La consommation d'électricité des imprimantes 3D est supérieure à 225 W (0.225 KW) et le coût moyen de l'électricité en Espagne est actuellement de 0.12 €/KW. De plus, il y a les coûts du software, bien qu'il existe des programmes de base de l'environnement open source qui permettent d'imprimer en 3D gratuitement.
L'imprimante 3D suppose en elle-même une utilisation simple. Cependant, elle implique la gestion de logiciels 3D qui contribuent à la création du fichier. On constate malheureusement que ces logiciels ne peuvent pas être compris par tous. Leur technicité est donc une limite.
La forte croissance de l'impression tridimensionnelle (3D) dans de nombreux secteurs génère des risques professionnels spécifiques eux-mêmes en augmentation : - Risques chimiques : émissions de particules fines, de composés organiques volatils, de gaz nocifs liés aux imprimantes 3D et à leurs différentes technologies.
Les avantages
L'atout majeur de l'impression 3D est qu'elle permet de de créer des objets à volonté selon ses désirs. Cette technologie permet le prototypage rapide et l'affinage de la production jusqu'à obtenir l'objet imaginé. L'impression 3D offre une relative simplicité dans son mode de production.
Consommation énergétique annuelle
Cette même campagne a indiqué une consommation annuelle moyenne de 159 kWh pour une imprimante laser et de 60 kWh, pour une imprimante à jet d'encre.
Les sociétés d'ingénierie qui utilisent le plus l'impression 3D seraient: l'électronique, l'informatique, la mécatronique, le génie civil, la production et l'automatisation.
N°1 : le four.
C'est l'appareil qui consomme le plus d'électricité dans un logement, plus de 1.000 kWh par an en moyenne. Mais il est possible de réduire la facture en optant pour un four à chaleur tournante ou, encore mieux, pour un four combiné (four + micro-onde).
Le constat est sans appel, la climatisation est clairement l'appareil le plus énergivore avec un coût moyen de 127,89 €, sur la base du prix moyen du kWh, qui tourne autour de 0,158 €.
Le PLA ne présente pas de dangers physiques (c'est-à-dire liées aux propriétés physico-chimiques), toxiques ou écotoxiques au sens règlementaire. Ses chaînes longues en font une macromolécule qui ne répond pas aux critères de classification des substances dangereuses.
Le plus gros risque avec une imprimante 3D est le feu électrique: un composant ou un fil commence à chauffer et un plastique autour prend feu. Les composants d'une imprimante chinoise sont souvent construits dans des matériaux qui sont inflammables.
S'équiper de multiprises coupe-veille pour moins consommer
Selon une étude de l'AFP, la consommation des appareils domestiques en veille représente 11% de la facture d'électricité annuelle. Le coût moyen par foyer est de 86€ par an et représente 2 milliards d'euros par an au niveau national.
Le combo gagnant est attribué à l'ordinateur fixe et son écran qui, en veille, représentent une dépense annuelle de 23 euros. Viennent ensuite le sèche-linge, le four et le téléviseur qui, à eux trois, représentent une dépense annuelle de 29,3 euros.
Une autre excellente façon de gagner de l'argent avec une imprimante 3D est d'entrer sur le marché pour les produits faits maison et l'artisanat personnalisé. Certaines entreprises ont commencé à offrir des produits dans ce domaine en utilisant l'impression 3D et cela a conduit à de nombreux succès.
Elles varient de 299 € à 1 200 € avec plusieurs acteurs : notamment RepRap et Dagoma (constructeur français). Petites, légères, ces imprimantes sont souvent les imprimantes préférées des Makers.
Investir dans l'impression 3D est avantageux à bien des égards pour une entreprise. C'est tout d'abord l'occasion de réduire les dépenses. En effet, le coût de l'impression 3D d'une pièce est souvent plus accessible que l'achat d'une nouvelle pièce auprès d'un fournisseur.
La fourchette moyenne concernant l'épaisseur de couche maximale des imprimantes 3D personnelles se situe en moyenne entre 50 et 100 microns (100 microns = un dixième de millimètre). Quelques imprimantes offrent même une précision allant jusqu'à 20 microns (imprimante 3D Ultimaker).
Même si cela peut sembler évident, il ne faut pas placer votre imprimante 3D sur le sol. Au lieu de cela, placez-la sur une table d'appoint ou un bureau. Pourquoi ? Car la concentration de poussière est plus élevée près du sol.
Le PLA est un matériau d'impression 3D sans danger pour l'alimentation. Avec le moulage par injection plastique, ce matériau est principalement utilisé pour fabriquer des emballages.
Le PLA n'est pas recyclable. Le PLA est biodégradable sous certaines conditions de compostage.
Le PLA est composé de matières premières renouvelables et est biodégradable dans les sites de compostage industriels. Cependant, en raison du manque d'infrastructures, il est difficile de composter ou de recycler réellement le PLA de manière industrielle.
1 - En première place : le chauffage et l'eau chaude
Ils représentent 60 % de notre consommation, qui s'élève à 18 500 kWh par an en moyenne. La chaudière et le chauffe-eau sont toujours les plus gros consommateurs d'énergie, et cela quel que soit leur mode de fonctionnement (fioul, gaz ou électricité).