C'est pour cette raison que la mode est aux doubles barres à roue (une à tribord et une à bâbord). Elles permettent de libérer l'accès à la mer et facilitent la circulation du cockpit (en étant renvoyées vers l'arrière) .
Barrer un voilier
En cas de forte houle, le barreur doit pousser et tirer la barre (pomper) de manière répétitive afin d'éviter que l'équipage ne souffre du mal de mer. Afin de passer aisément une vague, il faut relâcher sur sa crête et accompagner son mouvement.
La barre d'un navire (ou barre de gouvernail ou barre de pilotage ou, si en forme de roue, barre à roue) est utilisée pour orienter un navire à moteur ou à voile dans la direction voulue.
Les voiliers avec deux mâts se classifient en 3 catégories : le ketch, le yawl et la goélette.
voileux n. Personne qui pratique la voile de plaisance.
Devise : nom du bateau fluvial.
Pont, Deck – Le pont, supporté par les barrots, est un plancher formé par les bordés recouvrant le dessus de la coque. Il peut être continu et percé de quelques ouvertures, ou bien ne fermer qu'une partie de la coque, lorsque le bateau est à demi-ponté.
Sur un voilier, une écoute est un cordage servant à régler l'angle d'une voile par rapport à l'axe longitudinal du voilier et en conséquence l'angle d'incidence du vent sur la voile de manière à optimiser la marche du bateau.
barreur : Celui qui tient la barre et donc qui dirige le voilier ou le bateau à moteur.
naviguer, piloter, voyager en bateau[Hyper.]
Sur un voilier, les haubans sont les câbles, fixés de part et d'autre du mât, qui maintiennent celui-ci rectiligne et dans le plan longitudinal. Fixés au sommet du mat et sur le pont du navire ils reprennent les efforts transversaux exercés par les voiles et s'opposent à la rupture par flambement.
Le volant est sur le côté droit de l'embarcation à moteur pour des raisons mécaniques. L'hélice d'un bateau tourne dans le sens horaire. Il faut donc un contre-poids à droite du bateau (le conducteur) pour compenser l'effet de la rotation de l'hélice.
vOOg invente Le Gouvernail, la nouvelle boussole du piéton.
Comment remonter le vent avec un voilier ? Lorsque le voilier fait face au vent, il ne peut pas avancer ; on dit alors que c'est le vent arrière. Il doit s'écarter d'env. 45° de l'axe du vent pour pouvoir avancer à l'aide de ses voiles.
Le barreur devra tenir la barre avec la main la plus en arrière sans la serrer ( sauf quand cela devient nécessaire lorsque le vent monte). Le but est d'anticiper les mouvements du bateau et de ressentir l'attitude du voilier (ardent, mou,…) et de ne jamais donner des grands coups. De petits mouvements sont suffisants.
Le mot Marinette s'entend sur les pontons, dans les ports et même sur certaines annonces d'emploi à la plaisance professionnelle. Vous ne le trouverez jamais dans un dictionnaire et pourtant, quand on parle d'un marin au féminin, on utilisera souvent le terme de Marinette.
Le brevet de capitaine 200 permet à son titulaire d'être employé à bord d'un navire de jauge brute inférieure à 200 et de puissance propulsive inférieure à 250 kW en tant que capitaine ou chef mécanicien.
Le commandant est le titre donné à la personne, civile ou militaire, qui dirige un navire (le capitaine de navire) ou commande un bâtiment, ou encore est responsable d'un aéronef (le commandant de bord).
La grand-voile (anciennement grand'voile, main sail en anglais) est la voile principale sur un voilier à mât unique ou la plus grande voile portée par le plus grand mât sur un voilier à mâts multiples.
Dans un gréement classique, les voiles situées à l'avant du mât sont nommées focs. Elles sont nommées selon leur taille et leur coupe (de la plus petite à la plus grande) : tourmentin, solent, foc, foc ou génois inter (entre le génois et le foc), yankee, génois, et reacher (génois très creux).
La grand-voile qu'on appelle aussi GV est la voile principale située à l'arrière du mât. Elle se hisse le long de celui-ci et est maintenue par la bôme. La GV est la voile la plus polyvalente sur un bateau : elle fonctionne du près au vent arrière.
Le dalot a la même fonction que le sabord de décharge qui lui se trouve dans le pavois : évacuer l'eau de mer qui, si elle s'accumulait sur le pont pourrait faire perdre au navire une partie de sa stabilité.
Ce n'est qu'au début du XXe siècle qu'elle est devenue un local fermé et vitré (un abri de navigation) intégré aux superstructures du navire, mais le nom de passerelle est resté. On utilise aussi le terme timonerie pour désigner la passerelle d'aujourd'hui.
Les termes "bâbord et tribord" sont une référence par rapport au bâteau, quel que soit l'endroit du bâteau où l'on se trouve, que l'on regarde la proue ou la poupe et si l'ordre est "repérage naufragé par bâbord arrière" tout le monde sait où regarder, si l'on disait à gauche, il y aurait un moment de flottement, voire ...