Avant la puberté, un fin duvet est présent au niveau des parties génitales. Lors de la puberté, la sécrétion d'androgènes entraîne la croissance de poils plus longs et plus épais. Les poils pubiens ont alors une densité élevée de 20 par cm (2) et une vitesse de pousse allant jusqu'à 0,4 mm par jour.
Selon ce médecin, le rasage des poils pubiens mènerait à l'inflammation des follicules pileux, ce qui plonge éventuellement la personne dans un cercle vicieux. En effet, garder une peau lisse et douce requiert des séances de rasage régulières. Seul problème : plus on se rase, plus la peau s'irrite.
Les papules perlées du gland correspondent à de petites élevures situées sur la couronne du gland, c'est-à-dire sur la base (la partie la plus large) du gland. Elles apparaissent à l'adolescence et ne provoquent aucun symptôme. Il ne s'agit pas d'une maladie, mais d'un aspect normal du gland chez certains hommes.
L'eau chaude rendra la séance d'épilation plus agréable. L'eau pénétrera à l'intérieur de la couche supérieure de la peau, elle assouplira les poils. Vous constaterez alors un minimum de résistance en utilisant les lames de rasoir.
En mangeant suffisamment et équilibré, et en vous reposant correctement, vous réduisez votre taux de stress … le pire ennemi de la pousse du poil. Si on met un peu les tracas de côté, bien se nourrir permet aussi d'éviter les carences, pour que votre organisme ne manque de rien pour faire pousser les poils à 200km/h !
L'âge physiologique se situe entre 8 et 13 ans. Chez le garçon la pilosité pubienne apparait environ 6 mois après le début de la puberté (caractérisé par l'augmentation du volume testiculaire au-delà de 4 mL). L'âge physiologique se situe entre 9 et 14 ans.
L'âge de pousse
En général, cet âge varie entre 14 et 17 ans ! Cependant, certains jeunes hommes voient pousser leurs premiers poils de barbe avant 14 ans, et d'autres devront attendre la vingtaine.
L'hirsutisme est généralement dû à des taux élevés d'hormones masculines (androgènes, comme la testostérone) ou à une sensibilité accrue aux taux normaux d'hormones masculines dans l'organisme. La testostérone stimule la croissance des poils du pubis et des aisselles.
Par souci de confort ou d'hygiène, les hommes sont de plus en plus nombreux à céder à l'élagage des parties intimes. Selon l'étude Gillette, 38 % des sondés se débarrasseraient des poils de l'aine. Si l'épilation complète des poils pubiens s'avère très hygiénique, elle n'est pas forcément requise.
La présence de poils peut entraîner de la chaleur, de la transpiration, voir de la macération, ce qui peut provoquer des rougeurs et des picotements. Ces démangeaisons pourraient être liées aux frottements de cette zone avec les vêtements, surtout s'ils sont serrés ou en matière synthétique.
En cas de phimosis, on ne peut pas découvrir le gland du pénis, car la peau qui le recouvre, appelée prépuce, est trop serrée à son extrémité. Le phimosis disparaît généralement avant cinq ans. S'il persiste ou s'il apparaît à l'âge adulte, il peut provoquer des complications.
La peau du gland est également très fine et très innervée ce qui en fait une zone essentielle à la stimulation sexuelle. Sur la face inférieure du gland se trouve un repli de peau reliant le prépuce à la base du gland, c'est le frein du prépuce (ou filet de la verge).
Mais généralement, on remarque quand même que les premiers duvets (c'est-à-dire des poils très fins) au niveau de la moustache et du menton apparaissent entre 12 et 14 ans, et que les premiers vrais poils arrivent autour de 15 à 17 ans. C'est donc entre ces âges-là qu'arrive le besoin de se raser pour la première fois.
Pourquoi devriez-vous vous raser le scrotum ? Premièrement les testicules ont beaucoup moins de poils qui poussent contrairement à l'abondance de poils pubiens. La première raison est donc esthétique. Si vous rasez, taillez vos poils pubiens, des testicules soyeuses et lisses seront plus harmonieuses et esthétiques.
Malheureusement, l'épilation et le rasage du pubis peuvent constituer un risque important de micro-blessures, qui de par leur emplacement, peuvent entraîner une infection et/ou transmettre des IST (infections sexuellement transmissibles) comme la chlamydia, la gonorrhée et les infections à papillomavirus (HPV).
glabre adj. Qui ne porte ni barbe ni moustache, qui est dépourvu...
Poilu est le surnom donné aux soldats de la Première Guerre mondiale qui étaient dans les tranchées. Ce surnom est typique de cette guerre et ne fut utilisé qu'en de rares et exceptionnels cas pendant la Seconde Guerre mondiale.
Enfin, sous l'effet du stress, une stimulation hormonale peut aussi provoquer la pousse soudaine de poils.
A l'adolescence, le corps fabrique des hormones sexuelles : les androgènes. Ce sont elles qui vont stimuler la pousse des poils. L'âge moyen du développement de la pilosité oscille entre 10 et 14 ans. La pilosité définitive dite adulte est atteinte vers 14 ou 15 ans.
La barbe de chinois et des hommes asiatiques pousse moins vite en raison de la culture et de leur génétique. Ainsi, l'évolution a fait son chemin, et il semblerait que les barbes d'asiatiques aient désormais un peu moins de barbe que d'autres. De plus, leur niveau de testostérone et de DHT est en général moins élevé.
La crème dépilatoire, et rien d'autre ! On laisse tomber l'épilation à la lumière pulsée pour les ados, le rasage et la décoloration des poils.
Les études scientifiques sont formelles, raser sa barbe n'a pas d'impact sur la pousse, la dureté ou l'épaisseur du poil. En raccourcissant votre barbe, vous n'intervenez en effet que sur la partie visible du poil et non sur la racine, le follicule qui est lui sous la peau et où se forme le poil.
La réponse de l'expert
Surtout, osez en parler à vos parents. Cela dit, cela ne me semble pas anormal, car à 13 ans, la puberté peut très bien ne pas avoir commencé encore chez un garçon. C'est seulement quand elle commence que les poils poussent, le pénis grandit, la voix change, et l'éjaculation finit par survenir.
« Ce qui compte est de nommer »
Le “zizi” pour les garçons ne pose de problème à personne. En revanche, pour les filles, que dire ? Certains choisissent de se taire (…). On féminise le plus souvent le “zizi”, qui devient “zézette”.