Pourquoi la maison bretonne a-t-elle souvent deux cheminées ? C'est généralement par respect de la tradition que la maison bretonne est construite avec deux cheminées. En effet, à la base, ce type de logement avait une architecture très simple.
Bonne nouvelle, les maisons bretonnes ont tout de même des points communs, quel que soit leur famille : des murs de granit, des toits d'ardoise à l'exception de quelques rares toits de chaume subsistant sur les chaumières, une orientation plein sud pour profiter du soleil avec pignon à l'ouest pour protéger du vent.
Les fameuses maisons de pêcheurs et côtières
Les maisons côtières et les maisons de pêcheurs sont nombreuses dans les petits ports du littoral breton. Ces maisons sont souvent alignées et mitoyennes formant ainsi de vrais petits villages. On les reconnait à leur façade blanche et à leurs fenêtres peintes en bleu.
Principalement utilisée sur les toitures à forte pente, l'ardoise trouve en Bretagne une utilisation motivée par la proximité des sources minières (Bretagne, Anjou),mais aussi parce qu'elle fait partie intégrante du paysage des maisons de l'Ouest, comme le sont les tuiles en terre cuite dans le sud de la France.
Le pentis est la petite maison bretonne qui fait rêver les touristes et les amoureux de la région. Composée uniquement de deux pièces, cette maison de pêcheur par excellence se compose de deux pièces au rez-de-chaussée et d'une pièce sous le toit, qui est également un “deux pentes” comme la longère.
Pourquoi la maison bretonne a-t-elle souvent deux cheminées ? C'est généralement par respect de la tradition que la maison bretonne est construite avec deux cheminées. En effet, à la base, ce type de logement avait une architecture très simple.
En Bretagne, petite maison située à l'écart d'un village, souvent au bord de la mer, caractérisée par son toit pentu recouvert d'ardoises.
Les indications géographiques ce n'est pas réservé aux fromages ou aux volailles. Depuis fin janvier, le granit breton est la première pierre naturelle ainsi protégée. Explications sur une démarche originale.
La toiture traditionnelle de l'Eure est clairement assez pentue et ce, pour deux raisons, la première est technique et liée à l'usage de la charpente en bois qui est dans sa forme la plus simple assez pentue (puisque plus la pente est faible, plus cela nécessite de pièces de bois).
Réponse: Parce que on l'utilise plus en Bretagne ou dans le nord. L'ardoise est utilisée pour les toits des maisons ou les murs car elle est noire donc capture le soleil et chauffe. Comme il fait deja très chaud dans le sud, on favorise les toits et les murs blancs qui au contraire repoussent le soleil.
Matériaux. Les longères, au sens de maison à développement en longueur, étaient construites avec des matériaux disponibles localement à l'époque de leur construction (granit en Bretagne ou colombage en Normandie orientale par exemple).
Une maison en meulière est une maison dont la maçonnerie est constituée de pierres meulières avec des joints réalisés par rocaillage. Il s'agit notamment de certaines villas construites au début du XX e siècle qui se distinguent par leur style architectural et leur ornementation inspirés par l'Art nouveau.
On les appelle des chaumières pour une bonne raison : les maisons normandes traditionnelles disposent de toits de chaume. Autrement dit, un mélange de seigle, de roseaux ou de blé fixé sur une structure en bois, construite avec les mêmes poutres que celles des colombages.
Vendée, Poitou-Charentes
Les deux premières, rappelons-le, s'adaptent particulièrement bien aux toitures à faible pente et permettent l'évacuation rapide des eaux de pluie. Les toitures de ces deux régions offre une grande diversité de couleurs et de formes.
En Alsace, le toit est à pente très forte à cause du climat (évacuation rapide de la neige) et de la fragilité des matériaux de couverture (Tuile).
Les toits en pente sont conçus pour résister à la neige, à la glace, à l'eau et au vent. En forme de triangle, ils sont stables, plus solides et assurent un drainage parfait de l'eau. Certaines tuiles, comme l'ardoise naturelle, sont extrêmement résistantes, imperméables et ignifuges.
La staurotide est une pierre en forme de croix, taillée par Dame nature. On l'appelle aussi, très logiquement, « Croisette de Bretagne ». Elle est constituée de cristaux maclés en croix à 60° (croix de Saint-André) ou à 90° (Croix du Christ), d'où son nom scientifique signifiant « croix » en grec (stauros).
Reprenons : ti (anciennement orthographié ty), c'est la maison d'habitation, à laquelle on donne parfois un nom particulier. Ainsi, ti bihan mamm-gozh signifie « la petite maison de grand-mère ». Kêr est, quant à lui, l'élément le plus courant de la toponymie bretonne.
Les architectes de l'époque ont développé ce type de bâtiment dans les régions voisines, afin d'éviter un nouveau drame. Les maisons à colombages sont également nombreuses en Normandie, mais pour une autre raison : le procédé de construction en bois était moins cher que la maçonnerie.
Comme hier, la construction à colombages s'inscrit dans le respect de l'environnement. Les forêts normandes fournissent les pièces de chêne, solide et dense. Les pierres du solin proviennent des carrières locales. La paille et l'argile sont partout.
Une architecture alsacienne traditionnelle et rurale
Avant leur apparition dans les villes, les maisons à colombages étaient représentatives du monde agricole et rural comme en témoignent les fermes ou les maisons de vignerons.
Durabilité, avantage pierre naturelle
Bref, on l'aura compris, plusieurs centaines, voire milliers d'années pour la pierre naturelle et une durée de vie équivalente à celle d'un béton pour la pierre reconstituée, soit de 50 à 100 ans suivant la qualité.