Il est nécessaire de boire beaucoup d'eau après l'examen (sauf indication contraire) afin d'éliminer le produit de contraste.
Boire beaucoup d'eau avant et après l'examen (durant 2 jours) permettra à vos reins d'éliminer plus rapidement les produits injectés. L'éventuel hématome apparu au point d'injection se résorbera de lui-même.
Après l'IRM, vous pouvez rentrer directement chez vous. Si on vous a administré un produit de contraste, il vous sera peut-être demandé de rester à jeun quelques heures et de boire beaucoup au cours de la journée pour éliminer le produit rapidement.
Il faut maintenir une hydratation importante et on préconise en pratique de boire 2 litres d'eau riche en sodium et en bicarbonate (type Vichy St-Yorre) 24 heures avant et après l'examen.
Cas particulier (scanner du ventre notamment) : vous devrez boire une boisson contenant un produit opaque aux rayons X ou de l'eau tout simplement. Cette boisson doit être bue longtemps avant l'examen, ce qui peut expliquer que votre heure de rendez-vous soit distante de votre heure d'examen.
L'élimination se fait par filtration glomérulaire sous forme inchangée. Ces dernières années, on s'est rendu compte que les patients souffrant d'insuffisance rénale sont à risque de développer une affection appelée Fibrose systémique néphrogénique (FSN).
Boire de l'eau à composante salée et bicarbonatée reste la meilleure solution éliminer le produit de contraste. L'hydratation est par ailleurs très importante et très efficace pour préserver la fonction rénale. Elle s'adresse à tous les patients ayant eu une injection de produit de contraste.
Lors des essais cliniques, les effets indésirables peu fréquents (≥ 1/1 000 à < 1/100) les plus courants étaient nausées, maux de tête, réactions au point d'injection, sensation de froid, hypotension, somnolence, vertiges, sensation de chaleur, sensation de brûlure, éruptions cutanées, asthénie, dysgueusie et ...
Il est nécessaire de boire beaucoup d'eau après l'examen (sauf indication contraire) afin d'éliminer le produit de contraste.
Les images obtenues permettent une analyse fine des lésions, leur visualisation dans les 3 plans de l'espace et leur reconstruction en 3 dimensions. La finesse des images est de 0,6mm ce qui permet de voir même des lésions de très petite taille.
IRM : qu'est-ce que c'est ? L'IRM est un examen de santé extrêmement précis. Contrairement au scanner, une IRM a l'avantage de ne pas exposer le patient aux rayons X.
En 2013, il fallait attendre 30,5 jours contre 37,7 jours aujourd'hui. Une réalité éloignée des préconisations du nouveau Plan Cancer 2014-2019 qui souhaite porter à 20 jours le délai moyen d'accès à une IRM.
Enfin, si vous avez reçu un produit de contraste, veillez à boire deux litres d'eau durant le reste de la journée (sauf avis contraire de votre médecin). Cela permet une élimination rapide du médicament.
Dans certains cas, la réalisation d'une IRM nécessite l'injection d'un produit de contraste (le plus souvent à base de gadolinium, un métal faisant partie des terres rares). Cette substance opacifie des éléments du corps, pour les rendre visibles sur les images enregistrées pendant l'examen.
Le gadolinium naturel est constitué des six isotopes stables 154Gd, 155Gd, 156Gd, 157Gd, 158Gd et 160Gd et du radioisotope primordial 152Gd (qui se désintègre par radioactivité α avec une demi-vie de 1,08 × 1014 années).
Allons droit au but: l'IRM ne présente aucun risque pour la santé, car elle n'utilise pas de rayons X nocifs. L'IRM utilise un champ magnétique puissant et des ondes radio pour générer une image anatomique détaillée de certaines parties internes du corps sans besoin d'intervention chirurgicale.
Une pathologie rénale va donc retarder son élimination, et accroître alors ses risques de toxicité en s'accumulant dans l'organisme. Pour déterminer s'il s'agit ou non d'une contre-indication pour passer une IRM, un bilan rénal sanguin est effectué au préalable, avec dosage de la créatinine et mesure de sa clairance.
Les manifestations allergiques peuvent être immédiates : signes cutanés (érythème, urticaire), signes respiratoires (dyspnée laryngée, œdème de Quincke), signes digestifs (nausées, vomissements, diarrhées) et signes cardiovasculaires (tachycardie, hypotension artérielle jusqu'au collapsus cardiovasculaire).
IRM avec injection pourquoi ? Le choix d'une IRM avec ou sans injection dépend principalement de la nature des organes que le radiologue va devoir explorer. Pour visualiser par exemple des structures vasculaires comme les coronaires, l'injection d'un produit de contraste est obligatoire.
Ces produits de contraste qui sont utilisés à l'IRM, contiennent du gadolinium qui est spontanément visible en IRM. Ce sont des produits injectés par voie veineuse après la pose d'un cathéter au niveau d'une veine du bras ; ils sont alors transportés par le sang jusqu'à l'organe à explorer.
Pour réaliser une IRM avec injection, deux ordonnances vous sont remises : - une pour la prise de sang (créatinine, urée) à réaliser plus ou moins 5 jours avant l'examen. Il n'est pas nécessaire d'être à jeun.
Une IRM commence toujours par des séquences sans injection. Il est possible que les images ainsi obtenues soient suffisantes pour répondre aux indications prescrites par votre médecin. Si c'est le cas, l'examen se termine et ne nécessitera pas d'injection.
Lorsque une tumeur est détectée, l'IRM permet aussi de mieux se rendre compte de ses caractéristiques et de contrôler l'efficacité de certains traitements. Certains examens sont réalisés après l'injection d'un produit de contraste pour mieux visualiser les vaisseaux ou les anomalies dans les organes.
La différence entre la tomodensitométrie et l'IRM est que la tomodensitométrie utilise des rayons X tandis que l'IRM utilise des ondes radio et un champ magnétique. Le type de scanner que vous choisissez dépend de ce que vous recherchez dans votre diagnostic.