Le sommeil augmente la capacité de certaines cellules immunitaires d'attaquer leurs cibles et, inversement, le manque de sommeil nuit à leur efficacité.
Pourquoi a-t-on envie de rester au lit lorsqu'on est malade ? À cause d'une molécule, l'orexine, l'hormone de l'appétit, de l'éveil et de l'envie de bouger : en cas d'inflammation ou d'infection, elle n'est plus assez libérée dans le cerveau – on perd l'appétit et l'entrain nécessaire pour se lever de son lit.
La narcolepsie est un trouble du sommeil marqué par une somnolence excessive pendant la journée ou récurrente, des épisodes irrésistibles de sommeil pendant les heures de veille normales, généralement avec des épisodes soudains et passagers de faiblesse musculaire (cataplexie).
Bien dormir est essentiel pour le fonctionnement de l'organisme, mais lorsqu'on passe beaucoup de temps au lit, le corps ne brûle pas d'énergie. Des études ont établi une association à la fois de cause et d'effet entre les risques d'obésité et de diabète, et l'excès de sommeil.
L'ouverture de la bouche pendant le sommeil est liée à une mauvaise respiration, souvent associée à des problèmes des voies respiratoires, que ce soit à cause d'une obstruction nasale ou de la gorge ou même d'un mauvais positionnement au repos.
L'exercice fortifie le système immunitaire lorsque nous sommes en pleine forme, mais un corps affaibli par la maladie a besoin de plus de ressources immunitaires qu'en temps normal. Ainsi, un exercice intensif ajouté à la fatigue causée par la maladie peut, au contraire, nous affaiblir encore plus rapidement.
Position couchée : Le mucus s'évacue moins facilement de vos voies respiratoires lorsque vous êtes couché. En effet, le mucus peut s'accumuler dans la gorge, ce qui déclenche la toux. Durant la journée, vous bougez et avalez souvent, ce qui réduit les sécrétions nasales.
L'idée n'est pas de dormir assis mais de surélever la tête pour réduire l'inflammation de vos voies respiratoires et la pression sur les sinus. Par ailleurs, grâce à cette position, vous tousserez moins et vous vous réveillerez moins encombré que si vous aviez dormi sans oreiller.
La fièvre provoque une hausse rapide de la température et pour y faire face votre corps se met à transpirer pour guérir.
TROP DORMIR : LES EFFETS NÉFASTES SUR LA SANTÉ
En premier lieu, trop dormir ne supprime pas la fatigue, bien au contraire : complètement déréglé, en manque de repères, le corps envoie des signaux contradictoires au cerveau entrainant somnolence tout au long de la journée.
Ces symptômes semblent être attribuables au virus en cause en tant que tel, mais en réalité, ils sont attribuables à la réaction de l'organisme à ce virus. En effet, ce sont les mécanismes de défense contre les infections qui provoquent une inflammation et des courbatures dans tout l'organisme.
Pour diminuer l'inconfort du rhume, un seul médicament est préconisé, le paracétamol que l'on appelle également acétaminophène (Doliprane®, Tylenol®, Efferalgan®, Dafalgan®, Panadol®, Dolko®, Geluprane®) Ce médicament diminue les maux de tête, le mal de gorge éventuel et fait baisser la fièvre.
Parmi les symptômes pouvant survenir par la suite, il y a les maux de tête, le nez bouché, les yeux larmoyants, une toux quinteuse, des frissons, des muscles endoloris et des malaises généraux (se sentir malade), qui durent de deux à sept jours. Dans certains cas, ils peuvent durer deux semaines.
Le rhume se caractérise aussi par un écoulement nasal clair qui conduit à se moucher fréquemment et quelques symptômes généraux variables d'un cas à l'autre et d'une personne à l'autre : fièvre et fatigue habituellement peu élevées, mal à la tête, yeux qui pleurent et parfois une toux.
Jours 1 à 2 : gorge irritée et éternuements. Jours 3 à 4 : intensification du mal de gorge, nez qui commence à couler. Même si les symptômes sont encore limités, c'est durant ces quatre premiers jours qu'on est le plus contagieux. Jours 5 à 7 : le rhume est à son pic.
Si le fait d'attraper un rhume n'est lié qu'indirectement au froid, en revanche, les médecins sont unanimes pour dire qu'une fois que la maladie est là, il est important de rester au chaud et au sec.
On est alors souvent tentés de recourir à des remèdes censés accélérer la guérison. S'il se peut bien que certaines recettes de grand-mère soient efficaces, il est tout à fait déconseillé de recourir à une séance de transpiration pour guérir d'une grippe.
Respirer par la bouche expose à un plus grand nombre d'infections car l'air entrant est froid et encore chargé en bactéries. Une croissance de la face : Une des grandes conséquences néfastes de la respiration buccale est une croissance pathologique des mâchoires et du visage.
Sur Twitter, un internaute qui a testé semble approuver la méthode. « Scotchez votre bouche quand vous allez vous coucher. Ainsi, vous allez seulement respirer par votre nez, et cela activera votre système nerveux parasympathique, ce qui vous permettra de rentrer dans un sommeil profond.
Respirer par le nez permet de filtrer, réchauffer et humidifier l'air inspiré avant son entrée dans les poumons. Au contraire, l'air inspiré par la bouche n'a pas ses qualités et favorise les infections ORL (otites, rhumes).