Jouer permet à l'enfant d'apprendre à vivre avec les autres. Quand il joue avec d'autres enfants, un tout-petit apprend à partager, à attendre son tour, à faire des compromis et à régler de petites chicanes. Quand il joue, l'enfant apprend à dire de nouveaux mots, à exprimer ses idées et à se faire comprendre.
Les nombreux bienfaits du jeu
Il favorise le développement : des fonctions exécutives du cerveau : la planification, l'inhibition, la mémoire de travail, l'attention. du langage oral et écrit : apprendre de nouveaux mots, exprimer ses idées et se faire comprendre.
Le jeu nous permet de progresser, comme vu plus haut dans l'aspect « objectif ». Mais le jeu nous donne surtout la possibilité de visualiser cette progression. Il nous donne un sentiment d'accomplissement, d'élévation, puisque souvent des niveaux supérieurs sont atteints.
Habituellement, les gens prennent part à un jeu de hasard et d'argent dans le but de gagner un montant d'argent ou un objet qu'ils convoitent. Certaines personnes jouent aussi pour le plaisir ou l'excitation que cela leur procure.
Le jeu est une activité, humaine ou animale, pratiquée pour se divertir.
Le jeu : source de plaisir et de détente
Le jeu permet de s'amuser, de rire et aussi d'oublier les contraintes habituelles en matière de règles ou de temps. Seul ou avec d'autres personnes (enfants ou adultes), inventer un jeu est une source d'évasion et donc de bien-être.
Le jeu a une place prépondérante dans nos vies. L'être humain aime se divertir, jouer, exciter son adrénaline, se distraire, et ça depuis sa plus tendre enfance. Que ce soit à l'âge de 5 ans avec ses LEGO®, à 17 ans avec ses jeux vidéos, ou à la trentaine, le jeu fait parti de la vie des HOMMES. Chaque âge à ses jeux !
Imaginer, contrôler, résoudre, progresser, risquer, partager, créer, prendre du plaisir ? Si le jeu revêt de multiples formes à travers les époques et les cultures, jouer est une manière d'agir et d'être.
Grâce au jeu, l'enfant apprend à coopérer et à adopter un comportement socialement approprié. La simulation renforce les compétences sociales de l'enfant en lui permettant de s'autoréguler, de faire face au stress et de parler de ses émotions.
Jouer, c'est également se mettre dans sa “bulle”, c'est oublier l'ennui et les ennuis. Le jeu peut prendre des allures d'antidépresseur, fort cher et aux effets secondaires indésirables. La recherche de plaisir et de gain stimule la plupart des joueurs au début. Peu à peu pourtant, les motivations changent.
Le "jeu pathologique" pourrait être le fruit d'une "mauvaise rencontre" entre un individu fragile, insatisfait, et une offre commerciale aguichante. Certains produits semblent plus addictifs que d'autres. C'est notamment le cas de jeux de hasard et d'argent.
L'amusement. Jouer à des jeux vidéo nous amuse, nous dit la psychologie. Pour certains joueurs, c'est se mesurer à différents adversaires qui est amusant. Pour d'autres, c'est le fait de passer du temps entre amis.
Le jeu permet le développement moteur, social, intellectuel, sensoriel et il favorise également l'apprentissage du langage.
1. Activité d'ordre physique ou mental, non imposée, ne visant à aucune fin utilitaire, et à laquelle on s'adonne pour se divertir, en tirer un plaisir : Participer à un jeu.
Il est connoté négativement. Peut-être à cause de son lien passé avec les jeux de hasard et d'argent. Peut-être aussi parce qu'il évoque le désœuvrement : pendant qu'il joue, l'adulte ne fait rien de productif. Enfin, peut-être est-ce dû à certains de courants de la psychologie qui en font l'apanage de l'enfance.
Il permet aux enfants d'exercer leur autonomie, d'agir sur le réel, de construire des ficQons et de développer leur imaginaire, d'exercer des conduites motrices, d'expérimenter des règles et des rôles sociaux variés.
À travers ses manifestations diverses, le jeu apparaît en définitive comme une manière de prendre quelque distance à l'égard des déterminations qui, dans la vie sociale courante, fixent l'individu à sa place et le situent dans le monde qui l'entoure.
le jeu permet à l'enfant de développer des méthodes de travail, de suivre une logique, un raisonnement; le jeu permet de stimuler diverses compétences en même temps: le verbal, le mental, la logique, le calcul... le jeu donne à l'enfant un but précis, concret et l'incite à s'impliquer dans celui-ci.
Il donne à l'enfant l'occasion d'apprendre sans crainte de se tromper et d'appliquer concrètement des notions plutôt difficiles à comprendre. Sans oublier le plaisir qu'il procure et qui agit comme un véritable moteur sur la motivation et la confiance en soi (deux facteurs indispensables au succès scolaire).
joueur adj. Qui aime jouer, s'amuser.
Ludophiles, ludopathes, ludologue ne me gêne pas, à condition de respecter le sens commun de ces "post-fixes".
But du jeu
Le meneur du jeu doit choisir un personnage, un objet, un animal ou autre. Une fois trouvé, il l'écrit sur un papier qu'il gardera caché pendant toute la durée du jeu. Les autres joueurs peuvent poser des questions au meneur de jeu afin de trouver le « Qui suis-je ? ».
sur le joueur lui-même. Le joueur excessif peut vivre les états suivants : dépression, anxiété, culpabilité, colère, solitude, isolement, déception, perte d'estime de soi, perte de contrôle et idées suicidaires. Le joueur excessif peut ressentir différents malaises, souvent liés au stress.
Une pratique abusive des jeux vidéo comporte ainsi de nombreux risques : une exposition excessive aux écrans. Rester assis des heures chaque jour devant un écran, c'est exposer ses yeux à la lumière bleue : une lumière artificielle qui a un impact négatif réel sur la vision et sur le sommeil.