Les essais ont révélé la présence de substances chimiques dans les tampons, les coupes menstruelles, les serviettes hygiéniques et/ou les protège-slips mais sans dépassement des seuils sanitaires. L'Anses ne met donc pas en évidence de risque lié à la présence de ces substances.
Ce syndrome peut apparaître quand le Staphylococcus aureus infecte des tissus (par exemple, au niveau d'une blessure) ou quand il se développe simplement dans un tampon (particulièrement les tampons super-absorbants) dans le vagin.
Pour éviter ce syndrome du choc toxique menstruel, il est fortement conseillé de ne jamais porter un même tampon ou une même coupe menstruelle plus de six heures consécutives, et de privilégier les protections externes, de type serviette hygiénique, la nuit.
Également appelé “maladie du tampon”, le syndrome choc toxique (STC) lié aux règles est une maladie infectieuse grave pouvant survenir au cours des règles. Elle est causée par une bactérie, le staphylocoque doré, suite à une mauvaise utilisation de dispositifs vaginaux tels que les tampons ou coupes menstruelles.
«Le choc toxique commence au moment où il y a une hypotension -une tension très basse», explique le Dr Gérard Lina. Les symptômes cliniques principaux peuvent être soit ceux de la grippe avec fièvre, maux de tête, douleurs musculaires, soit ceux de la gastro-entérite (diarrhées, vomissement, fièvre).
La serviette se change toutes les 4 heures en moyenne, ou plus si votre flux est important, comme en début de règles par exemple. La porter plus de 4 heures favorise la macération du sang et donc la prolifération des bactéries, les irritations et les odeurs désagréables.
Tampon oublié : dangers, que faire ? Une mauvaise utilisation du tampon (un tampon oublié ou laissé trop longtemps dans le vagin) peut entraîner ce qu'on appelle "le syndrome du choc toxique" ou SCT.
Porter un tampon la nuit est sans danger, à condition de ne pas le garder pendant plus de huit heures d'affilée. Ainsi, changez votre tampon juste avant de vous coucher et mettez votre réveil pour vous assurer de l'enlever huit heures après.
Pourquoi est-ce que je ressens une douleur quand je mets un tampon ? Certaines filles ont du tissu « supplémentaire » qui peut empêcher l'insertion des tampons. C'est ce qu'on appelle un hymen cloisonné et la « bande » de tissu qui se trouve au centre est appelée « septum ».
La septicémie se produit lors de la propagation dans le sang d'une infection, initialement localisée quelque part dans l'organisme. Les vaisseaux sanguins commencent alors à fuir, la tension artérielle chute et les organes reçoivent une quantité insuffisante d'oxygène, ce qui entraîne une défaillance de ces organes.
Symptômes et signes
Une infection locale engendre une inflammation de la région infectée qui se traduit par une douleur, une rougeur, un œdème, la formation d'un abcès rempli de pus (infection à germes pyogènes), parfois une élévation de la température.
"Lorsqu'une infection bactérienne est suffisamment importante elle se signale toujours par de la fièvre plus ou moins élevée et entraîne des douleurs et autres symptômes qui dépendent de l'organe en cause : il peut s'agir de douleur pharyngée, de toux, de gêne respiratoire, de douleurs abdominales, diarrhée ou ...
Les tampons Tampax Mini sont spécialement conçus pour les jeunes filles qui souhaitent utiliser un tampon pour la première fois grace a leur applicateur mince qui facilite l'insertion. Ils sont aussi absorbants que les tampons réguliers. Les tampons Compak disposent d'un petit applicateur en plastique.
Il est possible de commencer à utiliser des tampons dès vos premières règles, ce qui peut être aussi jeune qu'à l'âge de 10 ans pour certaines filles. Ce qui compte, c'est votre niveau de confort.
Est-ce que je peux utiliser deux tampons Tampax® en même temps ? Non. N'utilisez qu'un seul tampon à la fois. Si vous avez besoin de protection plus importante pendant votre période de flux abondant, choisissez une taille plus grande de tampon ou utilisez une serviette pour éviter les fuites.
Généralement, la nuit vous êtes allongée la plupart du temps. Le sang ne peut donc pas s'écouler facilement par gravité et il s'accumule au niveau du vagin avant de sortir par trop-plein. C'est ce qui peut provoquer des fuites, car un saignement brusque peut ne pas être absorbé par votre protection hygiénique.
Le choc toxique staphylococcique est une maladie aigue grave pouvant survenir au cours des règles lors d'utilisation de dispositifs vaginaux (tampons, coupes menstruelles) chez des patientes souvent jeunes, en bonne santé et porteuses de la bactérie S. aureus productrice de TSST-1 au niveau vaginal.
Le choc septique correspond à une défaillance circulatoire aiguë se manifestant par une diminution brutale de la tension artérielle, provoquée par une infection bactérienne le plus fréquemment, mais parfois virale ou fongique (levures).
Caractéristiques de la réaction inflammatoire aigüe
La réaction inflammatoire est caractérisée par 4 signes cliniques invariables : rougeur ;gonflement ;chaleur ;douleur. C'est l'afflux de plasma sanguin vers le site de l'infection ou de la lésion qui est associé à ces symptômes.
À partir de 60°C, la chaleur tue une partie des microbes (avec un lavage en machine par exemple) ; À partir de 120°C, la vapeur d'eau tue également les microbes (avec un fer à repasser par exemple).
La plupart des bactéries peuvent croître sur des surfaces non vivantes comme des comptoirs de cuisine ou des téléphones. Les bactéries ne sont pas toutes nuisibles : plusieurs sont même essentielles à votre santé. Lorsque des bactéries infectieuses contaminent le corps, on peut devenir malade.
Le choc septique comprend une hypotension persistante (définie comme le besoins de vasopresseurs pour maintenir la pression artérielle moyenne ≥ 65 mmHg, et un niveau de lactate sérique > 18 mg/dL [2 mmol/L], malgré une réanimation volumique adéquate [1]