La comparaison peut être bénéfique, mais…
Pour Michael Stora : « La comparaison peut avoir des vertus quand, par exemple, on se compare à quelqu'un qu'on estime supérieur à soi. Cela peut être un moteur à l'ambition. On peut avoir envie de s'améliorer, de progresser. Mais à condition d'aller bien !
La première étape est de prendre conscience des moments où vous vous comparez. La deuxième étape consiste à réaliser que se comparer aux autres contribue négativement à votre estime de soi et alors, de vous engager à cesser de le faire.
Focalisez-vous sur ce que vous avez. Après avoir réalisé l'impact négatif de la comparaison, c'est ce qu'il y a de mieux à faire. En étant reconnaissant des choses que vous avez, vous vous concentrez sur vous-même et pas sur les autres. Prenez le temps de penser à ce qui vous plait dans votre vie.
Quand on se compare, on se dévalorise. On se dit que les autres sont mieux que nous. Qu'ils ont un meilleur style de vie, qu'ils sont plus intelligents, plus beaux, plus riches, plus populaires, plus créatifs… Et cela éveille en nous toutes sortes d'émotions négatives : jalousie, envie, frustration ou encore mépris.
La comparaison peut créer plusieurs effets (poétique, humoristique, fantastique…), car elle rapproche deux réalités différentes. Elle permet, entre autres, de mettre en évidence des caractéristiques d'un personnage, d'un lieu ou d'un objet, ou de rendre concret un élément abstrait comme une émotion ou une valeur.
Se comparer aux autres est un processus normal de la cognition humaine. Si toutes les comparaisons ne sont pas forcément préjudiciables, il est important de se recentrer sur soi régulièrement pour faire face aux éventuelles émotions négatives qu'elles sont susceptibles de provoquer.
« Se comparer un peu, c'est normal, car nous avons besoin de nous situer par rapport aux autres, mais si c'est systématiquement de manière négative, c'est le signe d'un manque d'estime de soi, d'une difficulté à s'accorder une quelconque valeur », analyse le psychiatre Frédéric Fanget.
L'outil de comparaison (comparatif) peut être : - une conjonction ou un adverbe : comme, ainsi que, ainsi, tel que, etc. - un adjectif : tel, pareil à, semblable à, etc. - un verbe : ressembler, sembler, avoir l'air, faire l'effet de, etc.
Comparer deux nombres, c'est dire s'ils sont égaux (signe =) ou si l'un est supérieur (signe >) ou inférieur (signe <) à l'autre. Pour comparer des nombres entiers, on compare leur nombre de chiffres. S'il est identique, on compare les chiffres de même rang de gauche à droite.
Ex : Ton devoir est bon mais le sien est meilleur (que le tien). Ex : Ton devoir est mauvais mais le sien est plus mauvais que le tien, il est pire. - mal : Le comparatif de mal est plus mal (que), et reste INVARIABLE, que ce soit au féminin, au singulier, ou au pluriel. Ex : Il joue plus mal que toi.
Pour avancer et prendre confiance en nous, nous avons besoin de nous situer. Pour y arriver, nous nous situons naturellement par rapport aux autres (filles). Mais plus on se compare aux autres, plus on est dépendant des autres, moins l'on prend sa vie en main, moins l'on a de projets et donc moins on est heureuse.
Le comparatif, ou second degré de qualification, est l'adjectif exprimant une comparaison, en plus ou en moins, entre deux ou plusieurs objets. Alors il y a entre les objets que l'on compare, ou un rapport de supériorité, ou un rapport d'infériorité, ou un rapport d'égalité.
on utilise le signe +, si la solution est compatible avec le critère, le signe – si la solution ne l'est pas et le signe ? s'il est impossible de prendre une décision ; on retiendra les solutions qui auront obtenu le plus grand nombre de +.
« Quand je me regarde, je me désole ; quand je me compare, je me console », aurait déclaré Talleyrand.
Parce que comparer consiste aussi à poser un regard sur les autres à partir de notre propre vécu, il s'agit d'une activité qui permet de relativiser nombre de certitudes et d'idées reçues, ce qui est parfois le point de départ de grandes transformations politiques et sociales.
Non seulement la démarche comparative permet de mieux se connaître, mais elle constitue un instrument pour mieux connaître un phénomène, un pays, une culture. Souvent première étape de la comparaison, une telle perspective s'inscrit dans une logique descriptive.
La comparaison comprend toujours au moins deux termes : un comparé (ce que l'on compare) et un comparant (ce qui sert à comparer). Une comparaison s'opère grâce à un terme comparant 1 (comme, tel, semblable à, pareil à, aussi, ainsi que, de même que, ressembler à, etc.). À ne pas confondre avec la métaphore.
La comparaison, l'apposition et la métaphore sont des figures de style. La comparaison est une mise en relation de deux termes à l'aide d'un outil comparant : comme, tel, semblable à, etc. La métaphore à l'aide de l'apposition est une comparaison abrégée : suppression de l'outil -les mots- de comparaison.
Ce sentiment peut être la conséquence d'une infériorité réelle ou imaginaire chez la personne affectée. Une personne se sentant inférieure va systématiquement croire qu'elle est moins belle, intelligente, intéressante, cultivée, forte, drôle, talentueuse que ses pairs.
Pourquoi vivre pour les autres est dangereux ? Avoir sans cesse à l'esprit l'opinion possible des autres est épuisant. Nerveusement, moralement… et même physiquement au final. Vous n'avez pas envie d'endurer un ulcère juste parce que vous vous demandez chaque matin si votre choix de chaussure sera bien adapté !
Se comparer est un comportement humain inné motivé par le besoin de s'évaluer et se définir. On cherche à réduire nos insécurités, à se démarquer des autres et à rehausser son estime de soi. Se comparer n'est donc pas négatif en soi; ça peut même être constructif!
Pire est un adjectif qui peut être employé comme comparatif (plus mauvais) ou comme superlatif (le plus mauvais).