C'est un phénomène connu : la fatigue, les apnées du sommeil ou le manque chronique de sommeil peuvent entraîner une baisse de la concentration et des pertes de mémoire. le stress et la dépression, les événements traumatisants. certaines carences alimentaires, notamment en vitamine B1 ou B12.
le stress, l'anxiété et un syndrome dépressif ; une mauvaise hygiène de vie : la consommation d'alcool, de tabac ou de certaines drogues, des carences en vitamines… ; la prise de certains médicaments : somnifères, antidépresseurs, anxiolytiques…
Il faut plutôt s'inquiéter quand l'entourage vous met en garde contre votre attitude : pertes de mémoires fréquentes et sur des sujets que vous maîtrisez habituellement, attitudes bizarres, rangements improbables, troubles du langage et de l'orientation dans des lieux que vous maîtrisez parfaitement jusqu'à présent.
Le sommeil est essentiel au bon fonctionnement de la mémoire : les insomnies ou l'apnée du sommeil peuvent donc causer des trous de mémoire fréquents. L'amnésie peut aussi être d'origine cérébrale : épilepsie, maladie de Parkinson, Alzheimer, sclérose en plaques, traumatisme crânien…
Comment prévenir les troubles de la mémoire ? Manger sain : Consommer des aliments riches en antioxydants et oméga-3 contribue au contrôle de l'oxydation des cellules du cerveau. Faire du sport : L'exercice physique participe au développement des neurones et baisse le risque de troubles de la mémoire.
Les médicaments qui agissent sur le cerveau, comme les anxiolytiques, les antidépresseurs, mais aussi les somnifères. En modifiant la manière dont les neurones communiquent, ils perturbent la mémoire et la concentration. Le stress.
Les hypermnésiques décrivent leur mémoire comme fonctionnant par associations incontrôlables. Leur mémoire ne garde pas le souvenir de chaque élément de leur vie. Elle est aléatoire et peut parfois retenir des événements perçus comme insignifiants.
Ces troubles peuvent survenir à cause d'une maladie affectant la mémoire. Ils peuvent également être d'origine émotionnelle. Stress, fatigue, anxiété peuvent altérer la capacité à mémoriser, de même qu'une alimentation carencée, un problème d'alcoolisme, un excès de médicaments ou une fatigue excessive.
Chez les personnes présentant une perte de mémoire, certains symptômes sont sujets de préoccupation : Difficulté à accomplir les activités quotidiennes habituelles. Difficulté à se concentrer et fluctuation du niveau de conscience (symptômes qui évoquent le syndrome confusionnel)
Le fait d'oublier était souvent considéré comme un échec du cerveau à retenir les données mais les spécialistes estiment que certaines parties du cerveau sont faites pour la perte de mémoire.
Aussi appelé l'examen de Folstein, MMSE est l'abréviation du nom anglais de l'examen Mini Mental State Examination. Cette évaluation a été élaborée par Folstein en 1975. Il s'agit d'un test simple et standardisé pour vérifier la performance des fonctions cognitives des sujets et évaluer leur déficit.
Essayez de retenir deux mots. Par exemple : citron-serrure. Ils vont servir à tester votre capacité de mémorisation, car les petits troubles de la mémoire touchent une personne sur deux après 50 ans.
L'aphasie est une affection neurologique se traduisant par une perturbation de l'expression orale ou de la compréhension du langage, écrit et/ou parlé. Elle intervient lorsque la zone du cerveau utile aux fonctions langagières est touchée.
Origines. Selon les études, l'absence épileptique serait liée à des facteurs génétiques et environnementaux. L'élément retenu est notamment le manque de sommeil, mais aussi le stress ainsi que le faible taux de glucose et l'exercice intensif.
En tant qu'adulte, il vous est certainement déjà arrivé, à un moment ou à un autre, de chercher vos mots. Lorsque cela se manifeste, on dit communément qu'on a «le mot sur le bout de la langue». Un trou de mémoire peut survenir n'importe quand, mais en particulier lorsque l'on est très fatigué.
Les vitamines du groupe B et plus particulièrement les vitamines B1, B5, B6, B9 et B12 jouent un rôle primordial dans le maintien de fonctions cognitives et psychologiques normales (telles que la mémoire). Les omégas 3 sont également fondamentaux dans les différents processus cérébraux.
En cause : le manque d'activité physique. Même une courte balade à l'air frais peut vous aider à mieux alimenter les cellules de votre cerveau en oxygène et à les remettre sur la bonne voie.
Les fruits et légumes sont d'ailleurs réputés pour leurs bienfaits sur notre cerveau. C'est notamment le cas des oranges et des épinards qui boostent la mémoire, la concentration ou encore la logique. Les myrtilles et le raisin améliorent les fonctions cognitives tandis que le kiwi réduit le stress et la nervosité.
Nous enregistrons les moments importants de certains événements, des choses dont nous pourrions avoir besoin ou qui sortent du lot. Tout ce qui n'est pas important disparaît, ce n'est pas stocké. Pendant la nuit, des vagues d'activité balaient notre cortex, éliminant tout ce qui n'a pas lieu d'être conservé en mémoire.
R : La dépression n'est pas une maladie de la mémoire, comme la maladie d'Alzheimer, souvent considérée comme le prototype de ces maladies. Les troubles de l'humeur vont toutefois entraîner des troubles de la mémoire du fait des difficultés de concentration et du ralentissement idéomoteur.