Le bilan hormonal (ou bilan endocrinien) est un examen biologique qui consiste à doser dans le sang, et parfois dans les urines, des hormones. L'objectif : le dépistage de certaines atteintes hormonales responsables de maladies ou de troubles plus ou moins importants.
Un bilan hormonal complet permet d'évaluer la qualité de chaque phase du cycle ovarien et d'apprécier la réserve ovarienne, c'est-à-dire l'âge “ovarien” de la femme.
Cela peut être un endocrinologue. Il s'agit du spécialiste des hormones. Il pourra effectuer, si besoin, les tests appropriés et vous guider vers le traitement adapté à votre situation. Téléconsultez un médecin généraliste dans la journée.
Il s'agit d'une simple prise de sang effectuée au laboratoire. Le bilan hormonal est idéalement pratiqué à J-3, ou entre le 2ème (J-2) et le 4ème (J-4) jour du cycle menstruel (le premier jour du cycle étant le premier jour des règles) en ce qui concerne la FSH, LH, 17 Bêta Oestradiol, Progestérone, Inhibine B.
Bien qu'il soit possible que les hormones jouent un rôle dans l'apparition de ces symptômes, ceux-ci peuvent également être causés par une multitude de facteurs, notamment le sommeil, le stress, l'alimentation et le niveau d'activité.
Définition. Le dérèglement hormonal est un trouble caractérisé par une quantité anormale d'une ou de plusieurs hormones circulant dans le sang et qui perturbent le bon fonctionnement physiologique ou métabolique. Elles sont en trop grande quantité ou, à l'inverse, en trop faible quantité.
Un déséquilibre de production des hormines peut avoir différentes conséquences sur l'organisme (maladie, prise de poids, infertilité, troubles de l'humeur...), notre santé et notre qualité de vie.
Les estrogènes dans le traitement hormonal de la ménopause
Il est le plus souvent prescrit en association avec la progestérone ou un de ses dérivés (voir ci-dessous). L'estriol (PHYSIOGINE) est un estrogène également prescrit dans le traitement de la ménopause. Ses effets à long terme ne sont pas connus.
Le stress fait passer notre corps en mode survie. Cela a des répercussions négatives sur les hormones, affectant à leur tour l'ovulation et, bien sûr, les règles. Le stress peut retarder les règles, rallonger ou raccourcir le cycle menstruel, voire entraîner une absence de règles.
la norépinephrine (ou noradrénaline), qui gère l'attention et le sommeil ; la dopamine, responsable de la régulation de l'humeur ainsi que de la motivation ; le Gaba mais aussi certains neuromodulateurs, le plus souvent des peptides, joueraient également un rôle.
On pourrait ajouter que le principal élément du bilan hormonal, en cas de surpoids manifeste, peut se limiter a priori à l'exploration thyroïdienne de base, à l'insulinémie et au taux de vitamine D.
FSH = hormone folliculo-stimulante; GnRH = gonadotropin-releasing hormone (gonadolibérine); LH = hormone lutéinisante.
LA FSH (hormone de stimulation folliculaire) est une hormone synthétisée par l'hypophyse, une petite glande située à la base du cerveau. La FSH est associée au cycle menstruel et développement des ovules chez la femme et à la production du sperme chez l'homme.
Qu'est-ce qu'un bilan hormonal? Le bilan hormonal est un test sanguin qui mesure les niveaux de testostérone, de FSH, de LH, de prolactine, de TSH, d'œstradiol et de cortisol, les hormones produites par l'hypophyse, l'hypothalamus et les testicules et qui jouent un rôle clé dans la production de spermatozoïdes.
Si vous souffrez d'un déséquilibre hormonal passager ou chronique, votre médecin traitant vous orientera vers un endocrinologue. Spécialiste des hormones, l'endocrinologue étudie et traite de nombreuses affections allant des dérèglements thyroïdiens au diabète, en passant par les troubles de la ménopause et l'obésité.
Manger beaucoup d'antioxydants – (légumes et fruits frais) car les hormones sont sensibles au stress oxydatif. Faire le plein d'omega-3 (huile de lin, colza, poisson gras, chia) qui favorisent l'équilibre en luttant contre l'insulinorésistance et l'inflammation.
Oestrogènes et progestérone, les hormones qui font gonfler
Au cours de la 2de phase du cycle, juste après l'ovulation, les taux d'œstrogènes et de progestérone augmentent pour préparer la nidation de l'œuf et arrêter la libération de deux autres hormones, la FSH et la LH.
En cas de dénutrition, le médecin demande des examens biologiques réalisés par prise de sang : dosage de l'albuminémie qui permet d'évaluer la sévérité de la dénutrition, analyse du fonctionnement du foie, des reins…
La sérotonine et le GABA sont les 2 principales molécules « messagères » entre les neurones (« neurotransmetteurs ») qui sont impliquées dans les états anxieux. Ce sont de fait les cibles communes des médicaments « anxiolytiques ».
Les signes psychiques d'une baisse de sérotonine
Absence de plaisir, d'enthousiasme, de dynamisme. Sautes d'humeur, du lunatisme, passer du rire aux larmes. Dépression, de la mélancolie, envie de rien. Anxiété, du stress, de la nervosité.
Taux de vitamine D bas et troubles de l'humeur
Ainsi, en février 2013 par exemple, une méta-analyse portant sur un total de 31 424 participants concluait qu'une concentration trop basse de vitamine D dans le sang était associée avec la dépression [CS2].
Comment savoir si j'ai un manque de progestérone ? Certains symptômes comme un cycle court, des spottings réguliers, des épisodes depressifs fréquents, de la fatigue chronique, les insomnies... sont des indicateurs assez fiables d'un manque de progestérone.