Le bassin de rétention des eaux pluviales a pour but de limiter les apports importants d'eaux pluviales au réseau, en écrêtant l'apport en eau dans les réseaux ou le milieu naturel afin d'éviter la saturation des réseaux d'assainissement, le débordement des déversoirs d'orage, et finalement des chocs de pollution vers ...
Les bassins de rétention sont un type d'ouvrage de gestion des eaux pluviales (OGEP). Ils sont conçus pour entreposer temporairement les eaux pluviales avant de les rejeter à débit contrôlé dans un cours d'eau.
Les bassins enterrés s'installent indifféremment : Sous chaussées ou sous espaces verts. En zone urbaine ou en zone péri-urbaine.
Les associations de propriétaires, les aménagements commerciaux et tout site comportant un bassin de gestion des eaux pluviales ou un plan de gestion optimisée construit sont généralement responsables du soin et de la gestion de ces installations, y compris l'inspection régulière des eaux pluviales.
Afin de dimensionner le bassin, il faut tout d'abord déterminer son débit de fuite (Q) qui dépend de sa surface et de la perméabilité des terrains. La surface du bassin (S) est de 500 m². Les sols du secteur présentent une perméabilité minimum (C) de l'ordre de 5. 10-6 m/s.
La quantité totale d'eau retenue dépend essentiellement de la texture du sol et de sa profondeur. Ainsi, par exemple, un sol argilo-calcaire d'une profondeur de 400 mm , d'une densité de 1,2 et d'une capacité de rétention de 30 g d'eau pour 100 g de terre fine et sèche retiendra : 400 x 1,2 x 30 % = 144 mm.
Exemple pour 2 bidons (un bidon de 200 L, l'autre de 150 L) : - 100% de la capacité du plus grand réservoir = 200 L - 50% de la capacité des réservoirs associés = 50% x (200 + 150) = 175 L On retient la plus grande valeur. Il faut donc choisir un bac de rétention de 200 L.
Un bassin de rétention peut être réalisé sous de multiples formes, simple décaissement (étanche ou non), sur-dimensionnement des canalisations de collecte, ouvrages de génie civil, utilisation de SAUL (Structure alvéolaire ultra-légère) qui sont des modules de stockage à fort taux de vide (95 %) pour la rétention ...
Bassin de plus 100 m2 ou de plus de 2 mètres de profondeur : vous devez faire une demande de permis de construire en remplissant le formulaire Cerfa n°13406*06 et le transmettre à votre mairie.
L'article 681 du Code civil dit que « tout propriétaire doit établir des toits de manière que les eaux pluviales s'écoulent sur son terrain ou sur la voie publique ; il ne peut les faire verser sur le fonds de son voisin. » Autrement dit, l'eau de pluie doit être canalisée sur votre terrain grâce à des gouttières.
Les bassins d'infiltration enterrés visent à stocker temporairement les eaux de ruissellement sous terre. Les eaux de ruissellement arrivent par l'intermédiaire de bouches à décantation et de tuyaux d'injection connectés aux autres structures de collecte des eaux pluviales.
Il est conseillé d'installer les puits d'infiltration à une distance minimum de 5 mètres de l'habitation et de 3 mètres de la limite de parcelle. Il est également conseillé d'éloigner l'ouvrage à une distance minimale de 3 mètres des arbres ou des arbustes, afin d'éviter la pénétration de racines.
Un puisard doit d'abord se trouver à au moins 5 mètres de votre habitation ou de celle de vos voisins. De la même manière, il ne peut pas être installé à moins de 30 mètres d'un puits ou d'un point de captage d'eau. Il faut également éviter de le placer près d'arbres car leurs racines pourraient l'endommager.
Les bassins naturels de baignade sont imposables à la taxe foncière sur les propriétés bâties ainsi qu'à la taxe d'habitation, en tant qu'éléments d'agrément bâtis formant dépendance, pour autant qu'ils constituent des éléments bâtis au sens de l'article 1380 du CGI.
La différence entre le bassin et la piscine réside principalement dans l'utilité qui est faite de ces deux éléments. Si la piscine est destinée aux joies de la baignade, le bassin a vocation à abriter un écosystème végétal et animal. Voire à simplement revêtir une fonction décorative.
Le permis de construire est obligatoire pour toutes piscines enterrées de plus de 100 m2 ou avec un abri de plus de 1,80 m de hauteur. Également, pour une piscine intérieure ou sous un abri de piscine de plus de 20 m2, le permis est obligatoire.
- Si produits inflammables (hors lubrifiants) : Si stockage de moins de 800L (inclu) : 100% de rétention. Si stockage de 800L à 1600L (inclu) : 800L de rétention. Si stockage de plus de 1600L : 50% de rétention.
Capacité d'un élément à contenir un autre élément en n'en laissant filtrer qu'une partie. Exemple : Sachant que la capacité de rétention de ce sol est presque nulle, qui peut me donner les conséquences sur les terres situées en dessous ?
Le matériau du bac de rétention doit correspondre parfaitement au liquide stocké. Pour le stockage de substances polluantes et inflammables comme par exemple les huiles et peintures en fûts et cuves, il est recommandé d'utiliser des bacs de rétention en acier galvanisé ou peint.
La rétention d'eau, alias oedème, se manifeste par un gonflement du bas du corps, parfois des mains, des paupières, voire généralisé. Elle peut parfois entraîner une prise de poids de 1 à 10 kg, en peu de temps.
La rétention d'eau peut survenir après la prise de certains médicaments. C'est notamment le cas des traitements contre l'hypertension, des anti-inflammatoires, des traitements hormonaux ou encore de certains médicaments prescrits en cas de diabète.
Le massif drainant est généralement constitué de graviers ou de galets à 30% de porosité ou d'un matériau alvéolaire plastique à 90% de porosité. Afin d'éviter la migration de particules fines, un géotextile entoure ce massif.
Les ouvrages de gestion intégrée des eaux pluviales favorisant la décantation des matières en suspension, la filtration mécaniques des particules (bandes enherbées/végétalisées, granulométrie du sol) et la bio épuration par les micro-organismes du sol, sont généralement efficaces contre les pollutions chroniques.