L'utilisation d'un contraceptif – voire d'une contraception d'urgence en cas d'échec – est l'unique solution pour empêcher une grossesse non désirée. Les préservatifs sont, quant à eux, indispensables pour prévenir la transmission d'IST.
D'autres préfèrent y penser le moins possible, de peur de trouver le temps long ou de faire naître doutes et anxiété. Et si certaines s'épanouissent comme jamais durant ces neuf mois, d'autres subissent en silence la frustration de ne pas aimer cet état, voire de le détester et de s'y sentir oppressée.
Selon une étude de l'Ined, 5% des femmes et des hommes en France ne veulent pas d'enfant. Leurs raisons sont multiples : indépendance, éthique, ambition, absence de désir de maternité… Certains couples font aussi le choix de ne pas avoir d'enfant. Cette décision est souvent mal perçue par leur entourage.
La tocophobie (du grec tokos « accouchement », et phobos, « peur ») est une phobie spécifique qui désigne la peur pathologique de la grossesse et de l'accouchement.
Quand l'enfant se fait trop attendre, les femmes se sentent coupables, invalides. L'obsession devient une spirale infernale : plus elles ont envie d'un bébé qui ne vient pas, plus elles se sentent mal. Elles ont un besoin urgent de se prouver qu'elles peuvent être enceintes.
Quand commencer ? Les données scientifiques sont claires. Si l'on tient compte de l'horloge biologique, le « bon » âge pour avoir un enfant est avant 35 ans pour les femmes et avant 40 ans pour les hommes. Plus de 75 % des jeunes sous-estiment l'impact de l'âge sur la fertilité masculine et féminine.
La grossesse n'est pas nécessairement une période joyeuse et facile en tout temps et pour toutes les femmes. Le corps subit des transformations importantes et beaucoup de changements toucheront la vie de la future mère. Il est donc normal de vivre une certaine anxiété pendant la grossesse.
D'autres femmes ont peur de la grossesse, de prendre du poids, de voir leur silhouette changer, d'accoucher, de souffrir. Pour d'autres enfin, la peur de la grossesse renvoie à leur enfance, à de possibles traumas : elles n'ont pas été désirées, pas aimées, voire maltraitées et ont peur de reproduire ce schéma.
ANDROPHOBIE : Définition de ANDROPHOBIE.
"Le non désir d'enfant prend ses racines au fin fond de l'inconscient et ne peut faire l'objet de généralités", répond la psychanalyste Catherine Vanier. "Il peut trouver sa source dans la façon dont les relations avec le père ou la mère ont été vécues, dans une histoire familiale.
Résumé : Je ne veux pas être maman est un récit autobiographique qui traite du choix de la non-maternité, et des situations et conflits que génère la prise d'une telle décision, encore taboue dans notre société.
Les changements physiologiques peuvent également faire naître chez la femme enceinte un sentiment de mal-être. Sur la première marche du podium des accusés : les nausées et vomissements. Elles surviennent généralement autour de la 6ème semaine et cessent vers la 12ème semaine.
Voici quelques idées : prendre une marche, un bain, se crémer, se coiffer, se faire masser, porter des vêtements confortables, faire une sieste, danser, etc. En terminant, soyez fière de vous et de ce que votre corps est en train d'accomplir.
Autre conseil primordial pour vivre votre grossesse sereinement : faites-vous confiance et écoutez-vous. Sommeil, alimentation, activité physique, méthode d'accouchement, d'éducation : dans votre entourage, tout le monde a un avis sur les choses à faire et à éviter, mais personne n'est d'accord.
La seule méthode pour guérir d'une grossesse nerveuse est la prise en charge, l'accompagnement et le suivi de la femme par un psychologue, un psychothérapeute ou un psychiatre.
1er mois de grossesse
Lors des 1ères semaines de grossesse, les changements sont surtout physiques, la femme ressent principalement une grande fatigue associée à une envie irrépressible de dormir. A la fin de ce 1er mois de grossesse, les symptômes ressentis sont assez évidents : seins gonflés, parfois douloureux.
Comment mettre fin à une grossesse nerveuse ? La prise en charge d'une grossesse nerveuse fait principalement appel à un traitement par psychothérapie. L'objectif du psychologue ou du psychiatre va être de convaincre sa patiente qu'elle n'est pas enceinte.
Pour concevoir de faux jumeaux, deux ovules doivent se développer pendant un même cycle menstruel. En temps normal, un ovule voit le jour grâce à la maturation d'un follicule à la surface de l'ovaire. C'est une hormone appelée FSH, sécrétée au début du cycle menstruel, qui en déclenche le développement.
Lina Medina reste à ce jour la plus jeune mère de l'humanité. Jamais elle ne dénoncera celui qui a abusé d'elle. À cinq ans, sept mois et vingt jours, Lina Medina est dans son neuvième mois de grossesse.
Le désir d'enfant est un sentiment ambivalent lié à l'histoire de chacun, au passé familial, à l'enfant qu'on a été, au lien à la mère, au contexte professionnel. On peut avoir l'impression de désirer un enfant, mais on ne le fait pas car un autre sentiment prend le pas : « Je veux et je ne veux pas à la fois ».
Encore tabou et peu étudiée, la tocophobie, ou phobie de la grossesse, touche pourtant une à deux femmes sur dix. Les scientifiques commencent peu à peu à s'intéresser à ce phénomène pouvant entraver un désir d'enfant. «La tocophobie recouvre en fait plusieurs craintes intenses, qui peuvent se superposer (...)
Se faire plaisir. Le stress peut occuper tellement l'esprit lorsqu'on essaye de tomber enceinte que nous oublions nos plaisirs habituels. Prenez du papier et un stylo, et notez une cinquantaine d'activités que vous aimez. Il peut s'agir d'un simple bain moussant, ou de danser comme une folle dans votre salon.
Prendre son temps et se faire aider pour y voir clair
Important aussi de ne pas rester seule et de pouvoir se confier et être écoutée. Ce que vivent les femmes confrontées à une grossesse imprévue peut être très violent. Le soutien et le réconfort de l'écoute est alors précieux. N'hésitez pas !