Le tourisme noir est également un moteur économique et les recettes engrangées permettent souvent de faire vivre des régions entières. L'argument a d'autant plus de poids lorsqu'il concerne des zones récemment sinistrées, où ces fonds sont nécessaires à la reconstruction.
John Lennon (1996) ont nommé le « tourisme noir » (dark tourism).
Les conséquences environnementales
La généralisation du tourisme s'est accompagnée d'une hausse considérable des émissions de gaz à effet de serre produites par le secteur, principalement liée à l'utilisation de moyens de transports très polluants tels que l'avion ou les bateaux de croisière.
Par conséquent, le tourisme international peut participer à la réduction de la pauvreté et à la promotion du développement socioéconomique. Le tourisme est un moyen économique de se développer et de s'intégrer à la mondialisation.
Le tourisme comprend les activités déployées par les personnes au cours de leurs voyages et séjours dans des lieux situés en dehors de leur environnement habituel pour une période consécutive qui ne dépasse pas une année, à des fins de loisirs, pour affaires et autres motifs non liés à l'exercice d'une activité ...
Tourisme rural – désigne tous les voyages qui se déroulent dans des lieux ruraux ou naturels. Tourisme culturel – visant à découvrir les villes d'art. Tourisme balnéaire – ayant comme destination la mer et les stations balnéaires.
Il existe de nombreux types de touristes dans le monde entier, ils peuvent être classés par catégories sociales, démographiques, culturelles, économiques et autres.
Pollution : La pollution, on l'a vu, est l'un des impacts négatifs du tourisme le plus important. Notamment les déchets solides, les eaux usées et les émissions de gaz à effet de serre, peuvent avoir des effets néfastes sur les monuments historiques et les sites naturels.
Les risques immédiats concernent les guerres, les attentats, les épidémies, l'hygiène et toute forme de terrorisme. Les risques environnementaux constituent un des défis du tourisme pour le prochain siècle.
Et comme n'importe quelle industrie, elle émet de la pollution : de l'air, de l'eau, bruits, déchets, résidus chimiques… A titre d'exemple, un bateau de croisière produit 7000 tonnes de déchets par an. Le tourisme, c'est aussi 60% du trafic aérien, et est donc une source majeure d'émission de gaz à effet de serre.
De quoi relancer, en parallèle, la « tourismophobie » ou la touristophobie, qui désignent l'aversion vis-à-vis du tourisme et/ou des touristes, que semblent démontrer les cas de Barcelone ou Venise, avec le thème du surtourisme (overtourism).
C'est un moyen de permettre le développement économique de nombreux pays. C'est également une opportunité pour tout un chacun de découvrir des paysages magnifiques, se confronter à de nouvelles cultures et de différents modes de vie.
Les facteurs qui ont contribué à la propagation du tourisme massif, sont entre autres la hausse du niveau de vie, l'allongement des congés payés, la diffusion de l'automobile et le développement des infrastructures routières, le développement de moyens de transports aériens pas cher comme les vols charter, le ...
Pompeii dark tourism
Le tourisme sombre fait référence à un type de tourisme qui implique de visiter des endroits qui ont une réputation plus sombre et morbide. Les exemples incluent les ruines de Pompéi, la catastrophe nucléaire de Tchernobyl et le camp de concentration d'Auschwitz.
Le Dark Web permet essentiellement de rendre possible la liberté d'expression, d'information et d'échange totale fondée sur la sécurité de l'anonymat, et permet donc à chacun de lire comme de publier du contenu. On y trouve ainsi beaucoup de ressources légales, qui y sont cachées pour lutter contre la censure.
Adjectif. Obscur, sombre. Sombre, noir (en parlant d'une atmosphère). Foncé (en parlant d'une couleur).
Le tourisme joue un grand rôle sur le développement social par la création d'emplois, la redistribution des revenus et la réduction de la pauvreté. De nombreux autres avantages sont tirés du tourisme, aussi bien au niveau environnemental que social.
Le secteur du tourisme est un moteur important de la croissance économique, du développement des entreprises et de la création d'emplois, en particulier pour les femmes, les jeunes, les travailleurs migrants et les communautés locales.
En effet, il est responsable de 8% des émissions mondiales de gaz à effet de serre, soit 3.9 milliards de tonnes de CO2 chaque année. Outre l'empreinte carbone, le tourisme de masse est aussi responsable de la mise en danger d'animaux sauvages.
La saisonnalité du tourisme, qui s'échelonne sur une durée d'environ trois mois, ainsi qu'une offre caractérisée par une grande consommation de ressources et une importante production des déchets, sont les principales causes de l'impact environnemental.
Par ailleurs, le tourisme est, dans certaines zones très fréquentées, fortement consommateur de ressources naturelles : énergie, eau, alimentation, matières premières. Il exerce une pression sur les écosystèmes, notamment sur les plus fragiles. Il génère des polluants et des déchets.
Le tourisme bleu
Aussi appelé tourisme maritime (croisières, plaisance, sports nautiques, etc.) ou côtier (plage, activités de loisirs, etc.). Les destinations souhaitent valoriser leurs ressources liées à la mer, au port, au fleuve… très présentes dans leur culture et leur identité locale.
Le tourisme balnéaire constitue la forme de tourisme la plus répandue dans le monde et est principalement associé aux stations balnéaires.
En somme, le tourisme de luxe est une forme de voyage haut de gamme qui offre une expérience de voyage unique et inoubliable. Il se caractérise par des prestations exclusives, personnalisées et axées sur la qualité supérieure, avec une attention particulière accordée aux détails.