Le sommeil léger est l'une des phases naturelles du cycle du sommeil. Il intervient après l'endormissement, et avant le sommeil profond. Durant cette phase, les sens sont encore en éveil. Si bien qu'un léger contact, un petit bruit ou même une odeur peuvent nous sortir de notre sommeil.
Pendant le sommeil léger : le moindre bruit peut occasionner soit un micro-éveil, soit un réveil franc. Avec le risque, si ça se passe au petit matin, de ne pas arriver à se rendormir. Au stade du sommeil profond (qui correspond à la première partie de la nuit), il faut un bruit important pour nous réveiller.
L'activité cérébrale ralentit et les sensations diminuent. Un bruit léger peut provoquer l'éveil. C'est la période d'installation du sommeil profond. Le sommeil lent et profond – Phase 3 est la période la plus difficile pour se réveiller, on se retrouve coupé du monde extérieur.
Le bourdonnement régulier peut aider à masquer d'autres bruits afin que vous puissiez vous endormir plus rapidement12. Cela vous rend également moins susceptible de vous réveiller pendant la nuit. Si la lumière vous réveille, faites ce que vous pouvez pour garder votre chambre sombre.
L'immobilité corporelle est une des caractéristiques comportementales du sommeil. On regroupe sous le nom de parasomnies un groupe d'affections qui se caractérisent par des comportements anormaux et des expériences indésirables se produisant à l'endormissement ou pendant le sommeil.
La cataplexie est la perte soudaine du tonus musculaire sans que la personne perde connaissance. Les personnes narcoleptiques ressentent également parfois des hallucinations ou des paralysies du sommeil de quelques secondes, au réveil ou en s'endormant.
Les causes et conséquences des terreurs nocturnes
Elles sont toutefois facilitées par différents facteurs : une prédisposition génétique, une privation de sommeil, une activité physique intense, des éléments psychologiques comme les facteurs de stress, de la fièvre, la consommation d'excitants avant le sommeil.
C'est bien connu, certaines personnes ne supportent pas des sons au point d'éprouver un profond énervement et l'envie de fuir. Une réaction disproportionnée dont le nom est "misophonie", un trouble qui trouverait son origine dans une suractivité anormale dans une zone précise du cerveau.
Sommaire : La misophonie est un état dans lequel les gens sont particulièrement sensibles à certains sons, réagissant avec une détresse extrême, de la colère et même de la rage. Elle peut provoquer un stress extrême dans les relations avec les autres.
A partir de 80 décibels
« Tous les bruits à partir de 80 dB peuvent endommager les cellules ciliées et provoquer une fatigue auditive, et ce d'autant plus rapidement que le son est fort », explique le Dr Jean-Michel Klein, ORL.
Divers facteurs peuvent être responsables de ce bruit intérieur, notamment les bruits très forts, le vieillissement, le diabète, les infections auriculaires, les traumatismes de l'audition.
Qu'est-ce que l'hyperacousie ? L'hyperacousie résulterait d'un dérèglement du schéma auditif neuronal suite à une lésion de l'oreille interne. Elle apparaît parfois après une exposition à un niveau sonore élevé. Cette pathologie se caractérise par un seuil de tolérance au bruit anormalement bas.
Pendant le sommeil, les neurones sont, comme on l'a vu , encore actifs mais les échanges entre les différents réseaux de ton cerveau diminuent, la communication est moins intense que pendant l'éveil et l'information ne transite pas à travers toutes ses parties.
Et les causes principales de ces réveils intempestifs, ce sont ces trois mousquetaires : les odeurs, le bruit et la lumière. Puisque durant le sommeil léger, tous vos sens sont encore en éveil, ce sont bien ces trois ennemis qu'il faut tenir éloignés à tout prix !
Vous pouvez aussi installer des tapis, qui participent à atténuer le bruit. Évitez de mettre le volume de votre télévision et de votre musique trop fort et fermez vos fenêtres. Pensez également à fixer des patins sous les chaises pour ne pas déranger lorsque vous les déplacez, cela protègera également vos sols.
Une peur des bruits du quotidien
Caractérisée comme une intolérance à certains sons et bruits, la phonophobie est d'origine psychologique, et résulte souvent d'un traumatisme sonore.
Les symptômes, causes et conséquences de l'hyperacousie
Différents symptômes semblent indiquer une hyperacousie tels que la fatigue, le mal de tête, la sensation d'oreille bouchée. De plus, elle s'accompagne souvent d'acouphènes et peut augmenter l'intensité de ces derniers.
La prise en charge de la misophonie est psychothérapeutique. Comme pour les phobies, les thérapies cognitivo-comportementales sont recommandées. Une thérapie d'habituation des acouphènes peut également être mise en place. Les médicaments de type antidépresseurs et anxiolytiques ne semblent pas donner de résultats.
Ce symptôme se manifeste par la difficulté à accepter des bruits trop forts. Contrairement à la perte auditive, l'hyperacousie est une hypersensibilité auditive : cette pathologie ne correspond donc pas à une perte auditive, mais à une baisse du seuil de tolérance auditive.
Les terreurs nocturnes se caractérisent par des symptômes physiques observables à peu près identiques à ceux de la peur, tels que l'accélération du rythme cardiaque et la transpiration. De ce point de vue, elles ressemblent plus à des crises de panique qu'à des cauchemars, cela est à ne pas confondre.
Définition des terreurs nocturnes
Il s'agit d'une parasomnie ( para : à côté, et somnie : sommeil), comportement moteur ou psychomoteur survenant pendant le sommeil, l'endormissement ou le réveil, Et où la personne n'est pas consciente ou pas entièrement consciente de ce qu'elle fait.