Une fois l'avis de contravention reçu, vous payez ou vous contestez. A cet effet, il est recommandé de ne pas signer le PV, car votre signature vaut acceptation et empêche toute contestation ultérieure. En cas de contestation, elle est traitée par le Ministère public du lieu où a été commise l'infraction.
En ne signant pas, ce qui est votre droit le plus absolu (même si certains policiers vous diront le contraire ou s'agaceront de ce refus), l'administration ne pourra pas prouver qu'au moment de la verbalisation, vous avez reçu l'information réglementaire concernant le fonctionnement du permis à points.
Ne signez pas la contravention En matière de contravention, vous n'êtes pas obligé de signer le procès verbal. Au contraire, vaut mieux ne pas le signer, ne pas payer la contravention et toujours contester. Ceci vous permettra de ne pas perdre les points.
Les motifs pour contester une contravention radar ou de stationnement peuvent être nombreux : erreur de plaque d'immatriculation, horodateur défectueux, défaut de signalisation, vice de forme sur l'avis de contravention, etc.
Les forces de l'ordre ont la possibilité de verbaliser un automobiliste pour une infraction routière sans nécessairement procéder à son interpellation : c'est ce que l'on appelle communément les « pv à la volée ».
Si vous êtes sûr d'avoir été flashé et que vous ne recevez pas d'avis de contravention, vérifiez l'adresse indiquée sur votre certificat d'immatriculation (nouveau nom de la carte grise). Si l'adresse n'est pas à jour, le délai de réception de l'avis de contravention est rallongé.
Vous devez l'adresser à l'Officier du Ministère Public compétent, dont vous trouverez les renseignements sur votre formulaire de requête en exonération. Cette contestation aura pour conséquence de vous convoquer devant la juridiction de proximité pour vous expliquer.
3 issues possibles après avoir contesté votre contravention
Dans le cas le plus simple, l'officier du ministère public peut déclarer votre contravention sans suite : vous n'êtes alors plus redevable d'aucune amende. Mais si les preuves sont insuffisantes, il peut vous poursuivre devant le juge de proximité.
Ceux qui pensaient contester pour réduire le montant de l'amende en seront donc pour leurs frais, et ce d'autant qu'au montant de l'amende prononcée par le juge s'ajoutera un droit fixe de procédure de 31 euros, comme le prévoit l'article 1018 A du Code général des impôts.
Concrètement, il convient d'envoyer un courrier recommandé avec accusé de réception à l'Officier du ministère public (OMP), dont les coordonnées figurent sur l'avis. Joignez-y l'original de l'avis et expliquez le motif de la réclamation. "Si le PV comporte des erreurs criantes, l'OMP peut faire sauter l'amende.
Au terme de l'alinéa 2 de l'article R. 225-23 du Code de commerce, le procès-verbal est revêtu de la signature du président de séance et d'au moins un administrateur. En cas d'empêchement du président de séance, il est signé par deux administrateurs au moins.
un agent de verbalisation constate l'infraction et la consigne dans un terminal numérique. les données enregistrées, dans le cadre de l'infraction, sont transmises électroniquement au CNT de Rennes. en l'absence d'interpellation, le propriétaire du véhicule est identifié dans le SIV.
Les forces de l'ordre n'ont pas à vous verbaliser pour avoir fait plus d'une heure de courses. Cette durée concerne uniquement l'activité physique, les promenades ou les sorties avec vos petites boules de poils. 2. La police ne peut en aucun cas fouiller votre sac (ou vous-même).
L'automobiliste dispose d'un délai de 45 jours pour contester une amende forfaitaire. Si ce délai est dépassé, l'automobiliste pourra encore contester l'amende forfaitaire majorée qui sera émise. Le délai de contestation est alors de 30 jours.
C'est ce qui est expliqué dans l'article L. 223-1 du code de la route qui dispose : « La réalité d'une infraction entraînant retrait de points est établie par le paiement d'une amende forfaitaire ». Par conséquent, il ne faut absolument pas payer avant de faire une contestation d'amende.
Si vous avez prêté votre voiture, vous pouvez communiquer l'identité du conducteur au moment des faits. Il suffit de remplir le cas n° 2 dans le formulaire de requête en exonération joint à votre avis de contravention.
Lorsque la contravention provient d'un radar automatique, il faut d'abord, avant toute contestation, faire la demande de la photo prise par le radar. Vous devrez donc envoyer un premier courrier au Centre automatisé de Constatation des Infractions Routières.
La contestation de l'amende doit se faire dans les 45 jours suivant la date d'envoi de l'avis de contravention. Dirigez-vous directement sur l'interface du site de l'Agence nationale de traitement automatisé des infractions (l'ANTAI). Cliquez sur « Désigner, contester en ligne ».
Il est possible d'invoquer plusieurs motifs de contestation : Le véhicule a été volé ou ce n'était pas celui du contrevenant au moment de l'infraction. Le conducteur était une autre personne que celle titulaire de la carte grise. Le contrevenant conteste la réalité de l'infraction.
Etape 1 : L'agent verbalisateur constate l'infraction sur l'écran du centre de contrôle. Etape 2 : Deux photographie de l'infraction sont enregistrées. Etape 3 : Un PV électronique est dressé associant les caractéristiques de l'infraction et les photos.
Adressez votre dossier à l'officier du ministère public dont l'adresse figure en haut du formulaire, en gardant une copie de chaque document. Il est impératif qu'il soit complet et envoyé en recommandé, avec demande d'avis de réception, dans les 45 jours de l'envoi de l'avis de contravention.
Le procédé consiste à se faire passer pour l'auteur de l'infraction en complétant un formulaire spécial et en le transmettant aux autorités auxquelles on fait croire que l'on avait emprunté la voiture d'une autre personne.