique se transmet à la génération suivante. Si une femme ou un homme en est porteur, chacun de ses enfants a un risque sur deux d'en hériter.
Les troubles du sommeil sont, en effet, très fréquents chez les malades d'Alzheimer. Ces troubles affectent fortement la qualité de vie du patient et engendrent une fatigue physique et psychologique du proche aidant. Ne pas dormir la nuit est un problème courant.
Musique et vidéo. La musique peut être une source de réconfort et de joie pour les personnes atteintes d'une maladie cognitive et les personnes qui les entourent, et cela à tous les stades de la maladie.
Chez les personnes atteintes, on constate cependant l'accumulation de deux protéines : la Tau et la β amyloïde. Des chercheurs américains, de l'université Mayo, ont constaté qu'il existe un lien entre l'accumulation de cette dernière et un excès de sommeil dans la journée.
Le stade avancé de la maladie d'Alzheimer est également appelé le « stade grave ». À ce stade, la personne atteinte finit par être incapable de communiquer verbalement ou de prendre soin d'elle. La communication non verbale est de plus en plus importante.
La personne malade peut ainsi trouver des choses drôles qui ne le sont pas ou avoir tendance à rire de façon inappropriée. Tristesse, pessimisme, dévalorisation… Le patient se décourage, pleure, pense qu'elle n'a pas d'avenir, qu'elle est un fardeau pour ses proches et évoque même parfois le désir de mourir.
Une tentative de fuite face à une menace réelle ou ressentie. Les patients peuvent avoir peur d'une maison bruyante, d'un visiteur étrange ou encore de l'idée qu'une personne chargée de s'occuper d'eux essaie de lui faire du mal.
La démence est un terme général désignant un déclin des aptitudes mentales assez grave pour interférer avec la vie quotidienne. Les pertes de mémoire en sont un exemple. La maladie d'Alzheimer est la forme la plus commune de démence.
L'espérance de vie d'une personne malade d'Alzheimer varie de huit à douze ans à partir du moment où le diagnostic est établi. Mais il ne s'agit que d'une moyenne. Il est important de considérer l'âge de la personne au moment du diagnostic.
L'alzheimer peut être détecté précocement via scanner cérébral.
L'IRM permet de détecter une atrophie corticale et notamment une atrophie des hippocampes (structure cérébrale impliquée dans la mémoire, dont la taille est souvent diminuée dans la maladie d'Alzheimer).
Selon des chercheurs lillois, la caféine serait d'abord bonne pour la mémoire, car elle stimule l'hippocampe. Cette zone du cerveau essentielle favorise l'apprentissage et la mémorisation. En la faisant travailler, la caféine réduirait les risques de la maladie d'Alzheimer par exemple.
Une épice anti-Alzheimer que vous avez probablement dans vos placards. Il s'agit de la cannelle. Les personnes malades d'Alzheimer ont des amas caractéristiques de protéines Tau dans le cerveau. Or, la cannelle contient de l'aldéhyde cinnamique (de cinnamon, qui veut dire cannelle en anglais et en latin).
C'est le cas notamment du cancer, de l'hyperthyroïdie et de certaines infections. Une perte de poids peut aussi s'expliquer par une malabsorption des nutriments qu'engendrent notamment la colite ulcéreuse, la maladie de Crohn et la maladie coeliaque. Qu'est-ce que c'est ?
Le stress peut également avoir une influence sur le métabolisme : il l'accélère. Ainsi, les individus stressés peuvent brûler davantage de calories, plus vite, et perdent du poids.
Pour arrêter de perdre du poids, augmentez l'apport calorique, modifiez vos séances d'entrainement, faites le choix d'une alimentation saine et contactez un médecin si vous pensez que la perte de poids est due à une maladie sous-jacente.