C'est la posture privilégiée pour écouter l'homélie. Se mettre à genoux signifie la pénitence, le repentir, la supplication, l'adoration. La position à genoux implore et insiste. Fléchir le genou devant quelqu'un marque l'humilité, l'abaissement ; mettre un genou à terre, l'allégeance et l'adoration.
Mais il en existe d'autres : la prostration, l'inclination de la tête ou du buste et la position à genoux qui exprime l'adoration, l'humilité et la pénitence.
La position du priant dans la tradition biblique est essentiellement la tenue debout avec les mains levée vers le ciel, à hauteur du visage. Comme pour demander au Dieu de la relation d'alliance qu'il accorde au croyant l'harmonisation entre la pensée et l'action.
Père Apollinaire Adams Kouakou : On peut se mettre à genoux en signe d'adoration. Cette attitude nous fait penser à celle des rois mages qui, lorsqu'ils sont venus voir l'enfant, sont souvent représentés en train sortir des présents de leurs coffrets et d'adorer l'enfant Jésus.
La prière qui s'appuie sur les promesses de la Bible est un acte fondamental de la foi chrétienne, vécue comme une action de grâce et de communion avec Dieu, une communion d'esprits entre Dieu et les siens. C'est « Dieu le Père » que le croyant prie « au Nom du Seigneur Jésus-Christ ».
La prière est plus que des paroles ; elle demande de la foi, des efforts et une bonne attitude. La prière est le battement d'un cœur au désir fervent et plein d'amour, en harmonie avec l'Infini. C'est un message de l'âme envoyé directement à un Père plein d'amour.
Une prière efficace est une prière qui touche le cœur de Dieu, et le Seigneur envoie sa puissance et engendre des fruits comme dans le cas d'Élie.
Pendant la messe, c'est aussi un geste parfois posé avant la réception de la Sainte Communion. Dans certaines contrées africaines, la génuflexion est un signe de respect.
S'incliner.
Attitude d'humilité, elle exprime notre petitesse devant le Seigneur. L'inclinaison ne fut introduite dans la liturgie qu'au IV e siècle. Antérieurement, c'était un geste réservé à l'adoration des idoles, de l'empereur, des princes et des officiels.
On doit notamment faire la génuflexion en présence du Saint-Sacrement, qu'il soit conservé dans le tabernacle ou exposé à l'adoration publique. La génuflexion tombe en désuétude dans l'église catholique française.
Quant aux prières sunnah telles que tahajjud, dluha, etc., il est permis de les faire sur un lit et en position assise, même si vous êtes capable de vous tenir debout.
La prière ne se compose pas uniquement de paroles. Une prière vraie, fidèle et fervente tient plus au sentiment qui naît du cœur et du désir intérieur de notre esprit de supplier le Seigneur avec humilité et avec foi afin de recevoir ses bénédictions.
Une posture présentée comme un hommage
En écho à ce mythe, les Grecs anciens gardent l'habitude de mettre un genou à terre lorsqu'ils veulent émouvoir ou demander de l'aide. Une position d'humilité qui va devenir au fil des siècles un signe de revendication. Ceci grâce à un dessin.
L'heure de la miséricorde, soit 15h00, heure solaire, est le temps de la mort de Jésus-Christ pour la rédemption de l'humanité. Cette heure a été indiquée par le Christ dans son apparition à sainte Faustine Kowalska, religieuse et mystique polonaise morte en 1938.
Quel genou mettre à terre ? Traditionnellement, la réponse à la question « Sur quel genou fait-on sa demande en mariage ? » est : le genou gauche.
C'est comme s'il fallait se soumettre à une haute autorité. Mais on peut s'incliner devant et s'incliner vers. Alors que s'incliner devant est un signe de soumission, s'incliner vers est un geste de respect, de reconnaissance.
Pour les catholiques occidentaux (latins), le geste consiste à toucher successivement, du bout des doigts (indistinctement dépliés) de la main droite (les cinq doigts rappelant les cinq plaies du Christ sur la Croix), le front, la poitrine (cœur), l'épaule gauche puis l'épaule droite.
Les stalles sont les sièges en bois qui se trouvent des deux côtés du chœur d'une église et qui sont réservés aux membres du clergé.
Vous recevez le corps de Jésus alors on lève les mains pour le recevoir (il se redresse et tend les mains vers l'avant). Et on a tout son temps pour communier. Avec sa main droite, on prend l'hostie sur place et de grâce allez à votre place tranquillement ».
La « communion » désigne la commémoration et le renouvellement du repas (Cène, ou banquet) que Jésus a partagé avec ses disciples à Pâques. Pour l'Église catholique, c'est au cours de ce repas que Jésus a institué le sacrement de l'Eucharistie qui commémore sa mort et sa Résurrection, et qui présage du banquet céleste.
Accueillir l'Evangile : Pour manifester notre respect de Jésus-Christ, Parole de Dieu, l'assemblée se lève avant la lecture de l'Evangile. Comme le prêtre, chacun trace avec le pouce, une croix sur son front, ses lèvres et son cœur, pour montrer que l'Evangile doit guider nos pensées, nos paroles et nos sentiments.
Ô mon Dieu ! Je te demande pour moi et pour ceux qui me sont chers la grâce d'accomplir parfaitement ta sainte volonté, d'accepter pour ton amour les joies et les peines de cette vie passagère afin que nous soyons un jour réunis dans les cieux pendant toute l'éternité.
Amen. Seigneur en ce jour je viens humblement te présenter tous les domaines de ma vie pour que tu les visites par ta bonté et ta miséricorde, par la douce action de ma mère bien-aimée la Vierge Marie. Viens débloquer Seigneur tout ce qui m'empêche d'avancer librement vers toi et de grandir dans la sainteté.
Nourris-moi de ta Parole
Seigneur mon Dieu, donne-moi le repentir, mon coeur est en peine, pour que de toute mon âme j'aille à ta recherche, car sans toi je suis privé de tout bien.