Le fait de manger froid veut également dire que l'on va pouvoir manger tout de suite et donc combler ce besoin plus rapidement. Le besoin physiologique n'empêche pas d'être influencé par des envies inconscientes aussi mais ce n'est pas négatif.
Il n'est pas question de manger « tout cru », mais privilégier le froid et donc le cru permet de préserver un maximum de vitamines, en particulier celles qui sont les plus sensibles et les enzymes (Les enzymes qui permettent la digestion des nutriments disparaissent au dessus de 42°C).
Une étude publiée récemment par les chercheurs de l'école de management de Grenoble a mis en évidence une idée erronée partagée par une grande partie de la population : manger froid ferait maigrir.
Durant la période froide, le corps consomme plus d'énergie, autrement dit brûle plus de calories, pour réguler sa température face au froid, c'est ce que l'on appelle la thermogénèse. Voilà d'ailleurs pourquoi certains ont l'impression d'avoir davantage faim qu'au printemps ou en été.
Ils recommandent aussi de prendre son repas ou de le terminer avec un café ou un thé chaud, plutôt qu'une boisson froide, car cela permet de mieux « caler » l'estomac. Enfin, on peut penser qu'un bol de soupe, par exemple, avant un sandwich est préférable à un dessert calorique.
Consommer très chaud augmente le risque de cancer
En consommant des repas très chauds, vous augmentez ainsi le risque de cancer de l'œsophage et de l'estomac. Surtout lorsque vous avez l'habitude de prendre du café très chaud, vous préparez le tapis au cancer de l'œsophage.
Augmentation des dépenses énergétiques
Il nous faut plus de carburant pour nos activités habituelles. Cela va donc nous demander de manger plus qu'à notre habitude pour compenser les pertes en énergie et pour maintenir la température de notre corps. Il est donc tout à fait naturel que notre appétit augmente en hiver.
Le froid et l'altitude peuvent masquer ou diminuer la sensation de soif, mais les besoins hydriques sont, eux, très importants. En montagne, on se déshydrate vite, ne serait-ce que par la respiration qui crée une déperdition importante de liquide.
Les scientifiques ont étudié les effets du froid sur le métabolisme en demandant à des volontaires de passer 6 heures par jour dans le froid, pendant 10 jours. Résultats : leurs corps brûlaient plus de calories et se mettaient à grelotter un peu.
Le froid fait dépenser plus de calories à notre organisme? C'est vrai. Pour maintenir une température corporelle constante, le corps dépense de l'énergie. En deçà d'une température dite de confort, c'est-à-dire sous les 17°Celsius, l'organisme va brûler des calories pour conserver sa chaleur interne, autour des 37°.
Dormir dans la fraîcheur pendant un mois suffit à faire augmenter de 30 % à 40 % la quantité de graisse brune produite par le corps, alors qu'un environnement surchauffé à plus de 22 °C la réduit. Étonnamment, cela pourrait vous aider à garder la ligne ! La graisse brune, c'est celle qu'on ne veut pas perdre.
La vitamine C
Pour combattre le froid et booster son organisme pour l'hiver, il est essentiel de faire une cure de vitamine C. Cette dernière participe en effet de manière active au bon fonctionnement de vos défenses immunitaires.
Dans le cas des aliments chauds, la température relativement élevée (pas trop tout de même, pour ne pas se brûler!) permet aux molécules volatiles de … se volatiliser et donc d'être directement accessibles aux récepteurs du goût présents sur les papilles gustatives de notre langue.
Malgré son apparence parfaitement propre, la neige blanche peut être contaminée de particules de pollution et de substances dangereuses pour la santé. De plus, la concentration de particules nocives s'intensifie, et ce, dès que la neige touche le sol.
Par temps froid, la réponse à la soif du corps est diminuée (jusqu'à 40 % même en cas de déshydratation). Cela se produit parce que nos vaisseaux sanguins se contractent lorsque nous avons froid pour empêcher le sang de circuler librement vers les extrémités.
1- NE PAS manger de neige et de glace pour s'hydrater
Outre le danger de contamination, cela peut en fait entraîner une déshydratation et une hypothermie, car votre corps a besoin de trop d'énergie pour chauffer et faire fondre la neige une fois que vous l'avez mangée.
En été, lorsque les températures extérieures sont proches de la chaleur corporelle souhaitée, notre organisme a logiquement moins de travail. Nous ne dépensons plus autant d'énergie et, par conséquent, nous n'avons plus vraiment envie de manger comme auparavant.
Cependant, il est recommandé de faire attention à la température de cette substance liquide car une eau trop chaude peut conduire l'organisme à fournir de l'énergie pour rafraîchir le corps. En outre, boire de l'eau trop chaude peut endommager les tissus de l'œsophage et brûler la langue.
Finalement, on mange chaud principalement des aliments qui ont été cuits. Pour les légumes, il s'agit surtout d'en faciliter la digestion et, pour les viandes, de prévenir la transmission de certaines maladies ou parasites.
D'une manière générale, boire trop chaud ou manger trop chaud n'est pas bon pour la santé du système digestif. Pour préserver son estomac et sa gorge, une boisson ne devrait pas être ingérée lorsque sa température dépasse 60°C.
La métaphore culinaire souligne à la fois le temps que prend une vengeance (le plat devient froid), et l'état d'esprit nécessaire pour l'assouvir (l'absence de passions). Ainsi, une vengeance ne peut s'exercer qu'avec patience, raison, froideur.