Il existe plusieurs typologies de fonds climat.
Pour cela, il se concentre sur huit « éco-secteurs » tels que l'économie circulaire, l'agriculture bio & les forêts et les bâtiments verts. Ces activités doivent représenter au moins 10 % du chiffre d'affaires des entreprises en portefeuille.
Avec des villes comme Lyon ou Grenoble, la région Rhône-Alpes devrait en être la principale bénéficiaire : la croissance de sa population sera de 16,8 %. Elle sera, en 2030, la région la plus peuplée après l'Ile-de-France avec 6,9 millions d'habitants.
Le climat méditerranéen serait remonté jusqu'à la région du centre de la France, attirant de nombreux touristes à Mâcon, Dijon ou Beaune. Les lacs et les cascades du Jura seront idéaux pour se rafraîchir. La baie de Somme, elle, remplacerait la destination du bassin d'Arcachon, dont l'air serait devenu trop suffocant.
Les seuls endroits qui pourraient retarder un peu le moment où ça va être compliqué sont la Bretagne et la Normandie, les endroits les plus pluvieux et tempérés avec le front de mer, relève-t-il aussitôt. La partie est bel et bien terminée aujourd'hui ».
Selon les scientifiques, les eaux qui entourent les Pays-Bas pourraient monter de plus d'un mètre d'ici 2100 (1). Cela signifie qu'une proportion importante du territoire néerlandais, dont le tiers se situe sous le niveau de la mer, pourrait disparaître au cours des prochaines décennies.
Et d'ici 30 à 50 ans, plusieurs zones pourraient devenir inhabitables, en raison d'un indice wet bulb supérieur à 35°C. Ce pourrait être le cas, d'ici 2050, de l'Asie du Sud, du golfe Persique (Iran, Oman, Koweït), des pays bordant la mer Rouge (Égypte, Arabie saoudite, Soudan, Éthiopie, Somalie, Yémen).
En Europe, Londres (Royaume-Uni) ou encore Venise (Italie) ne sont pas en reste. En France, des villes comme Bordeaux et ses alentours, la région de Saint-Nazaire et les villages de la côte montpelliéraine pourraient être les premières à disparaître sous les eaux.
Selon les scientifiques, le nord de la France (Nord et Pas-de-Calais) serait la région la plus touchée, avec la submersion des villes de Dunkerque, Grande-Synthe, Calais et Saint-Omer. Une région, où près de 400.000 individus vivent sous le niveau de la mer.
D'après l'OMS (organisation Mondiale de la Santé), la Costa Blanca bénéficie d'un des climats les plus sains au monde ! La Costa Blanca est une destination très prisée, que ce soit pour y passer des vacances, comme pour passer sa retraite en Espagne.
Ce sera le cas du sud de l'Asie, du golfe Persique (Iran, Oman, Koweït), et des pays bordant la mer Rouge (Égypte, Arabie saoudite, Soudan, Éthiopie, Somalie, Yémen) dès 2050. L'est de la Chine, une partie de l'Asie du Sud et du Brésil devraient également dépasser régulièrement un indice wet bulb de 35 °C d'ici 2070.
Les villes situées dans l'hémisphère Nord sont celles qui vont connaître les évolutions climatiques les plus spectaculaires au cours des trente prochaines années. Londres, Madrid, Zurich et Paris font partie du lot.
Surpopulation ou extinction : en 2030, nous serons 8,5 milliards sur Terre.
2030, c'est une planète de 8,3 milliards d'habitants (contre 7,1 à la fin de 2012), une planète vieillissante et de plus en plus urbanisée puisque, comme l'avait annoncé une étude publiée en septembre dont je m'étais fait l'écho, environ 5 milliards d'humains vivront alors en ville.
On parle aussi souvent du Puy-de-Dôme, de la Creuse, de la Corrèze, du cœur la Bretagne et de la Normandie, d'une partie de l'Angleterre et même de la Cordillère des Andes…
La région la plus menacée par la montée des eaux est l'Asie, révèle l'étude qui vient de paraître dans Nature Communications. Plus des deux tiers des populations concernées se trouveront en Chine, au Bangladesh, en Inde, au Vietnam, en Indonésie et en Thaïlande.
La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].
Dans le scénario intermédiaire, la France de 2100 pourrait être 3,8 °C plus chaude que celle du début du XXe siècle. Les étés pourraient être en moyenne 5 °C plus chauds par rapport aux décennies 1900-1930.
En 2050 la moitié des forêts de France sera soumise à un risque fort d'incendie en période estivale. Quand aux nuits tropicales (température minimale supérieure ou égale à 20°) il faudra s'attendre à en affronter plus d'une centaine par an dans le quart Sud-Est (contre seulement 2 nuits tropicales en 1960).
Baie du Mont Saint-Michel, Saint-Malo, Paimpol, Trégastel, Roscoff, Brest, Landerneau, Penmarc'h, Le Guilvinec, Lorient, la ria d'Etel, Plouharnel, Carnac, le Golfe du Morbihan, Damgan, Redon, toute l'embouchure de la Loire (dont le parc de Brière) jusqu'à Ancenis en passant par Nantes, Saint-Herblain ou Rezé et bien . ...