Pleurer plus souvent ou sans savoir pourquoi peut évoquer une affection mentale telle qu'une dépression, de l'anxiété, une dépression post-partum ou un trouble bipolaire. Si vous pensez que vos pleurs sont liés à un problème de santé mentale, il est nécessaire de consulter votre médecin généraliste.
L'anxiété peut être l'une des causes des pleurs sans raison. L'anxiété crée un fort stress émotionnel et physique que nous sommes très souvent incapables de gérer et qui peut conduire à diverses expressions telles que des crises d'angoisse ou des sentiments de profonde tristesse que nous exprimons à travers les larmes.
Les pleurs fréquents sont souvent un signe de manque de confiance. Quand tu sens que la frustration te gagne, repense à tous les succès que tu as obtenus avant, ça t'aidera à accepter un échec de temps en temps. On se rappelle plus facilement du négatif, alors qu'il faut se forcer à penser positif !
Lorsque pleurer devient fréquent, engendre une souffrance morale, ou des difficultés relationnelles, il est essentiel de consulter un professionnel afin de rechercher une maladie mentale. Les pleurs peuvent montrer la souffrance émotionnelle, et alerter sur un mal-être plus profond.
On l'appelle burn out, ou syndrome d'épuisement professionnel. Peut-être parce que cette pathologie est multiforme. Grosse fatigue physique, émotionnelle, voire intellectuelle, elle peut cumuler les trois maux et avoir des conséquences parfois graves.
La détresse psychologique résulte d'un ensemble d'émotions négatives qui, lorsqu'elles sont vécues avec persistance chez un individu, peuvent entraîner des conséquences de santé importantes telles que la dépression et l'anxiété1.
Par ailleurs, pleurer permet de brûler des calories. Les scientifiques pensent que l'on élimine une quantité similaire à celle que l'on dépense lorsque l'on rit, à savoir 1,3 calorie par minute. Ainsi, en pleurant une trentaine de minutes, ce sont environ 30 calories qui sont éliminées.
Elle s'imprimerait jusqu'aux cellules et accélérerait leur vieillissement, selon une nouvelle étude. La dépression donne un sérieux coup de vieux. Et ce n'est pas que dans la tête que ça se passe. Cette maladie affaiblirait l'organisme jusqu'aux cellules, qu'elle fait vieillir plus vite.
La personne ressent une peur intense avec perte de contrôle (peur de s'évanouir, de mourir, de devenir fou, de faire un malaise cardiaque…), une sensation de danger immédiat et des sensations physiques très désagréables et très variables (palpitations, sueurs, frissons, bouffées de chaleur, tremblements, douleurs ...
Pleurer, ce n'est pas être faible
Elles représentent un mécanisme d'évasion et d'apaisement et peuvent nous permettre d'équilibrer nos émotions, et de réorganiser nos sentiments. Les pleurs remplissent une fonction vitale dans le développement humain, c'est pourquoi rien ne sert de s'obstiner à essayer de les retenir.
Ce sont donc les larmes d'émotions, qui provoquent le gonflement des paupières. Leur plus grande concentration en protéines et en hormones provoquerait donc ce gonflement celons les scientifiques. Mais c'est surtout leur haute teneur en sodium qui est à l'origine de ce phénomène.
La production de ces hormones par les glandes surrénales induit une demande accrue d'adénosine triphosphate (ATP), la molécule énergétique utilisée par les organes. Les réserves d'ATP diminuent donc comme après un effort physique. Le taux de cortisol baissant aussi, l'organisme ressent une faiblesse.
La tristesse peut créer une fatigue intense, l'impression d'être en décalage, comme si le monde allait à un autre rythme. Dans le mal être, la perte d'énergie et la sensation d'épuisement sont importants et s'accompagnent d'un manque de concentration et de difficultés de mémorisation.
ADAPTATION / VALIDATION. Des changements d'émotions (pleurs, rires, humeur, moral) sont souvent tout à fait normaux, selon les périodes de vie traversées. Cependant, ils peuvent devenir graves lorsqu'ils empêchent certaines activités quotidiennes ou amènent des idées noires, voire des idées de mort ou de suicide.
Le cuir chevelu ! En effet, selon une étude menée par L'Oréal Professionnel Academy, dont les données sont rapportées par Harper's Bazaar, « le cuir chevelu vieillit six fois plus vite que la peau du visage ».
Les larmes, qui ont emmené avec elles les poussières de l'œil, peuvent alors être évacuées par la gorge, mais surtout par le nez où elles sont mélangées au mucus nasal, et finissent par s'écouler par les narines. Les mouchoirs sont donc indispensables !
Pleurer n'est en rien une honte. C'est un peu « le pansement de l'âme ». En pleurant, votre corps libère des substances qui jouent le rôle de calmants naturels. Ainsi, votre douleur s'apaise petit à petit.
Lorsque cette source de stress et de pleurs s'amenuise, l'adrénaline et le cortisol diminuent de manière rapide puisque les larmes permettent aussi leur évacuation. Les stocks énergétiques s'en trouvent par la suite assez faibles, ce qui explique en partie cette sensation de grande fatigue qui suit les larmes.
Les pleurs font-ils pousser les cils ? Bien qu'il soit communément admis que pleurer des larmes émotionnelles peut allonger vos cils, il n'existe aucune preuve scientifique à l'appui. Cependant, les larmes peuvent déposer une petite quantité d'humidité sur vos cils, les rendant plus brillants et éclatants.
Changement d'humeur, perte de plaisir, découragement, agressivité Difficulté à assumer ses responsabilités, à prendre des décisions. Sentiment de débordement. Isolement ou baisse de participation aux activités.
Surmonter un blocage affectif : ne pas refouler ces émotions
Vous devez donc éviter de contenir vos ressentis. Si vous avez envie de pleurer, ne vous retenez pas, lâchez-vous. Le plus important est de savoir le faire au bon moment et au bon endroit. N'ayez pas peur de dire ce que vous ressentez ou penser.
✓ Angoisse, réaction de sursaut exagéré (impression que la personne est sur le qui-vive) ✓ Etat anxieux (agitation ou inhibition…) ✓ Fatigue ✓ Troubles du sommeil (cauchemar, trouble de l'endormissement, réveil intempestif…) ✓ Troubles de l'appétit (de la perte d'appétit vers une suralimentation anarchique…)