Certains affirment que cela encourage les enfants à se dépasser dans le monde très compétitif d'aujourd'hui où il faut lutter pour obtenir ce que l'on veut, qu'il s'agisse d'un emploi, d'une famille ou d'une maison. D'autres disent que cela peut détruire l'estime de soi et pousser au ressentiment.
Avoir l'esprit de compétition est une bonne chose: il nous motive à nous surpasser et à repousser nos limites perpétuellement. Mais, chez certaines personnes, cet esprit est trop développé au point d'avoir des conséquences négatives sur leur couple ou au travail.
La compétition favorise le développement de nouvelles habiletés personnelles et interpersonnelles (ex. : habiletés de résolution de problèmes, de gestion du stress, du travail d'équipe); Elle permet l'apprentissage d'une saine attitude face à la victoire et la défaite; La compétition favorise la confiance en soi.
1. Action de chercher à obtenir en même temps que d'autres le même titre, la même charge ou dignité, la même fonction, etc. : La compétition électorale.
Faire du sport permet de réduire les risques de maladies cardio-vasculaires ou encore d'hypertension artérielle. Pratiquer une activité physique vous permettra aussi d'améliorer votre endurance et d'augmenter votre masse musculaire, votre résistance et votre souplesse.
Risques physiques directement liés à la pratique d'une activité physique régulière: chutes, coups, blessures, fractures, troubles musculosquelettiques et neurologiques, traumatismes, commotions cérébrales, accidents cardio-vasculaires, maladie chronique articulaire (arthrose), troubles gynécologiques…
Le sport prévient les maladies et les problèmes de santé. Il stimule les lipoprotéines de haute densité (HDL) et diminue le taux de triglycéride, constituant principal des graisses. L'activité physique améliore également la circulation sanguine, réduisant ainsi le risque de maladies cardiaques.
La compétition apprend le sens critique, la prise de décision et la résolution de problème. Sans ces compétences, les pays ne peuvent pas réussir à l'échelle mondiale.
L'esprit de compétition, cette pulsion qui pousse certain·es à tout donner pour gagner, est-il inné ou peut-il être acquis ? L'esprit de compétition, la "gagne" : ces termes évoquent un désir ardent de surpasser autrui, d'atteindre la victoire à tout prix.
Il y a plusieurs raisons pour lesquelles les humains aiment la compétition. L'une des principales raisons est liée à notre besoin inné de compétition pour survivre et prospérer. Dans la nature, les organismes compétitifs ont une meilleure chance de survivre et de se reproduire que ceux qui ne le sont pas.
Synonymes de compétiteur, compétitrice nom.
Rencontre officielle où des sportifs entrent en concurrence au cours d'une ou de plusieurs épreuves afin d'accomplir les meilleures performances conformément aux règles explicites des différents sports, et dont l'objectif est de reconnaître les gagnants tout en homologuant leurs résultats et les records éventuels.
adj. Susceptible de supporter la concurrence.
L'esprit de compétition ne doit pas empiéter sur le plaisir. La clef pour préserver le plaisir, c'est de prendre du recul en prenant cette compétition comme un jeu. On se fixe des objectifs et on se met au défi de les réaliser, certes, mais on se promet que si on échoue, on ne se laissera pas dévorer.
La compétition sociale est elle aussi une stratégie groupale. Cependant, contrairement à la créativité sociale, elle implique un changement dans le système de relations effectif des groupes.
L'exercice physique régularise l'humeur
Plusieurs études démontrent que l'activité physique occasionne l'augmentation de neurotransmetteurs, dont la sérotonine ayant des propriétés antidépresseurs et l'endorphine responsable de la sensation de bien-être. D'autant plus si elle est jumelée à une pratique en plein air.
Lorsqu'on pratique une activité sportive, le corps sécrète des hormones telles que l'endorphine, la dopamine ou l'adrénaline qui permettent de réduire le stress, améliorer la qualité du sommeil, diminuer les douleurs et agir comme un antidépresseur, c'est donc avant tout une source de plaisir.
Les bienfaits de l'activité physique sont aujourd'hui avérés : réduction du risque de maladies cardiovasculaires, des cancers du sein et du côlon, du diabète et des maladies métaboliques; meilleur contrôle du poids; amélioration de la santé mentale et de l'estime de soi ; renforcement des capacités d'apprentissage.
"Irritabilité, problèmes de sommeil ou de comportement" sont autant de conséquences d'un déséquilibre entre activité et récupération. "Certains sportifs de haut niveau en arrivent ainsi à se blesser ou à voir leurs performances diminuer", confie Roland Krzentowski.
On constate effectivement le football, comme les sports de glisse sont à l'origine de nombreux traumatismes du genou et la cheville. Un footballeur amateur joue en moyenne une centaine d'heures par an, contre cinq cents pour un professionnel. Autant dire que cela joue sur la fréquence des blessures.
Le surentraînement correspond à une accumulation de fatigue physique et psychologique qui entraîne une baisse, voire une chute des performances chez le sportif. Cet état peut s'accompagner de modifications du comportement (anxiété, stress, insomnie, etc.)