Dans la vie amoureuse, familiale, amicale, comme dans la vie professionnelle, l'empathie est une qualité essentielle. Elle permet de nous sentir mieux avec les autres, obtenir plus de cohésion, et trouver plus facilement des solutions aux problèmes qu'une personne ou une autre est amenée à rencontrer.
Il s'agit finalement d'une posture de victimisation, en effet, se faire passer pour la victime de l'histoire est une sorte de mécanisme de défense. Quand certains boudent ou crient, d'autres se victimisent pour faire face.
L'empathie se définit comme "la faculté intuitive de se mettre à la place d'autrui, de percevoir ce qu'il ressent", d'après le dictionnaire Larousse.
L'injonction de se mettre à la place de l'autre trouve une nouvelle jeunesse avec la valorisation actuelle des émotions quand il s'agit d'être en empathie ou en sympathie avec l'autre, c'est-à-dire pour le premier de se situer sur le registre émotionnel dans la relation à l'autre ou, pour le deuxième terme de ressentir ...
« Se sentir à sa place » sous-entend le bien-être, la satisfaction, l'équilibre, l'appropriation, de merveilleuses dispositions qui permettent d'approfondir ses compétences et sa confiance en soi. Attention toutefois à ne pas s'enfoncer dans le statu quo et « faire du surplace »!
Chez les personnes avec un Haut Potentiel Emotionnel, le vécu de décalage vient du niveau très élevé de leur intelligence émotionnelle. Ce qui va souvent avec, c'est une empathie particulièrement développée, c'est-à-dire une compréhension des intentions, des pensées et des émotions des autres qui est très fine.
Une des causes principales de cette impression d'être exclu provient d'un manque affectif pendant l'enfance. La croyance va ensuite se renforcer à travers des pensées et des paroles telles que « je suis de trop », « je ne me sens pas à ma place », « on ne veut pas de moi car je suis différent »,…
Avoir de l'empathie, c'est lorsqu'une personne est capable de se mettre à la place d'une autre, de connaître son ressenti.
L'empathie implique à la fois des composants émotionnels et cognitifs : l'empathie émotionnelle désignant les réponses affectives de l'observateur (sa propre émotion) face à l'émotion d'autrui ; l'empathie cognitive référant à la capacité d'adopter la perspective d'autrui ainsi qu'à des processus de régulation [6].
Laissez de la place au mode de pensée de vos interlocuteurs, intéressez-vous à eux, assurez-vous que vous avez bien compris, reformulez ses propos. Et surtout laissez-lui la liberté de répondre et de penser à sa propre façon. Ses pensées ne vous appartiennent pas, vous n'êtes pas dans sa tête !
Le refus d'aide doit être compris comme un positionnement de la personne aidée et non uniquement comme la marque d'une opposition. Souvent l'aidant est trop impliqué dans la situation, oscillant parfois entre volonté de faire « malgré tout » et de culpabiliser d'avoir fait.
Le manque d'empathie : "les personnes autocentrées ont du mal à se mettre à notre place", affirme la thérapeute Emily Simonian à Insider. Elles ne veulent pas entendre notre point de vue et invalident nos opinions ou nos croyances.
L'empathie est un concept de taille. Les psychologistes de renommée Daniel Goleman et Paul Ekman ont identifié 3 composantes de l'empathie : cognitive, émotionnelle et compatissante.
Hypersensibilité, susceptibilité, des traits de caractères qui ne facilitent pas la vie ! A tous les âges, de l'enfance à l'adolescence, et même bien sûr à l'âge adulte, certains vont avoir, plus que d'autres, du mal à supporter les remarques. Un rien les vexe, les rend triste, les affecte.
La personne psychorigide souhaite tout régenter et tout contrôler car c'est une personne angoissée qui n'arrive pas à s'adapter aux bouleversements. Le fait de tout contrôler est une façon de contenir ses angoisses. La personnalité obsessionnelle concerne 4% de la population et est plus fréquente chez les hommes.
Les personnes empathiques ont aussi une capacité d'écoute développée. "Elles vont avoir le bon mot et le bon geste. Elles ont une intelligence émotionnelle et sociale et sont concernées par ce qui se passe dans le monde et dans leur entourage" précise Anne Landry, psychanalyste.
La personne est plus irritable, frustrée, se sent déconnectée émotionnellement comme si tout lui était étranger, ce qui peut affecter la capacité de profiter des choses et de se lier aux autres. Au fil du temps, l'usure compassionnelle génère de la fatigue, mais aussi de l'anxiété.
Dans l'idée de l'altruisme, le bien être d'autrui représente un but en soi. Et le préalable à tout acte altruiste c'est l'empathie, notre aptitude innée à ressentir ce qu'un autre ressent : pour comprendre l'autre nous avons besoin de ressentir ses émotions.
Le mot “égocentrisme” vient de la contraction des mots “égo” et “centre”. Être égocentrique signifie donc “tout centrer sur soi”.
altruiste. Dévouement, se consacrer à autrui de façon désintéressée, sans rien attendre en retour. Aider les autres.
Définitions : imposteur - Dictionnaire de français Larousse.
Cela est souvent lié à la peur d'être abandonné, ou à un fort sentiment de déception dans une relation qui a beaucoup comptée. En général les deux sont liées. On apprend toutefois à gérer cette problématique parce que rejeter c'est aussi s'isoler et ce n'est pas forcément mieux.
La peur qui paralyse
Elles en viennent à vivre dans l'anticipation du rejet. Elles ajustent sans cesse leur comportement, en font trop. Elles suscitent une certaine antipathie et ont de la difficulté à s'intégrer à un groupe. Et elles finissent par s'attirer exactement ce qu'elles craignent le plus : le rejet.
Les personnes isolées décident de se renfermer sur elles-mêmes du fait d'un manque de confiance en elles ou d'un sentiment de malaise lorsqu'elles sont en compagnie d'autres personnes. Elles préfèrent rester seules et accumulent les pensées négatives sur elles-mêmes.