Lors de conflits, de longues discussions houleuses et agitées ou de désaccords profonds, si quelqu'un vous énerve, c'est probablement parce que l'une de vos valeurs est touchée ou que, simplement, la même valeur ne veut pas dire la même chose pour vous et l'autre.
Se sentir en permanence en colère peut également être le signe d'un mal être que l'on ne reconnait pas ou que l'on ne veut pas reconnaitre. Comme il faut bien que cela s'exprime à un moment, cela passe par une émotion vive et forte.
Un des signes les plus évidents que votre partenaire n'est plus amoureux de vous, c'est tout simplement qu'il ne s'intéresse plus à vous. Il sort sans vous, ne vous pose plus de questions sur votre travail, n'essaye pas de vous voir et ne vous écoute pas quand vous lui racontez votre journée.
Prenez du recul.
La meilleure façon de se calmer est parfois d'aller faire un tour. Si quelqu'un vous agace en particulier et que vous êtes sur le point de vous effondrer, écartez-vous, allez faire un tour, prenez une pause ou bien allez aux toilettes.
En fait, pour désamorcer la colère de notre conjoint(e), nous devons reconnaître le droit à l'émotivité de notre partenaire. Surtout, n'essayons pas de dire à l'autre « calme-toi, ça ne sert à rien de s'énerver », ou encore » que tu t'énerves pour un rien ».
La colère peut arriver seule, à la suite de la présence d'un irritant, d'un besoin non satisfait, ou d'un désir non respecté. Mais elle peut aussi être un moyen de libérer d'autres émotions enfouies telles que la peur, l'angoisse, la tristesse…
C'est d'abord un problème de frustration et de manque de communication. Pour la psychologue, c'est d'ailleurs pour cela qu'on entend souvent dans les disputes conjugales : « mais tu comprends rien ». Nous avons beaucoup de mal à exprimer nos besoins et nous avons tendance à confondre les demandes avec les reproches.
Le trouble explosif intermittent (TEI) est un trouble comportemental caractérisé par des expressions extrêmes de colère, souvent au point de violence, disproportionnées par rapport à la situation qui survient (voir aussi à la définition de Seb Bouyer).
La peur et la colère sont deux puissants facteurs motivateurs qui peuvent déclencher une réaction de lutte ou de fuite. La fréquence cardiaque et la respiration peuvent s'accélérer, la personne peut rougir, serrer les mâchoires et les poings et élever la voix. C'est le corps qui se prépare à agir.
L'homme colérique est quelqu'un de nerveux. Ses colères sont aussi soudaines que vives. Elles prennent souvent la forme de crises qui peuvent durer plus ou moins longtemps mais dont le caractère répétitif et imprévisible peut poser problème aux personnes de son entourage comme à lui-même.
Ne l'appelez pas constamment et ne lui envoyez pas de SMS trop souvent. Laissez-lui le temps et l'espace de penser à vous et de se demander ce que vous faites. Vous éveillerez ainsi sa curiosité. Ne l'ignorez pas et ne soyez pas froide avec lui, mais ne soyez pas non plus tout le temps disponible.
Si votre proche ne s'en prend pas à vous, mais s'énerve devant vous, aidez-le et apprenez lui à gérer son agressivité. Ne mettez pas d'huile sur le feu, ne lui dites pas non plus de but en blanc de se calmer, laissez-le exprimer son ressenti. Etre compréhensive, le dire, parler d'une voix calme aidera à l'apaisement.
Lorsque quelqu'un vous crie dessus, il est tout à fait naturel que vous vous sentiez intimidé, effrayé et minimisé dans votre capacité à réagir de façon appropriée. Toutefois, la solution pour faire face à une telle situation est de comprendre que c'est l'autre personne qui a failli à sa technique de communication.
La colère est l'expression d'un besoin non entendu, c'est une demande à l'autre dans le but de rétablir le lien, une protestation contre ce qu'on ne peut pas tolérer, une défense de l'intégrité, de la personnalité, la colère donne la force de dire non et de se sentir soi !
S'agacer, s'énerver, se mettre en colère, sont des émotions normales, mais qui ont, à la longue des répercussions délétères sur notre santé mentale et physique. La colère provoque tout d'abord des troubles digestifs importants : inflammations gastriques (reflux et brûlures d'estomac, ulcères) ; diarrhées.
La colère lèse le foie. Il est l'organe en relation avec la colère. Lorsque l'énergie du foie est faible, il y a des colères fréquentes. Lorsque l'énergie des Reins est faibles, l'énergie du foie peut s'affaiblir, il y a plus de colères, on parle de montée de l'énergie yang du foie.
L'halopéridol employé seul est recommandé pour calmer les situations en cas d'agressivité ou d'agitation chez des personnes ayant une psychose. Celui-ci est largement répandu et peut être le seul antipsychotique disponible dans certaines régions aux ressources limitées.
Se disputer pour maintenir le désir. Tuer le désir en se disputant. La peur de l'autre est vectrice de comportements et de réactions agressives. Les rapports familiaux de l'enfance qui font naître l'agressivité chez quelqu'un.
Antipsychotique, le Tiapridal® est un médicament destiné à traiter des troubles du système nerveux central.
"Le conjoint doit pouvoir mettre des mots sur ses émotions et son comportement" déclare la psychologue Vanina de Touchet. Il convient alors de trouver le bon moment pour se poser calmement et discuter. Selon les couples, il peut s'agir des heures suivant la crise, du lendemain, voire même plus tard.
Il peut s'agir d'une petite crise, d'un mot prononcé trop haut ou d'une attitude négative. Même si parfois vous n'acceptez pas son comportement, il faut tenter de garder le contrôle afin que tout ne dégénère pas. Parfois on ne peut pas se contrôler et ce que l'on dit dépasse nos pensées.
Si vous le surprenez en train de rougir lorsqu'il vous raconte une histoire de vie, c'est un signe indiquant que vous lui plaisez, mais qu'il a peur de l'admettre. What is this? Cela veut dire qu'il se soucie réellement de vous, de votre avis et aussi qu'il souhaite vous laisser une bonne impression.