Les guerres religieuses en Allemagne[modifier | modifier le wikicode] Fervent catholique, Charles Quint doit faire face à l'apparition d'une nouvelle confession chrétienne, le luthéranisme, dont vont se réclamer de nombreux princes allemands qui désirent échapper à l'autorité de l'empereur.
Catholique, Charles Quint fait face à la montée en puissance de la religion protestante. De nombreux princes allemands se réclament de la doctrine et de la pensée de Martin Luther et vont réclamer l'autonomie pour leurs États.
Charles Quint est inquiet car il va déclarer la guerre à François 1er. Il a donc besoin du soutien de ces Etats. Il craint une révolte s'il arrête Luther. C'est dans ce contexte, compliqué, que Charles Quint convoque Luther à la Diète de Worms les 17 et 18 avril 1521.
Charles Quint règne alors sur un immense empire, celui « où le soleil ne se couche jamais ». Sa vie et son oeuvre s'identifient à quarante années d'histoire européenne, voire mondiale. Avec un grand rêve à réaliser : réunifier la chrétienté.
La lutte incessante contre l'Empire de Soliman le Magnifique
C'est un roi très croyant, c'est donc aussi au nom de la défense de la chrétienté qu'il combat l'Empire ottoman. Pendant tout son règne, Charles Quint va se battre contre Soliman le Magnifique pour préserver son empire et défendre la chrétienté.
Les protestants ne font pas appel à des intercesseurs comme Marie ou les saints dans leurs prières. Selon eux le croyant est seul responsable devant Dieu et ne doit pas passer par des intermédiaires pour dialoguer avec Lui. Ils croient que Jésus est le seul intermédiaire entre Dieu le Père et eux-mêmes.
Ils ne croient d'ailleurs qu'en l'autorité de la Bible et non plus à celle du pape contrairement aux catholiques. Autre différence : les protestants ne vouent pas une adoration pour la Vierge Marie. Ils croient en la conception virginale, c'est-à-dire le fait qu'elle ait conçu Jésus en restant vierge.
En octobre 1517, le moine augustin Martin Luther affiche ses 95 thèses contre les indulgences papales sur la porte du château de Wittenberg (Saxe). Cet acte de rupture est considéré comme le début d'un mouvement de réforme, jetant les bases d'une nouvelle religion chrétienne, le protestantisme.
Le Saint Empire romain germanique remonte au sacre du duc de Saxe Otton le Grand, le 2 février 962, à Rome. Le duc reçoit ce jour-là du pape le titre d'« Empereur et Auguste » en récompense des services rendus à la papauté et de ses victoires sur les envahisseurs hongrois.
Ainsi, on a pu dire que le soleil ne se couchait jamais sur ses possessions, celles-ci s'étendant sur toute la surface du globe. Malgré tous ces atouts, ou à cause d'eux, l'empereur va aller tout au long de sa vie de déconvenue en déconvenue, ce qui explique en bonne partie son choix d'abdiquer.
On connaît la légende. Jeanne de Castille, éperdument éprise de Philippe de Bourgogne, son mari, en devint jalouse à l'excès, et sa jalousie la rendit presque folle.
Les catholiques, les protestants et les orthodoxes considèrent Noël comme une fête importante, car elle marque la naissance de Jésus. Pour ces trois religions, Jésus est le fils de Dieu venu dans le monde pour aider tous les hommes.
Bien que le signe de croix soit antérieur au concile de Nicée, il fut rejeté par quelques-uns des Réformateurs comme étant une pratique catholique, et cela en dépit de la vision positive qu'en avait Martin Luther, de la prescription faite par le Livre de la prière commune et le Code de droit canonique anglican de 1604.
Qu'est-ce qui différencie catholiques et protestants? La divergence fondamentale tient dans le principe édicté par Luther «sola scriptura», «seule l'Écriture» compte. À savoir la Bible et non pas l'Église catholique dont l'un des objets est d'interpréter la Bible pour ses fidèles.
Le 31 octobre 1517, sur la porte de l'église du château de Wittenberg, en Saxe, un moine allemand affiche 95 thèses où il dénonce les scandales de l'Église de son temps. Sans s'en douter, Martin Luther, ce faisant, va briser l'unité de l'Église catholique et jeter les bases du protestantisme.
En dehors de cet aspect, les pentecôtistes croient comme tous les chrétiens protestants, catholiques ou orthodoxes que le Saint Esprit est la troisième personne de la Trinité divine.
Le statut spécial de Marie, mère de Dieu*, même si le dogme de l'Immaculée conception chez les Catholiques n'est pas reconnu comme tel par les orthodoxes qui reconnaissent toutefois “la maternité divine de la Toute Pure Vierge-Marie, Mère de Dieu”.
ÉCLAIRAGE - Considérant la dévotion catholique à Marie comme étant excessive, les protestants rejettent la notion d'une montée au ciel de la Vierge. Une statue de Martin Luther, un des initiateurs du protestantisme, en Allemagne.
La Bible, qui veut dire livre, désigne le recueil des textes sacrés des textes chrétiens et juifs. Il n'existe pas une, mais des Bibles, selon les confessions et les religions.
Cependant, il faut convenir que, dans le langage courant, être catholique signifie, en général, être né dans une famille appartenant à cette tradition, tandis qu'être chrétien, au sens propre du terme, signifie s'être volontairement et sciemment tourné vers Jésus-Christ.
Les deux souverains, Charles Quint et Soliman, s'affrontent une première fois lors du siège de Vienne (1529). L'armée ottomane, mal préparée, subissant les conséquences des pluies et inondations, échoue à prendre la ville défendue par une armée commandée par Charles Quint lui-même.
Charles Quint, qui a épousé Isabelle de Portugal en 1526, règne sur le Nouveau Monde comme sur l'Ancien. Ses possessions et ses origines font de lui avant tout un monarque européen. On dit de lui qu'il parlait aux hommes en français, italien aux femmes, espagnol à Dieu et allemand à son cheval.
Barberousse a tué et capturé de nombreux chrétiens pour en faire des esclaves. Le pape encourage donc l'expédition de Charles Quint en pardonnant les pêchés de ceux qui s'engagent pour vaincre Barberousse.
Marie (mère de Jésus)