La sieste est un excellent moyen de récupérer un manque de sommeil : après un coucher tardif, une nuit agitée ou en cas de travail en horaires décalés. Certaines études ont démontré qu'elle permettait de réduire les risques d'accidents cardiaques, les accidents de la circulation et du travail.
La sieste stimule votre capacité d'apprentissage, améliore votre mémoire et aide à réduire votre tension artérielle. Les bénéfices d'une sieste aussi brève que 10 à 20 minutes sont bien documentés, surtout pour ceux et celles qui exercent des professions exigeantes et très stressantes.
Avoir tout le temps envie de dormir est également le symptôme de nombreuses maladies. Il peut donc être indiqué de consulter un médecin en cas de fatigue chronique. Il existe aussi de nombreux produits pour lutter contre la fatigue : vitamine C, café, taurine, etc.
hypersomnies centrales (narcolepsie avec ou sans cataplexie) : elles sont dues le plus souvent à une dégénérescence de certains neurones dans le cerveau qui entraîne des accès de sommeil, avec ou sans cataplexie, c'est-à-dire une perte soudaine du tonus musculaire. C'est une maladie rare.
Elle dure moins de 5 minutes, une durée suffisante pour améliorer l'attention. La sieste standard, aussi appelée sieste « énergisante » ou sieste « parking », car elle peut être réalisée dans sa voiture, sur un parking. Elle dure 20 à 30 minutes, vous relaxe et vous rend plus productif pour le reste de la journée.
Outre l'humeur, la qualité et la quantité de sommeil diminuent : les siestes plus courtes, des réveils en majorité en pleurs, un sommeil plus agité, une transition entre les cycles plus difficile… C'est aussi ça une dette de sommeil!
Une sieste compensatrice d'une à deux heures pendant la journée permet de compléter la nuit et de palier à ces « dettes de sommeil ». Afin d'optimiser le temps de vos siestes compensatrices, mettez toutes les chances de votre côté : Ne surchargez pas votre emploi du temps, réservez-vous du temps pour dormir.
L'asthénie, communément appelée fatigue, est un symptôme fréquent. Elle devient anormale lorsqu'elle perdure malgré le sommeil et le repos. Elle peut être passagère et réactionnelle (après un surmenage, lors d'une infection brève…), ou durable, en lien avec une maladie chronique ou une souffrance psychique.
Plusieurs nutriments - dont le fer, le zinc, le calcium, le magnésium et les vitamines du complexe B - interviennent de façon importante dans l'équilibre chimique du cerveau. Un déficit en l'un ou l'autre de ces nutriments peut entraîner une baisse de la qualité du sommeil et donc une impression de fatigue.
Enfin, la somnolence après le déjeuner peut être due à une baisse de notre température corporelle qui se produit naturellement entre 13h00 et 15h00. Cette baisse déclenche la libération d'une hormone appelée mélatonine, qui provoque le sommeil.
La personne dépressive dort beaucoup (trop) pour fuir sa souffrance. On parle d'hypersomnie. Malgré tout les symptômes de grande fatigue et de perte d'énergie sont les mêmes. Si cette hypersomnie revient tous les ans dès l'automne, elle est liée à une dépression saisonnière.
Ainsi, la fatigue dépressive est souvent associée à ces symptômes cognitifs. En effet, il s'agit d'un cercle vicieux où la dépression conduit à ces troubles cognitifs qui nécessitent beaucoup d'énergie pour être combattus, ce qui entraîne une fatigue chronique.
Dormir l'après-midi vous semble une drôle d'idée et pourtant, cela permet de récupérer alors ne vous en privez pas ! Qu'elle soit flash, courte ou plus longue, elle est toujours relaxante et réparatrice. Elle réduit le stress, améliore la mémoire et la concentration...
La sieste est bénéfique pour la plupart des personnes si elle correspond à un épisode de sommeil maîtrisé dans la journée, d'une vingtaine de minutes par exemple. Trop longue, la sieste risque de dérégler les habitudes et de perturber fortement l'endormissement du soir.
Boire un verre d'eau tiède - idéalement à température du corps humain – aide à chasser les acides et toxines accumulés dans l'estomac et les intestins durant la nuit.
La fatigue liée au cancer est beaucoup plus importante. Cette sensation d'épuisement, non liée à un effort particulier, voire d'affaiblissement général de l'organisme (asthénie) n'est pas comparable aux ressentis d'une fatigue "normale". Elle perdure même après une nuit de sommeil.
La fatigue est le symptôme le plus fréquent chez les personnes atteintes de cancer. C'est également l'effet secondaire le plus courant du traitement du cancer. La fatigue est un manque d'énergie, une lassitude ou un épuisement généralisés.
> La fatigue est l'un des nombreux symptômes des épisodes dépressifs. Elle s'accompagne d'un trouble de l'élan vital et se mêle entre autres à un abattement affectif, des troubles cognitifs de la concentration et une inhibition psychomotrice.
Il peut s'agir d'une déprime ou bien d'une dépression. La première est un mal-être passager ; la seconde est une maladie qui nécessite une prise en charge médicale et psychothérapeutique.
En règle générale, la durée est inférieure à 5 heures. Pour les longs dormeurs, la durée dépasse les 10 heures de sommeil par 24 heures, durée qui peut atteindre 12 à 14 heures le week-end. Dans les deux cas, le sommeil est efficace : le rapport temps passé au lit sur temps dormi est normal.
L'hypersomnie idiopathique
Elle est caractérisée par une somnolence diurne excessive constante entrecoupée de siestes peu reposantes et accompagnée d'un sommeil nocturne de durée normale ou accrue mais non reposant.
Dans les transports, à votre bureau ou chez vous, fermez les yeux. Relâchez tous vos muscles. Recentrez-vous sur votre respiration, en comptant les cycles respiratoires par exemple. Laissez-vous aller à la détente et ne pensez à rien, uniquement à la sensation agréable de ne rien faire et de se reposer.
La micro-sieste ou la "sieste éclair" désigne un bref moment de sommeil à l'effet récupérateur, rafraîchissant, que l'on s'accorde durant quelques minutes seulement au cours d'une journée.