Depuis la fin 2021 déjà, les coûts de production de la bière augmentent, du fait de la hausse des coûts des matières premières et du contexte inflationniste, conséquences de la guerre en Ukraine.
C'est l'économie qui le veut. Une partie des acteurs, certes minoritaire, en profite. Mais la majorité des hausses sont justifiées avec l'augmentation des matières premières, de l'énergie et du transport.
Les raisons de la hausse des prix de la bière
CQFD. Le point névralgique de l'affaire, c'est le malt : de mauvaises récoltes en 2021 ont entraîné une augmentation des prix de vente, et donc des coûts de fabrication de la bière.
En moyenne, pour acquérir une bière pression en France le prix est de 6 €. Ce montant peut diminuer jusqu'à 4 € et croître jusqu'à 8 € selon les moments de l'année. Ce coût pour un verre de bière locale est inférieur au prix constaté en moyenne en France de 0%.
La bière est bonne pour le cœur
La bière diminuerait le mauvais cholestérol et favoriserait le bon. Ce double effet plutôt bénéfique pour le cœur, peut contribuer à faire chuter le risque d'accident cardiovasculaire de 30 à 60 %. La bière modifie aussi la fibrinogène, une protéine responsable de la coagulation du sang.
Avec sa réputation d'alcool léger, la bière, même lorsqu'elle contient une quantité élevée d'alcool pur, peut passer pour une boisson alcoolisée sans risque.
Le vin s'est avéré moins délétère pour le foie que la bière et les alcools forts. Ainsi, chez les hommes qui buvaient principalement du vin, le risque de cirrhose était 1,2 fois supérieur pour une consommation de 14 à 28 boissons par semaine par rapport à une consommation de moins de 14 boissons par semaine.
C'est en Europe de l'Est que la pinte est la moins chère. La République Tchèque, la Pologne ou l'Allemagne sont des destinations idéales. Reine dans cette région, la bière est très bon marché. Au contraire, les prix grimpent au Nord du continent : une mousse peut s'élever à 8 € dans un bar de quartier à Reykjavik.
La Chouffe (BE) arrive en tête avec un prix moyen de 5,91 € la pinte (7,52 € hors Happy hour), suivie de la Guinness (IR) à 5,43 € (vs 6,87 €) et de la Kronenbourg à 4,29 € (vs 5,53 €).
Ricard (3 cl) : 2.80 euros.
« Sur l'année 2022, on peut parler d'une hausse d'environ 5 % pour les blondes et encore plus pour les bières spéciales », estime le dirigeant d'une entreprise qui en produit près d'un million d'hectolitres par an. Soit un petit vingtième de la production nationale.
En France, les consommateurs trouvent qu'un demi de bière industrielle devrait coûter 2,69€ tandis qu'un demi de bière artisanale devrait coûter 3,79€.
Selon les calculs de l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), notre pouvoir d'achat va reculer de 0,8%. C'est la première fois qu'une telle baisse est observée depuis 10 ans. Bruno Le Maire entrevoit une sortie du pic d'inflation vers 2023.
- L'inflation profite à ceux qui peuvent emprunter à des taux de faveur et, si possible, inférieurs au taux d'inflation : - La capacité d'emprunter est cumulative, et dépend déjà de la capacité antérieure d'emprunter. Ce qui confirme précisément le proverbe populaire bien connu : « On ne prête qu'aux riches ».
Suite à de nombreux commentaires, il apparaîtrait que la Perlembourg Premium Pils serait également brassée en Allemagne.
La 33 Export a été lancée en Indochine par la Brasserie Cho Lon. Destinée à l'exportation, son nom lui vient de son conditionnement, à l'origine une bouteille de 33cl.
L'Azerbaïdjan est ainsi le pays où l'alcool coûte le moins cher (-58% par rapport à la moyenne mondiale) derrière le Kirghizstan (-57%), l'Ukraine (-54%), le Kazakhstan (-54%) et le Bélarus (-50%).
Le saviez-vous ? : le champagne rendrait ivre plus vite que d'autres alcools. C'est la science qui le dit. C'est scientifiquement prouvé : boire des boissons alcoolisées à bulles procurerait une ivresse plus rapide qu'après la consommation de boissons « plates » avec le même volume d'alcool.
L'alcool détruit les nerfs, d'où l'état de fatigue
Mais la fatigue chronique apparaît surtout chez les buveurs invétérés, autrement dit les alcooliques. En effet, l'alcool attaque à la fois les neurones et les cellules du foie. Or ce sont les neurones qui stimulent le fonctionnement des muscles.
En effet, la levure qui entre dans la composition de cette boisson (alcoolisée ou non) assure une teneur en gaz carbonique. D'où la présence des petites bulles dans un verre ou une bouteille de bière. Le gaz carbonique dans l'organisme a pour effet de faire gonfler le ventre s'il est absorbé en excès.
La bière est bonne pour les reins et le cœur.
Une étude finlandaise a démontré que la bière élimine les dépôts de calcium au niveau des reins et donc diminue le risque de calculs rénaux. En facilitant le transit elle permet aussi une élimination plus rapide des calculs.
Une consommation régulière de bière est associée au risque de cancer de la prostate. Boire de la bière à tous les jours, sur une longue période, est associé à un risque d'être atteint d'un cancer de la prostate agressif, selon une étude menée auprès de 3927 hommes du grand Montréal.