Est-il dangereux de se faire craquer les doigts ? Des scientifiques se sont posé la question et répondent. Cette pratique, bien qu'agaçante, n'est pas dangereuse.
Le fait de tirer sur ses doigts entrainerait une dépression dans le liquide synovial qui lubrifie les articulations. Cette dépression entraine la formation de bulles. En tirant encore, la bulle s'effondre sur elle même, c'est ce qui génère le bruit avant que le liquide ne remplisse le vide.
Comme l'explique Scott Weiss dans un article paru sur Byrdie.com, «craquer ses doigts permet de relâcher plusieurs livres de pression de nos articulations».
Il existe aussi une très bonne méthode pour vous forcer à laisser vos doigts tranquilles : celle de l'élastique ! Accrochez le cordon autour de votre poignet, et tirez-le vers vous lorsque vous serez tenté de casser vos pouces. Non seulement ça fait mal, mais en plus ça déstresse !
Tendez vos doigts d'un coup et poussez légèrement sur chaque articulation. Celles du bas seront plus faciles à faire craquer, mais toutes peuvent y arriver. Cette pression que vous appliquez devrait générer un craquement immédiat. Parfois, un doigt refuse de craquer.
En faisant craquer son cou, on peut pincer les artères qui vont du cou vers l'os. Or, ce blocage peut entraîner un accident vasculaire cérébral. D'ailleurs, la survenue d'une douleur soudaine au niveau du cou peut être un symptôme d'accident vasculaire cérébral", précise-t-il.
Les auteurs du site "Mal de dos ou lombalgies en 100 questions" répondent à la question "Est-ce mauvais de faire craquer son dos ?" http://www.rhumatismes.net/index.php?id_q=204 ainsi : « En soi, ce n'est pas mauvais de "buller", mais la répétition de ces mouvements brusques apparentés aux manipulations peut devenir ...
Quand une articulation craque, ce qui entre en jeu est le fluide synovial, un liquide lubrifiant situé dans nos articulations. Plus précisément: quand on étire ses articulations, on libère de l'air, et ce fluide synovial se remplit de bulles.
Lorsque les deux surfaces articulaires sont séparées, la pression dans l'articulation excède celle de la bulle gazeuse qui est alors aplatie et produit un bruit de craquement. L'écrasement de la bulle (la mise à plat) forme de nombreuses bulles plus petites qui reviennent graduellement en solution.
"Plusieurs études semblent montrer que faire craquer régulièrement ses articulations n'entraîne pas de risque d'arthrose ou de toute autre pathologie articulaire.
Faites rouler vos orteils repliés contre le sol.
Placez vos orteils contre le sol, de façon à ce que la partie supérieure fléchie touche le sol. Faites rouler votre pied d'un orteil à l'autre, en balançant de gauche à droite et en exerçant une pression afin que chacun craque X Source de recherche .
Automassage des pieds et des orteils
Posez vos deux pouces à plat sous le pied, à l'arrière des orteils et pétrissez la peau comme si vous vouliez séparer les métatarses. Placez vos mains de chaque côté du pied puis frictionnez vigoureusement en faisant des mouvements de va-et-vient et de haut en bas.
Votre genou baigne dans une poche remplie de liquide qu'on appelle synovie. Comme dans tout liquide, il s'y forme parfois des petites bulles de gaz lorsque l'on mélange son contenu. Quand ces bulles éclatent, on entend un claquement, on appelle cela la cavitation.
Essayez bien de descendre le coccyx vers le sol ; Tenez la position 30 secondes à 1 minute ; Relevez-vous en déroulant lentement le dos, vertèbre après vertèbre ; Renouvelez si nécessaire l'étirement plusieurs fois.
La cavitation
On retrouve de l'oxygène, du dioxyde de carbone et de l'azote sous leur forme liquide, dissous dans la synovie. L'ajustement chiropratique entraîne un étirement très rapide de la capsule articulaire, ce qui augmente le volume de la capsule et crée une bulle de vide à l'intérieur de l'articulation.
"Ce bruit est lié à la présence de déchets cartilagineux dans l'articulation, après un traumatisme ou dans le cas d'une personne qui a de l'arthrose du genou", précise Sylvie Wagner. Encore une fois, tant que ce crissement n'est pas associé à une quelconque douleur, il ne faut pas s'inquiéter.
Le fameux craquement qui accompagne certaines de ces manipulations, ne correspond pas au frottement de deux os. Ce petit bruit est tout simplement provoqué par l'éclatement d'une bulle d'air séparant deux surfaces articulaires.
Ces bruits articulaires sont dus à la libération d'air et de gaz formé lors des positions maintenues trop longtemps avec une certaine contrainte ou lors de mouvements répétitifs. Dans le cas d'articulations saines, et en l'absence de douleur, on peut provoquer ces craquements des phalanges ou des vertèbres.
L'ostéopathe utilise des techniques articulaires et viscérales, mais aussi faciales et crâniennes en fonction des besoins du patient. C'est l'ostéopathe qui choisira ce qui lui semble le plus adapté et le plus bénéfique pour chaque patient.
La position idéale pour ceux qui souffrent de maux de dos est de dormir sur le côté, c'est-à-dire dans la position fœtale classique. Cette position est excellente car elle maintient les courbes naturelles de la colonne vertébrale.
Les roulements d'épaule
Debout les mains sur le long du corps ou assis, les mains sur votre bureau, le dos bien droit. Faîtes rouler vos épaules d'avant en arrière dans un mouvement circulaire. Répétez 10 fois et recommencer, d'arrière en avant cette fois-ci.
L'expression “coup du lapin” est employée pour désigner un traumatisme cervical, qui survient le plus souvent lors d'un accident de voiture, typiquement un changement brutal de vitesse ou un choc arrière. La tête vacille, ce qui peut endommager les vertèbres, les muscles, et d'autres éléments du cou.
Tenez-vous droit sur le siège, bras relâchés sur les côtés. Tournez lentement votre buste vers la gauche et passez votre bras gauche devant votre corps. Tenez le côté droit de la chaise avec la main gauche et tirez doucement pour augmenter la rotation de votre tronc. Relâchez-vous lorsque vous sentez votre dos craquer.
Poussez le menton vers la gauche.
Tenez-la entre vos mains et faites-la pivoter vers la gauche doucement, mais avec fermeté. Pendant que vous poussez votre menton vers la gauche, tirez aussi votre tête dans cette direction avec votre main droite qui se trouve déjà derrière votre tête.