Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est dû à un dérèglement hormonal d'origine ovarienne et/ou centrale (au niveau du cerveau). Il entraine une production excessive d'androgènes, en particulier de testostérone, habituellement produites en petite quantité dans l'organisme féminin.
Il n'existe pas de traitement pour guérir le SOPK. Le traitement est donc uniquement symptomatique et il doit être suivi par la patiente jusqu'à la ménopause.
Les symptômes du syndrome des ovaires polykystiques. Les symptômes du SOPK apparaissent généralement à l'adolescence, au moment des premières règles, mais peuvent aussi survenir bien plus tard. Ils sont très variables d'une personne à l'autre et ne sont pas tous ressentis avec la même intensité.
Par ailleurs, il me semble important de rappeler qu'une "rémission" est possible. En effet, certaines personnes atteintes de SOPK, parviennent à diminuer fortement voire à inhiber les symptômes grâce à des traitements hormonaux ou à la mise en place d'une hygiène de vie adaptée, bien que cela ne soit pas systématique.
Les personnes souffrant du SOPK peuvent tomber enceintes sans traitement contre l'infertilité, il est donc important d'utiliser une contraception si c'est votre cas, mais que vous ne souhaitez pas vivre une grossesse. Des traitements peuvent aider à avoir des règles régulières et provoquer l'ovulation.
Grâce à son pouvoir anti-inflammatoire, le curcuma réduirait efficacement le volume et le nombre de follicules ovariens. L'inflammation des cellules diminue, tout comme la glycémie. En cas de SOPK, le gattilier est aussi une plante naturelle conseillée.
L'insomnie : Les femmes atteintes du SOPK sont plus susceptibles d'avoir des troubles du sommeil comme les sueurs nocturnes, l'insomnie ou aussi l'apnée du sommeil. La fatigue : Le manque d'énergie est un symptôme courant et est souvent lié à la mauvaise qualité du sommeil due au SOPK.
Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est une maladie hormonale qui affecte le fonctionnement normal des ovaires chez la femme et qui touche environ 10% des femmes. Vous avez besoin d'un avis médical ?
S'il n'existe pas de régime idéal pour prévenir ou soigner le syndrome des ovaires polykystiques, une bonne hygiène de vie (alimentation équilibrée et activité physique) peut aider à mieux gérer les symptômes et complications du SOPK. On recommande un régime alimentaire à faible indice glycémique (IG).
Symptômes du SOPK
Généralement, les règles n'apparaissent pas à la puberté et les ovaires ne libèrent pas d'ovule (c'est-à-dire que la femme n'ovule pas), ou alors de manière irrégulière. Les femmes présentent des saignements vaginaux irréguliers ou une absence de règles.
Ces symptômes dus à une sécrétion excessive d'hormones androgènes – la testostérone en est la principale – s'améliorent vers 35-40 ans quand l'activité des ovaires ralentit et disparaissent, en général, à la ménopause.
Le SOPK et le gain de poids
Si vous êtes atteinte du SOPK, cela signifie que votre organisme produit trop d'hormones androgènes. Si votre organisme produit une quantité excessive d'androgènes, vous pourriez prendre du poids, surtout dans la région abdominale.
Un mode de vie sain et une alimentation équilibrée associés à une activité physique quotidienne constituent la partie la plus importante du traitement. L'équilibre des taux d'insuline, et la perte de poids permettent de réduire le risque de diabète et certains des symptômes du SOPK.
Comment est-il possible de diagnostiquer des ovaires polykystiques ? Il est possible de diagnostiquer des ovaires polykystiques par une simple échographie de contrôle. Avoir des ovaires polykystiques implique parfois d'avoir plus de difficultés à ovuler et avoir des retards dans les cycles menstruels.
La première solution, c'est de prendre une pilule contraceptive, qui aura l'effet d'apaiser les symptômes. Des traitements peuvent être envisagés pour venir réguler l'acné, la perte de cheveux ou la pilosité.
Le but est de mettre au repos les ovaires et d'éviter une ovulation spontanée. Pour bloquer cette production hormonale et contrôler totalement le cycle des femmes, les médecins ont à leur disposition deux types de médicaments : les agonistes du GnRH (Suprefact® ou Décapeptyl®) et les antagonistes de GnRH (Cetrotide®).
En effet, il est possible de diagnostiquer un SOPK en n'effectuant qu'une étude de symptômes accompagnée d'une échographie, cependant un bilan sanguin permettant de doser vos hormones est essentiel à l'approfondissement de votre diagnostique et à la mise en place de vôtre suivi.
Le traitement d'un kyste ovarien. Pour les patientes présentant un kyste ovarien fonctionnel, une simple surveillance médicale est mise en place. En cas de complications ou en présence d'un kyste de l'ovaire organique, une ablation chirurgicale est préconisée : kystectomie ou salpingo-ovariectomie.
Pour cela, des aliments sont à privilégier…
Toute la famille des crucifères : choux, brocolis, navets, radis, cresson. Ces aliments contiennent des substances soufrées (glucosinolates) qui stimulent les enzymes de phase 2 et donc le fonctionnement hépatique.
Pour améliorer les symptômes et diminuer les facteurs de risque associés au surpoids dû au SOPK, il peut être intéressant de perdre du poids pour les femmes concernées. Pour ce faire, il est recommandé d'allier deux types de mesures hygiéno-diététiques : une alimentation équilibrée ; une activité physique régulière.
Lait de soja, l'allié dans le traitement du syndrome des ovaires polykystiques ? - Info Kiddizy.
Dans le cadre du SOPK, les douleurs ovariennes sont le plus souvent liées à un défaut de maturation folliculaire avec accumulation dans l'ovaire de follicules (ovules non matures) qui se traduit par une « anovulation » (absence d'ovulation), ou à la croissance excessive d'un ou plusieurs follicules conduisant à la ...
En cas d'ovaires polykystiques également, la présence d'une multitude de follicules rend plus épaisse la coque ovarienne et plus difficile l'ovulation. Dans la plupart des cas, une perte de poids et/ou des traitements, (stimulation ovarienne), peuvent suffire à enclencher une grossesse.
Le syndrome des ovaires polykystiques est caractérisé par une légère obésité, des irrégularités menstruelles ou une aménorrhée et des signes d'un excès d'androgènes (p. ex., hirsutisme, acné). La plupart des patientes ont plusieurs kystes dans les ovaires.