Le mot qui suit le point-virgule prend la minuscule initiale, sauf s'il s'agit d'un nom propre, d'un titre, d'un proverbe, etc.
La majuscule
Les majuscules sont normalement introduites au début de chaque phrase. Une phrase est toujours terminée par des points : point, point d'exclamation, point d'interrogation ou point de suspension.
On emploie le point-virgule pour séparer des propositions qui ont de l'analogie et une certaine étendue. Exemple : La charité n'est point téméraire ni précipitée ; elle ne se réjouit point du mal qui arrive aux autres ; elle se félicite au contraire de tout le bien que Dieu leur envoie.
Après les deux points, on ne met en principe la majuscule qu'aux noms propres et qu'au premier mot des citations : La ville est tout illuminée : Noël approche. Elle pensait à cette phrase d'Ionesco : « Un médecin consciencieux doit mourir avec le malade s'ils ne peuvent pas guérir ensemble. »
Ces points de suspension s'emploient au choix de l'auteur comme une ponctuation de fin de phrase ou comme une ponctuation du même type que le point-virgule. Ainsi, on mettra une majuscule après les trois points… sauf si la suspension est pensée comme pouvant se prolonger.
Le point-virgule indique une pause de durée moyenne. On l'utilise pour séparer des phrases juxtaposées et unies par le sens ou pour séparer des parties d'une phrase contenant elles-mêmes des virgules. Le point-virgule s'emploie aussi à la fin des différents éléments d'une énumération verticale.
Le point-virgule marque une pause plus importante et plus longue que la virgule lors de la lecture. L'intonation est marquée, autant que le point en fin de phrase. Il est encadré d'une espace entre le mot qui le précède et le mot qui le suit.
Le point-virgule sert à séparer des propositions d'une certaine longueur, unies par le sens et qui renferment déjà une ou plusieurs virgules afin que la phrase soit plus claire et facile à lire. On y a notamment recours lorsqu'il y a ellipse du verbe dans la deuxième proposition.
- Le point (final) se place à la fin d'une phrase et en marque ainsi la limite droite, la limite gauche étant marquée par la majuscule. Le point final est directement placé après le dernier mot. Pour commencer une autre phrase, il faut une espace entre le point final et la majuscule de la phrase suivante.
Bonsoir, Il est de tradition de placer une virgule, et non un point, après Bonjour.
La virgule avant le mot puisque est obligatoire.
Une espace insécable avant, une espace après : deux-points, point-virgule, point d'exclamation, point d'interrogation, guillemets français fermants, pourcentage, signes mathématiques. Une espace avant, une espace insécable après : guillemets français ouvrants.
Il remplace le point final que les personnes souffrant d'un mal-être psychologique veulent porter à leur vie par le suicide, l'automutilation, la toxicomanie ou encore la dépression. Pour eux, ce point-virgule symbolise la volonté de prendre un nouveau départ, l'occasion de se donner une nouvelle chance.
La forme de l'article indéfini est un au masculin singulier et une au féminin singulier. Il existe aussi un article indéfini pluriel : des (cette forme reste la même pour le masculin et le féminin). L'article indéfini est employé : lorsqu'on parle d'une chose ou d'une personne indéterminée.
Lorsqu'on cite un fragment de phrase ou une phrase incomplète et que cette citation est incorporée à une phrase principale, on encadre de guillemets les mots qui appartiennent à la citation.
> Le deux-points introduit une phrase qui présente une cause de ce qui est dit dans la phrase précédente ; on peut le remplacer par parce que. Luc s'est cassé le bras droit : il ne pourra pas participer au tournoi.
Il n'y a pas de majuscule à « président » ! Seul le nom « République » (sous-entendu « République française ») en prend une. C'est « Premier ministre » qui prend une majuscule au premier mot. Bien sûr, si l'on s'adresse directement au président, dans un courrier par exemple, on écrira : « Monsieur le Président ».
Les titres composés d'un nom suivi d'un adjectif s'écrivent sans trait d'union : Le président-directeur général.
« Dieu » ne prend une majuscule que s'il s'agit de celui, unique, que vénèrent les religions monothéistes. Les divinités païennes doivent, elles, se contenter de la minuscule.
Les guillemets sont des signes d'insertion qui s'emploient par paires : les guillemets ouvrants et les guillemets fermants. Leur rôle essentiel est de marquer le changement d'auteur du discours. Les guillemets sont donc appelés à encadrer toute citation, toute intervention d'un personnage en discours direct.
Ils peuvent être le signe d'une certaine hésitation, d'une indécision ou d'une réticence. Ils peuvent aussi symboliser une situation ou une action inachevée. Dans tous les cas, il sera fait appel à l'imagination du lecteur pour deviner quel est le sens le plus probable dans le contexte de la conversation.